C’est qu’Amazon semblerait vouloir rivaliser avec TikTok, l’application de vidéos courte durée appartenant au géant chinois ByteDance !
Le 8 décembre dernier, la plateforme e-commerce présentait un nouvel outil ressemblant étrangement à TikTok, Inspire. Ce dernier permet au client d’acheter des produits directement depuis un fil personnalisé de mini-vidéos et photos, depuis l’application Amazon. Disponible seulement pour certains clients, la fonctionnalité est encore en phase test aux États-Unis. La multinationale annonce cependant vouloir la rendre accessible pour tous dans les mois à venir.
À quoi ressemble Amazon Inspire ?
Amazon Inspire propose des produits à ses utilisateurs, qui peuvent les enregistrer, les partager et enfin les acheter.
La fonctionnalité serait disponible depuis l’application Amazon Shopping, en cliquant sur l’icône en forme d’ampoule.
Comme sur TikTok, l’utilisateur est dans un premier temps invité à choisir ses centres d'intérêt et ce qu’il souhaite voir comme type de contenus : mode, maquillage, accessoires pour animaux, tech… De là, des vidéos et des photos cohérentes avec ses choix lui seront présentées, et les produits montrés dans ses derniers peuvent être achetés directement via l’application.
Oliver Messenger, directeur chez Amazon Shopping, a indiqué dans un communiqué paru en décembre qu’Inspire “est la nouvelle expérience d’achat qui connecte les clients Amazon avec du contenu achetable créé par les autres utilisateurs, les influenceurs et les marques. En quelques clics, les clients peuvent découvrir de nouveaux produits ou trouver de l’inspiration pour leur shopping, selon leurs intérêts, et acheter ces articles sur Amazon”.
Est-ce qu’Amazon a copié TikTok ?
Nombreux sont ceux qui ont puisé leur inspiration en TikTok pour se renouveler. Instagram et ses reels, Facebook ou encore Youtube et ses shorts…
Amazon ferait-il de même ? Il est certain que le géant du retail s’inspire aussi de TikTok… et réciproquement. En effet, depuis maintenant des mois, l’entreprise chinoise tente de lancer sa propre fonctionnalité d’achat, sans succès… pour l’instant.
TikTok est aujourd’hui un excellent médium pour découvrir des marques ou des produits, mais ne propose pas encore l’achat directement in app. Aujourd’hui, les créateurs promouvant Amazon sur TikTok redirigent vers le site ou l’app via un lien inséré en commentaire. Et font donc sortir les utilisateurs de TikTok !
Changer ce fonctionnement semble compliqué pour le réseau social, à moins d’être en partenariat direct avec Amazon… et de toucher des commissions sur chaque vente réalisée grâce à TikTok.
Les choses sont plus avantageuses pour Amazon, qui héberge déjà la fonctionnalité d’achat en ligne la plus populaire du monde. Plus facile pour l’entreprise américaine de faire un pas vers la vidéo avec de telles bases ! Il ne manque plus que les créateurs utilisent vraiment Amazon au détriment ou en plus de TikTok . Qu’est-ce qu’Amazon proposera aux influenceurs pour les lancer sur la plateforme et transformer Inspire en véritable réseau social ? Affaire à suivre…
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4 astuces pour un bon mail de relance panier
Quoi de plus frustrant pour un e-commerçant que de savoir que son taux d’abandon de panier s’élève en moyenne à 70% (Baymard Institute) ?
Les abandons panier s’expliquent par diverses raisons : un UX indigeste, un processus de check-out trop long, des frais de livraison élevés… Bref, aujourd’hui, ce n’est pas tant ces sujets de friction que nous allons évoquer mais plutôt l’après. Comment “repêcher” un client qui a abandonné son panier ? La team JUST vous donne 4 astuces pour construire un bon mail de relance panier !
👀 Un objet de mail catchy
Des mails, on en reçoit tous… beaucoup. Entre les publicités, les spams, les mails perso, difficile de passer du temps à éplucher sa boite mail ! Comment donc se démarquer et faire en sorte que vos clients ouvrent votre mail ? Tout se joue dans la première chose que verront vos réceptionnaires : l’objet.
Gardez en tête 2 points :
- Votre mail doit attirer l’attention
- Et ne pas être trop énigmatique : allez droit au but.
Un grand classique du marketing est le mail de relance type “Oups, avez-vous eu un problème” ? Cependant, une étude menée par Buy Fencing Direct révèle que ce type d’objet provoque un important taux d’ouverture (près de 60%) mais qu’il ne génère pas un taux de conversion optimal (moins de 10%). Le sondage montre également que les objets francs et directs tels que “Votre panier chez *nom de marque*” obtiennent un taux de conversion de près de 35% (cf illustration).
De l’explicite, voilà ce qui attirera sans aucun doute vos clients ! Qui dit message clair ne dit cependant pas forcément message planplan. Vous pouvez aisément jouer la carte de l’originalité avec un objet type “Vos articles de chez *marque* n’attendent plus que vous” ou encore “Oups, votre panier *marque* se sent un peu délaissé”.
En parallèle de l’objet, assurez-vous que votre marque soit bien identifiable, avec par exemple un nom d’expéditeur “brandé”.
⏱️ Un timing stratégique pour vos mails de relance panier
Maintenant que nous avons choisi un objet de mail qui claque, quand et combien de mails envoyer ? Quelques minutes après l’abandon du panier ? Une heure plus tard, le lendemain ? Pas de panique : on vous explique tout !
Pour faire simple, plus vous attendez avant de relancer, moins votre mail sera performant.
Ainsi, une étude menée par SaleCycle révèle que les mails envoyés 20 minutes après le départ de votre client engendrent en moyenne un taux de conversion de 5,2% tandis que ceux qui sont envoyés le lendemain n’obtiennent que 2,6%.
La team JUST vous conseille donc d’envoyer le premier mail de relance dans l’heure suivant l’abandon de panier. Quant à la fréquence du message, prenez garde de ne pas vous montrer trop insistant. Trois ou quatre suffisent amplement et assurez-vous de les envoyer aux bons intervalles. Le deuxième peut donc être envoyé 24h après la première relance, le second 2 à 3 jours plus tard, le troisième la semaine suivante…
😋 Une offre alléchante pour mieux convertir
Selon une étude menée par le Baymard Institute, 50% des acheteurs confient abandonner leur panier en raison de frais de livraison trop élevés ! Pour relancer vos clients, n’hésitez pas à mettre en avant une offre promotionnelle : une livraison offerte, un code de réduction pour les nouveaux arrivants…
Comme nous aimons souvent le conseiller, vous pouvez tout à fait impliquer un aspect urgent/exclusif, afin de pousser votre client à franchir le pas. Un discount valable 48 heures, “juste pour lui”...
✅ Un contenu et des CTA chiadés
🤔 Mais on raconte quoi, dans un mail de relance panier ?
Vous avez votre objet de mail percutant, vous avez créé votre promotion et défini votre timing. What’s next ? Le contenu, pardi !
Mettons que votre mail s’adresse à trois catégories de personnes :
- Ceux qui ont dû quitter votre site en raison d’un problème technique (une infime partie)
- Ceux qui abandonné leur panier sous prétexte par manque de temps et qui "procrastinent" leur achat
- Ceux qui ont encore besoin de réfléchir
Essayez donc de créer un message générique pouvant s’appliquer à ces différents cas de figure.
Pour répondre au sujet du problème technique, nous vous conseillons d’essayer d’insérer une formule d’excuse au début de votre mail. Une phrase type “Oups ! Vous avez visiblement laissé de côté votre panier. Toutes nos excuses si nous avons manqué quelque chose !”.
Quant à celui du manque de temps, des phrases directes, claires sont recommandées. Oubliez les effets de style hasardeux et privilégiez plutôt une à deux phrases de mise en contexte avec une ou plusieurs photos des articles du panier.
Pour finir, sortez la carte de l’offre promotionnelle pour convaincre les indécis : livraison offerte, code de bienvenue… Ou indiquez qu’il ne reste qu’une quantité limitée du ou des produits concernés.
📣 Quelques indications pour vos CTA
Quant aux CTA, la team JUST vous recommande de privilégier les boutons CSS aux liens hypertextes. Les boutons rendront l’action davantage visible et permettent un meilleur taux de conversion : d’après une étude réalisée par Digital Marketer, les mails de relance panier incluant des boutons de CTA sont 22% plus cliqués que ceux comportant un lien basique.
La team JUST espère que cet article vous aidera à créer les mails de relance panier parfaits 💪 Besoin d’un dernier petit conseil ? Avant de vous atteler à vos mails, tentez déjà de réduire vos abandons de paniers en proposant à vos clients une expérience de check-out en 1 clic. On vous en dit un peu plus juste ici. À très vite !
A/B testing : comment le réussir ?
Pourquoi faire de l’A/B testing ?
En 2022, le taux de conversion moyen des e-commerçants s’élevait à 2,97%. Pas beaucoup, n’est-ce pas ? Cette faible moyenne se justifie par différents facteurs : site web peu agréable et intuitif, mauvaise UX, temps de chargement trop long, formulaires à remplir, avis négatifs…
Des problématiques que les e-commerçants cherchent à corriger, éradiquer. Pour y arriver, ces derniers peuvent utiliser de nombreuses méthodologies. Dont l’A/B testing. Késako ? Il s’agit d’une discipline où on utilise la data afin de se guider et de prendre les meilleures décisions concernant le design d’un contenu. On vous en dit plus dans quelques instants !
A/B testing : définition
L’A/B testing est une des façons les plus efficaces pour optimiser votre site, vos produits ou même votre service. Grosso modo, il s’agit de faire tester deux versions (la “A” et la “B”) d’un même contenu (page web, e-mail, interface d’une application mobile…) auprès de deux groupes de personnes de taille semblable. Dans cet article, nous nous concentrerons sur l’A/B testing de pages web.
Avant de lancer votre A/B testing, posez-vous un instant et réfléchissez à vos objectifs. Voulez vous augmenter votre nombre de visites, votre taux de conversion, votre taux de clic ? C’est ça qui vous guidera dans l’élaboration de votre campagne de test.
5 astuces pour réussir son A/B testing
1. Concentrer l’A/B testing sur des pages qui génèrent déjà du trafic
Si vous décidez de lancer une campagne d’A/B testing, assurez-vous de choisir une page qui a du potentiel. Inutile de concentrer vos efforts sur une page peu consultée (la FAQ, par exemple), testez plutôt sur celle qui génère déjà le plus de trafic et qui risque d’être la plus sollicitée par vos utilisateurs (une page produit, une homepage, un menu…).
Comme l’expliqueJohan Petit, responsable du pôle produit de Bewizyu, les pages “intéressantes” pour de l’A/B testing sont celles générant au minimum 10, 000 visiteurs mensuels ainsi que 300 conversions. C’est dans ce cas que les résultats de votre campagne auront le plus d’impact !
Nous évoquions ci-dessus les objectifs de l’A/B test : ce dernier doit vous apporter une réponse à un problème précis. Un taux de conversion trop bas ? Un taux d’abandon de panier trop élevé ? Une fois les résultats collectés, vous pourrez mettre en place LA solution que l’A/B test vous aura aidé à trouver !
2. Tester une seule variable à la fois
Comme nous le mentionnions précédemment, l’A/B testing consiste à tester deux versions d’un contenu. Ces dernières sont plus ou moins différentes et permettent d’évaluer un élément bien précis ou alors une page dans son ensemble.
Si vous cherchez spécifiquement à optimiser votre CTA, un bouton, une fiche produit, le tout dans le même A/B testing, il sera difficile de juger ce qui a marché ou non au cas par cas (est-ce le CTA qui a encouragé le visiteur à passer l’achat ? Le descriptif de la page produit ?).
Ces 3 éléments combinés devront être envisagés comme un tout.
3. Combien de personnes pour un A/B test ?
Pour qu’un A/B test soit véritablement significatif, il doit être effectué par un nombre important de participants.
Il est donc important de bien déterminer votre échantillon de test. Mais d’ailleurs, comment on s’y prend exactement? Par mail, à une liste de préférence bien longue (soyons réalistes : un faible pourcentage de vos destinataires y répondront donc on double ses chances), ou alors on fait de la publicité sur les réseaux sociaux. On apprécie tout spécialement cette dernière option dans la mesure où il très facile de cibler un type de buyer persona, sans forcément avoir une donnée CRM bien fournie.
Il existe aussi une grande variété d’organismes qui proposent de diffuser vos A/B test (Contentsquare, par exemple). Une solution pratique, même si pas forcément des plus économiques….
4. Combien de temps pour un A/B test ?
Tic, tac, tic, tac… Il s’agit maintenant de s’armer de patience ! Selon les outils spécialisés du marché, il est recommandé de faire durer un A/B test de 7 jours à 3 semaines.
Il n’y a cependant pas de règle tacite : il faut simplement garder en tête que l’A/B test doit durer suffisamment longtemps pour vous permettre de récolter des données pertinentes. Un A/B test est jugé fiable lorsqu’il atteint un seuil de confiance de 95%.
Autrement, si après 7 jours consécutifs vos résultats se stabilisent (pas de taux de variation), il est alors envisageable de stopper l’A/B test.
5. Utiliser le “Mouse tracking” et les “Heat maps” lors de votre analyse
Si vous suivez nos quatre premiers conseils pour lancer votre A/B test, c’est déjà un bon début ! Mais une fois lancé et la data collectée, comment on s’y prend pour l’analyser ?
Il existe bien sûr la magie des chiffres : les statistiques parleront d’elles-mêmes. Tel pourcentage aura cliqué sur ce CTA tandis qu’un autre l’aura tout bonnement ignoré, etc.
D’autres outils existent cependant pour traquer l’activité des utilisateurs sur votre site et aller plus loin que la simple analyse de chiffres.
Le “mouse tracking”, vous connaissez ? Il s’agit de traquer le mouvement de souris de l’utilisateur de votre site. Voir où il s’attarde, hésite, clique, où se trouvent les frictions… Ces mouvements vous permettront de créer une heat map (littéralement “carte de chaleur”) qui vous permettra de voir quels sont les portions les plus sollicitées de votre page.
Meilleurs CMS e-commerce : comment choisir ?
Vous avez enfin décidé de commercialiser votre ligne de produits ou votre service ? Pour votre marque de lipgloss eco-friendly ou votre Saas, il s’agirait maintenant de choisir votre CMS e-commerce… À chacun son talent : vous n’êtes peut-être pas webdesigner ou très à l’aise avec le digital. Et il n’y aucun problème à cela ! La team JUST vous en révèle un peu plus sur les meilleurs supports de vente pour e-commerce.
CMS : définition
Derrière cette mystérieuse expression se cache en fait quelque chose de très simple : CMS signifie en anglais Content Management System. Mais encore ? En français, il s’agit grosso modo d’un système de gestion de contenu. On vous en dit un peu plus…
Un CMS se définit également comme un type de plateforme contenant ces 3 critères :
- Il donne la possibilité à son ou ses administrateurs de publier du contenu
- Il permet de gérer à la fois la forme (le design) et le contenu du site (ce que vous allez mettre dessus : des produits, des descriptions, des articles de blog…)
- Il peut-être géré et utilisé par plusieurs administrateurs
En un mot, il s’agit de la partie “cachée” d’un site web, de ce que voient les gens qui en sont chargés !
Il en existe 3 sortes : les Saas (pour faire simple, on fournit à l'utilisateur un logiciel situé dans le cloud), les Open Source (l'utilisateur peut modifier le code) et finalement les "propriétaires" (un CMS construit de A à Z par un tiers).
CMS e-commerce : quelle est la spécificité ?
Pour faire simple, un CMS e-commerce est le support qui va être utilisé par le marchand pour vendre. Les CMS e-commerce sont une solution clé en main pour les vendeurs : ils peuvent ainsi gérer leur site de vente en ligne et sont autonomes sur la partie ajout, modification ou suppression de contenu, sans avoir à coder.
Mais comment donc le choisir ? On a interrogé les centaines de marques avec lesquelles nous travaillons pour savoir quels étaient leurs préférés. Certains ont fait l’unanimité, d’autres sont plus contestés… Avant de prendre votre décision, posez-vous et demandez-vous quels sont les critères que vous recherchez dans la future gestion de votre site web. Mais oui, d’ailleurs, qu’est-ce qui fait qu’un CMS est bon et pratique ? 🤔
Choisir un bon CMS : les critères à prendre en compte
La solution idéale pour choisir sa solution doit prendre en compte plusieurs critères :
- La réputation et notoriété du logiciel
- La facilité de compréhension de l’outil et son ergonomie (est-il pratique à manipuler pour quelqu’un qui n’y connaît pas forcément grand-chose ?)
- Un tableau de bord d’analyse avec une bonne vision de la data afin de suivre vos ventes et la performance de votre site
- De bons outils de webdesign afin que vous puissiez créer le site qui ressemble à votre marque et que cette dernière ne tombe pas aux oubliettes
- La possibilité de pouvoir fusionner certains de vos outils tels que celui de votre gestion de stocks, vos données marketing (CRM), votre marketplace et pourquoi pas vos réseaux sociaux si le social shopping vous tente.
- Un aspect SEO. Sur Google, la compétition pour apparaître dans les premières pages de recherche est compliquée, voire parfois difficile… Assurez-vous que l’heureux élu vous laisse la possibilité de modifier vos urls, méta balises et méta descriptions. Et que la partie blog vous permettra de mettre toutes les chances de votre côté pour attirer l’œil du Search Engine.
Les meilleurs CMS e-commerce
Shopify
Le grand classique des CMS pour les e-commerçants ! Zoom sur la plateforme canadienne qui a su en convaincre plus d’un (800 000 utilisateurs en 2019 !).
Parmi les nombreux avantages du CMS e-commerce, on retrouve l’aspect ergonomique. Du petit business au commerce ultra établi, la plateforme est décrite comme relativement facile d’usage. Shopify propose une fonction “drag and drop”, qui permet de construire facilement son site, sans avoir besoin de coder. Le CMS propose aussi des templates gratuits et customisables, ce qui donne la possibilité de lancer son site très rapidement.
L’un des autres avantages de la plateforme réside aussi dans le fait qu’il est possible de proposer une multitude de moyens de paiement aux utilisateurs, y compris ceux de tiers. Comme Shopify n’est pas magique (la plateforme propose déjà une myriades de fonctionnalités), il est aussi possible d’ajouter près 1200 applications et plug-ins afin d’exploiter votre site e-commerce au maximum.
Dans les éventuels aspects négatifs, certains de nos e-commerçants se plaignent du pricing (29$, 79$ ou 299$) en sachant que l’option la plus économique est très limitée. Un autre point : si Shopify est une plateforme qui permet de nombreuses choses, les aspects SEO et marketing peuvent être mis de côté. Certains se plaignent des restrictions de la feature blog, qui ne permettrait pas de créer des catégories. Il en va de même pour les templates : la sélection offerte est apparemment assez restreinte.
Adobe Commerce (ex Magento)
Un CMS e-commerce qu’on ne présente plus ! On vous en dit un peu plus sur les avantages de la plateforme et ses éventuels points négatifs. C’est parti ?
L’un des points les plus importants sur Adobe Commerce réside dans le fait que ce soit une plateforme open source. Késako ? Cela la rend flexible dans la mesure où il est possible de modifier le code source. À vous le template ultra personnalisé et l’installation de toutes les fonctionnalités nécessaires au développement de votre site !
La plateforme est également tout spécialement appréciée pour ses fonctionnalités très spécifiques que d’autres ne proposent pas forcément : par exemple, vous pouvez segmenter vos prix en fonction de différents groupes. Pour vos employés, vos clients VIP ou autres : vous pouvez proposer un prix différent.
Le dernier point particulièrement appréciable est l’aspect mobile friendly. En effet, Adobe Commerce est considéré comme le CMS le plus facile à décliner en version mobile. Et le plus agréable pour vos utilisateurs !
Pour conclure, il est important de préciser qu’il sera compliqué pour vous de construire votre site avec Adobe Commerce si vous n’avez aucune notion de développeur web. L’aspect open source signifie que vous devez coder, donc vous faire accompagner si vous n’êtes pas en capacité de le faire. Le prix, élevé, comme celui de Shopify, est aussi souvent critiqué par ses utilisateurs.
Prestashop
Prestashop est également une plateforme open source. On l’apprécie pour son installation relativement facile et son pricing ultra attractif (de 4$ à 14$ par mois !).
Un autre avantage de ce CMS e-commerce est le fait qu’il y soit possible d’installer près de 2,500 plugins qui assureront le bon fonctionnement et la performance du site.
Cependant, LA chose intéressante à retenir sur Prestashop est son aspect paiement sécurisé : ils utilisent des solutions de check-out comme Google Pay et Paypal.
En un mot, Prestashop est intéressant pour son prix, ses plug-ins, et la possibilité d’offrir à vos clients une myriade d’options de paiements sécurisés.
Si on passe aux choses qui peuvent peut-être vous déranger, le fait que la plateforme soit open source peut en gêner certains : même s’il n’est pas affreusement compliqué de créer son site, la participation d’une personne à l’aise avec la technologie et le code peut être nécessaire. Aussi, vous ne trouverez pas de service client à proprement parler avec ce CMS : il s’agit plus de la communauté qui s’entraide et se guide sur les pages de support.
WooCommerce
Si vous cherchez à monter votre site e-commerce en quelques jours, WooCommerce pourrait être la solution ! Shopify et Adobe Commerce sont souvent considérés comme LES références lorsqu’on en vient aux CMS. Cependant, le plug-in de WordPress a su en convaincre plus d’un : en 2019, ce sont près de 3.3 millions de sites web qui ont été créés avec WooCommerce (source : BuiltWith). Pourquoi donc choisir ce plug-in et pas un autre ? Quels sont les éléments à prendre en compte ? On vous dit tout !
WooCommerce se différencie de ses compétiteurs par deux aspects : l’open source et la gratuité. Comme mentionné précédemment, l’open source permet donc à n’importe qui de modifier le code du logiciel afin de personnaliser le site. De plus, l’utilisation de la plateforme la plus basique est gratuite. Pas mal pour se lancer, donc !
Un autre des avantages sur WooCommerce réside dans le fait que la plateforme sera très intuitive pour ceux ayant l’habitude de manier WordPress : ils reconnaîtront l’interface très similaire.
Comme tous les CMS open source, WooCommerce est complètement personnalisable : du footer jusqu’aux fiches produits, en passant par l’étape check-out : faites ressembler votre site à votre marque !
Cependant, un e-commerçant choisissant WooCommerce pourra potentialiser à 100% sa boutique en ligne en ajoutant des plug-ins. Il en existe des centaines ! Et qui dit plug-ins sur plug-ins dit malheureusement souvent ralentissement du chargement et de la performance de votre CMS. Pourquoi ? Car ces derniers prennent beaucoup de souvenirs, tout simplement.
Big Commerce
Comme sur la majorité des CMS cités ci-dessus, le plan standard de Big Commerce reste très accessible ($29,95 par mois). Cependant, à garder en tête qu’à un certain niveau, la plateforme appliquerait des tarifs spéciaux : les e-shop générant plus de 3000 de commandes par an seraient facturés entre $900 et $1500 mensuels !
Au-delà de l’aspect pricing, Big Commerce présente les avantages classiques des CMS :
- De bons outils de management, des produits jusqu’au reporting
- Des modules marketing avec l’intégration de mots-clés (on n’oublie pas le SEO !), la création de coupons discounts etc
- Une comptabilité avec de nombreux outils tels que MailChimp ou encore QuickBooks
- Un service client ultra réactif et joignable (presque) à toute heure
Mention spéciale aux 14 jours d’essai gratuit et au fait que le nombre d’administrateurs ne soit pas limité !
Cependant, il est important de noter que Big Commerce n’est pas open source. Difficile, donc, de customiser son site ou de pouvoir profiter des templates les plus cool sans avoir à sortir son portefeuille.
Commerce Cloud
Commerce Cloud, CMS développé par Salesforce (mais si vous savez ! Le big leader du CRM) semble encore être un peu sur la touche : bénéficiant de moins de notoriété que ses compères, il est plus compliqué de trouver des avis détaillés sur le CMS.
Cependant, ses utilisateurs lui attribuent la note honorable de 8.3/10 sur TrustRadius (celle de Shopify, par exemple, s’élevant à 8.8/10). Ce qui est apprécié dans le logiciel ?
Le dashboard apparemment très clair montrant la data essentielle concernant votre e-commerce :
- L’historique des acheteurs
- Le statut des commandes
- Les éventuels problèmes rencontrés par vos clients
- Des notes et des informations sur vos clients (exemple : untel a interagit avec le service client à telle date)
On y retrouve également plus de 4,000 app compatibles afin de propulser votre CMS on top !
Si on évoque les potentiels points négatifs, Commerce Cloud n’est pas open source. Pratique donc, pour ceux ne sachant pas coder, mais difficile à nouveau de créer un site 100% fidèle à son univers de marque…
Volusion
Un CMS qui ne vous dit peut-être pas grand-chose mais qui est pourtant l’un des plus anciens de l’histoire du e-commerce ! Pour Volusion, l’aventure commence en 1999 et depuis, c’est près de 30,000 boutiques en ligne que le logiciel fait tourner.
La team JUST recommande ce CMS aux petites boutiques en ligne ayant un nombre de produits bien limité. En effet, le “mini plan”, gratuit, permet de vendre en ligne près de 100 produits différents.
Comme pour toutes ses autres formules, ce plan comprend un check-out sécurisé et ne prend pas de commission sur les transactions (contrairement à Shopify, entre autres !).
Un autre point spécialement appréciable chez Volusion est ses outils d’optimisation SEO, non présents sur tous les CMS.
À noter : il faudra sortir le porte-feuille pour avoir accès à certaines features type suivi des commandes.
Ecwid
Avant de rentrer dans les points forts et points faibles d’Ecwid, il est important de relever le fait que contrairement à ses compétiteurs, le CMS ne permet pas de construire un site web de A à Z. Il s’agirait plutôt d’un widget permettant de vendre vos produits sur un site ou une présence en ligne déjà établie.
Grosso modo, Ecwid vous permet d’ajouter votre catalogue de produits à votre site : photos, prix, etc…
En termes de pricing, Ecwid demeure gratuit si vous commercialisez moins de 10 produits : autant vous dire qu’il faudra débourser un peu d’argent ($35 pour aller jusqu’à 2,500 produits).
Comme les CMS cités précédemment, l’outil vous permet donc d’ajouter les moyens de paiement de votre choix (près de 86 sont compatibles). Vous retrouverez également toutes les fonctionnalités basiques d’un CMS sur Ecwid (ajout de produits, suivi des ventes…). Bon à savoir : votre site peut être traduit dans près de 53 langues différentes avec le widget !
Aujourd’hui, ce sont près de 900 000 e-shops qui utiliseraient le logiciel. Bonne nouvelle : si vous choisissez donc Ecwid, vous pouvez être quasiment certain que le CMS ne disparaîtra pas du jour au lendemain (la crise touche malheureusement aussi les Saas 😉).
SquareSpace
Avant de présenter l'avant-dernier CMS e-commerce de notre top, saviez-vous que Zendaya fut un temps égérie des publicités de l’outil ? Qui a dit que les Saas n’étaient pas stylés ?
Tout ça pour vous dire que SquareSpace ne néglige pas son image et son aspect “cool”. Cela se fait ressentir sur l’outil : l’interface est spécialement agréable, “propre” et intuitive pour l’utilisateur. Un point à ne pas négliger !
Avant tout pensée pour les créatifs, la plateforme gagne aujourd’hui de plus en plus de terrain pour tous les types d’e-commerce et offre toutes les fonctionnalités classiques d’un CMS (vente de produits, suivi des commandes etc..).
N’étant pas open source, SquareSpace propose donc des templates ajustables à ses clients. Bon à savoir : ces derniers sont censés être les plus jolis et premium du marché. De même pour la partie blog : étant à la base destinée aux créatifs, la plateforme laisse donc beaucoup de flexibilité aux utilisateurs pour tout ce qui relève de la création de contenus.
Pour finir, parlons bien, parlons pricing : la version basique e-shop de SquareSpace coûte $24 mensuels. Besoin d’une bonne nouvelle ? Le CMS ne facture pas à la transaction !
VTEX
VTEX fait clairement partie des pionniers des CMS. Fondée en 1999 par deux ingénieurs brésiliens, la solution est aujourd’hui utilisée par des géants tels que Walmart.
Le CMS propose toutes les fonctionnalités classiques et semble spécialement apprécié est le côté omnichannel et l’interface simple et facile d’usage. Avec VTEX, il est aussi possible d’aller très loin pour vos clients : personnaliser une promotion, l’appliquer seulement à certains… La plateforme sait aussi se renouveler et propose très régulièrement de nouvelles fonctionnalités.
Cependant, attention : VTEX a été pensée pour les grandes marques dont il se peut que vous ayez besoin d’aide si vous n’avez pas déjà un département tech dans votre entreprise. Le pricing est aussi reproché à la plateforme : à partir de $250, tout de même !
Taux de conversion mobile : comment l'optimiser ?
“L’achat sur téléphone, c’est le futur”. Il y a 5 ans, nous ne vous aurions pas contredit, mais aujourd’hui, nous vous disons que la révolution mobile se passe maintenant !
En effet, la rumeur court qu’il y a plus de téléphones portables sur cette planète que de brosses à dents ! De source plus fiable, nous pouvons affirmer que 58.99% du trafic Internet se faisait sur téléphone à la fin 2022. Un chiffre impressionnant, qui donne clairement envie de mettre les chances de son côté lorsqu’on en vient au shopping sur mobile.
Même si le taux de conversion de ce dernier ne cesse d’augmenter (3,5% tandis que celui sur ordinateur s’élève à 3,9%), il ne se révèle pas encore optimal. Sur mobile, les utilisateurs peuvent expérimenter maintes frustrations : temps de chargement du site trop long, menu trop compliqué… Que faut-il donc éviter pour augmenter son taux de conversion mobile ? Suivez-le guide !
1. Opter pour un site mobile responsive et un design adapté
Un conseil qui peut paraître évident mais qui n’est pourtant pas encore appliqué sur l’ensemble de la Toile : aujourd’hui, c’est près de 23.83% du meilleur million des sites web qui ne sont pas mobile friendly.
Sur téléphone, on est facilement distrait : messages, notifications… Faire rester l’utilisateur sur son site constitue donc une tâche particulièrement fastidieuse.
Pour être mobile responsive, il faut se concentrer sur deux aspects :
- Une navigation fluide et rapide.
- Des contenus qui s’adaptent à la taille des plus petits écrans.
En ce qui concerne la navigation, faites en sorte de proposer un menu clair qui met en avant vos produits, sans trop entrer dans le détail. Mettons que vous êtes une marque de vêtements et que vous proposez à la fois des t-shirts à manches courtes, à manches longues, sans manche et enfin avec différentes encolures. Vous n’allez pas détailler toutes ces catégories dans le menu : cela rendrait le tout indigeste et peu clair pour votre utilisateur. Préférez plutôt une section “top”, où vous grouperez à la fois les chemises, les hauts de soirée, les t-shirts… À l’utilisateur de filtrer s’il cherche un produit spécifique !
Un autre point à considérer est le fait qu’il n’est pas toujours agréable de remplir un formulaire depuis un smartphone : l’option remplissage automatique est un bon allié, il permettra à votre utilisateur d’aller plus vite.
Afin d’être encore plus mobile friendly, nous vous suggérons également d’agrandir vos CTA (Call-To-Action). S’ils sont plus petits en version desktop, c’est qu’il est davantage facile de cliquer à l’aide d’une souris ou d’un curseur. Sur smartphone, avec les doigts, c’est une autre affaire…
Une autre règle d’or consiste à se cantonner à 1 CTA par page, histoire de ne pas trop troubler les messages pour l’utilisateur.
2. Mettre en évidence les boutons d’achat pour optimiser votre taux de conversion mobile
Pour rebondir sur les CTA, parlons boutons d’achat : “Ajouter au panier”, “Acheter maintenant”... Sur mobile, on a tendance à scroller, encore et encore. Prenons le cas d’un potentiel client qui clique sur un produit. Intéressé, il lit le descriptif, scroll et au moment où il est certain de bien vouloir l’acheter, le bouton pour n’est plus à sa portée ! Agacé, il décidera sûrement de lâcher l’affaire !
Pour éviter ce cas de figure, optez donc pour un bouton sticky, c'est-à-dire qui reste visible peu importe à quel niveau de la page se trouve l’utilisateur.
3. Réduire le temps de chargement des pages
L’achat sur mobile s’adresse en général aux profils qui veulent aller vite. Rapidité et simplicité sont deux mots à garder en tête lors de l’optimisation de votre taux de conversion sur mobile. En effet, 0,1 seconde de chargement en moins sur vos pages augmenterait de 8% votre taux de conversion.
Par quoi commencer ?
Assurez-vous d’avoir bien désactivé les fonctionnalités inutilisées de votre CMS. Sur Shopify, qui utilise un système d’applications, plus vous en ajoutez, plus votre site sera long à charger.
Une autre tactique consiste à compresser vos fichiers CSS et JavaScript. Il est possible de faire ça manuellement, même si cela requiert certaines connaissances techniques. Vous pouvez aussi accomplir cette mission en téléchargeant une application telle que Plug in Speed.
4. Faire des recommandations produits on-page
Dans le but de faire ce qu’on appelle de l'up sell/cross-sell. Ainsi, l’utilisateur peut voir ce qui est le plus pertinent compte tenu de l’article qui l’intéresse, sans avoir à explorer le menu, moins “confortable” sur mobile.
5. Faire des campagnes spécifiques pour mobiles
Pour booster votre taux de conversion mobile, tentez de faire des campagnes spécifiques pour ce médium. Votre marque a une application ? Un bon moyen est de proposer une réduction valable sur l’app uniquement, et non sur le site. Avec cette tactique, à vous les téléchargements et le trafic !
6. Raccourcir le tunnel d’achat
Le plus de clic il faut pour accéder à l’étape finale, le moins de chance vous aurez de convertir ! Et c’est là que JUST intervient. Notre ambition ? Réduire drastiquement les étapes du parcours d’achat. Notre bouton magique accompagne le client du début à la fin de son expérience, il peut ainsi ajouter au panier et régler en seulement en 1-clic.
7. Récolter les mails sans être intrusif
Sur téléphone ou sur ordinateur, il faut souvent bien plus d'une session pour faire convertir un visiteur. Un bon moyen d'accélérer le processus est de les ajouter à votre mailing list. Cependant, attention : récolter des adresses e-mails sur mobile peut s'avérer fastidieux !
L'espace d'exploration sur ce médium est limitée en raison de la plus petite taille de l'écran, polluer donc ce dernier avec des pop-ups/formulaires est à proscrire. De plus, depuis 2017, le référencement opéré par Google défavorise les sites contenant des pop-ups. À vous de trouver un moyen non intrusif d'inciter à renseigner de la data ! Un bandeau proposant un discount lors de l'inscription à la newsletter (cf exemple) peut vous permettre de collecter des leads efficacement.
8. Optimiser sa version mobile pour la recherche Google
Savez-vous que c’est la version mobile que Google prend en compte quant au référencement ? Le moteur de recherche indexe les sites et les classe dans les résultats selon le fait qu’ils soient mobile friendly ou non. C’est donnant-donnant : optimiser votre version mobile augmentera votre taux de conversion ET vous fera apparaître dans les premiers résultats de recherche pour… à nouveau augmenter votre trafic et votre taux de conversion !
Salons e-commerce 2023 : les incontournables
Qui dit nouvelle année dit nouveaux salons e-commerce ! L’équipe JUST a mené l’enquête en sondant ses marques et ses compagnies amies. Quels sont les évènements du retail à ne pas manquer en 2023 ? Où échanger avec les marques ou à l’inverse, présenter sa marque ? Ou trouver les meilleurs partenaires pour soutenir et propulser son site eshop on top ? Et enfin ou réseauter (ça fait aussi partie du jeu) ? Découvrez sans plus attendre notre calendrier des événements e-commerce auxquels assister en 2023.
Février
Future of Retail & E-Commerce By Hub Institute
Ce salon organisé par le Hub Institute n’implique pas moins de 2000 décideurs retail, luxe et fashion. Au programme ? Retour sur année compliquée pour nos commerçants : inflation, crise énergétique, difficulté d’approvisionnement, pénuries, transition durable…
Marques et retailers pourront réfléchir ensemble à des questions telles que la défense du pouvoir d’achat tout en assurant une marge. Ou encore à la révision d’un modèle économique dans une logique de proximité.
👉 Future of Retail & E-Commerce By Hub Institute - Paris
7 et 8 février 2023 au Palais Brongniart, 75002
9 février en ligne
Prix : à partir de 540€
Mars
Techinnov
Techinnov, c’est le salon qui rassemble chaque année plus de 600 start-ups et entreprises innovantes. Là-bas, on se balade de stand en stand, on écoute les speakers (près de 100 !) animant conférences et tables rondes. Et surtout, on vient à la rencontre d’investisseurs (100 aussi) qui sont là pour soutenir l’écosystème de l’innovation en France.
28 mars 2023 Parc Floral de Paris, 75012
Prix : à partir de 490€
Stratégie client
Stratégie client, c’est le salon de la relation clients. Comment l’améliorer ? Comment simplifier les tâches répétitives et gagner du temps ? Conférence, workshops et rencontre avec les exposants : fidéliser vos clients en leur proposant les meilleures solutions d’accompagnement.
28, 29 et 30 mars 2023 à Paris Porte de Versailles, pavillon 5, 75015
Prix : gratuit
E-marketing Paris
E-marketing Paris, a.k.a le rendez-vous des professionnels du digital ! Chaque année, le salon réunit en quelques chiffres : 17 000 participants et 317 exposants spécialisés en marketing et stratégie clients. Côté conférences, on retrouve des top profils tels que Kelly Massol, CEO chez Les Secrets de Loly ou encore Cécile Lochard, directrice du développement durable chez Guerlain.
28, 29 et 30 mars 2023 à Paris Porte de Versailles, pavillon 5, 75015
Prix : gratuit
Avril
Shop! Le salon by Popai
Des exposants spécialisés PLV (Publicité sur le Lieu de Vente) au conseil en digital (marketing, trafic, audience…), en passant par le retail, Shop! semble être le genre d'événements où l’on fait de belles rencontres.
4 au 6 avril 2023, Paris - Portes de Versailles, Pavillon 4, 75015
Prix : gratuit
Go Entrepreneurs
Envie de vous lancer ou de rencontrer des gens comme vous, qui ont osé franchir le pas de l’entrepreneuriat ? Il se pourrait que Go Entrepreneurs soit l’opportunité que vous cherchez ! Vous aurez même peut-être la chance d’y croiser Guillaume Gibault, fondateur du Slip Français ou Frédéric Mazzella, fondateur de Blablacar.
5 et 6 avril 2023 à la Défense Arena, 92000
Prix : gratuit
Juin
Viva Technology
Viva Technology ou le plus grand événement tech en Europe ! Pour cette septième édition, ce sont près de 91,000 visiteurs et de 2,500 exposants qui sont attendus. Pour exposer ou juste pour jeter un coup d’œil, ce salon est un véritable must pour se faire connaître. Il paraît qu’Emmanuel Macron y aurait déjà fait un speech l’année dernière, mais aussi Jack Ma, fondateur d’Alibaba. Rien que ça !
14 au 17 juin 2023 - Paris Expo Porte de Versailles - 75015
Prix : partir de 145€
Septembre
Maison & Objet
Le salon des marques qui veulent se faire connaître… Décoration, design et art de vivre : chaque année, les marques exposées rencontreraient près de 60 000 acheteurs. En tant que marque ou prestataire pour ces dernières, Maison & Objet est un véritable must pour les commerçants.
7 au 11 septembre 2023 - Parc des Expositions Paris Nord Villepinte, 93420
Prix : inconnu
Paris Retail Week
Paris Retail Week, c’est le salon de la rentrée où tous les acteurs de l’éco-système retail se retrouvent. Conférences, workshops et bien sûr des stands de tous les acteurs innovants de l’industrie. Les mentors pour l’édition de 2023 ? Bastien Valensi, fondateur chez Cabaïa, sur l’e-commerce omnicannal. Ou encore Maud Behaghel, Senior Director of Strategy and Research chez Vinted sur les Marketplaces.
Du 19 au 21 septembre 2023- Paris Expo, Pavillon 4, Porte de Versailles, 75015
Prix : inconnu
Novembre
MIF Expo : Le salon du Made in France
Pour représenter sa marque ou pour prospecter, le salon MIF est un des interatables des salons e-commerce 2023. Mode, déco, gastronomie ou encore enfance, c’est à chaque fois plus de 100 exposants qu'accueille l’évènement. Alors, avez-vous votre badge ?
👉 MIF Expo : Le salon du Made in France
Du 9 au 12 novembre 2023
Porte de Versailles, hall 3, 75015
Prix : inconnu
C'est quoi le social shopping ?
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. On vous en dit plus dans un instant !
Il y a dix ans, on nous aurait parlé de social shopping, on aurait pensé qu’il s’agissait simplement d’une rencontre fortuite avec un copain dans votre magasin préféré. Ou de votre super copine qui vante à la terre entière sa fameuse crème miracle !
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. Instagram et compagnie s’intègrent donc dans votre parcours client. Bref, on ne se contente plus de vendre GRÂCE aux réseaux sociaux mais on vend SUR les réseaux sociaux.
Mais qu’est-ce que vaut exactement le social shopping ? Quelle est sa valeur ajoutée ? Décryptage.
🤓 Un peu de contexte
Début 2022, c’est près de 4,62 milliards d’utilisateurs actifs qu’on comptait sur les différentes plateformes communautaires. Cela représente presque la moitié de la population mondiale ! Le contexte de la crise sanitaire du COVID-19 n’a fait qu’encourager l’usage des réseaux sociaux : les français y passeraient donc quotidiennement près d’1h46.
Les e-commerçants y voient donc là un moyen de multiplier leur chance de vendre. Ces derniers font, et ça depuis un moment, une promotion permanente de leurs produits auprès de leur communauté grâce à des contenus attrayants, un bon storytelling, un branding bien rôdé ou encore du paid et de l’influence. En plus de ça, Instagram, Facebook et TikTok proposent également depuis quelques années de taguer les publications avec des étiquettes redirigeant vers le site des marques. On vous en dit plus dans une minute !
👍 Les avantages du social shopping
À l’heure actuelle, le social shopping est un véritable must pour les e-commerçants. En effet, quoi de mieux que de vendre à un utilisateur sur une plateforme avec laquelle il se sent tout spécialement familier ? De plus, on considère qu’en organique, les e-commerçants s'adressent à une communauté déjà consommatrice de leurs produits ou au moins intéressée (la preuve : les utilisateurs suivent la page de la marque). Le social shopping facilite l’expérience client : pas besoin de parcourir le site en long et en large pour trouver son modèle préféré. C’est plutôt dans le sens inverse, c’est le modèle préféré du client qui vient à lui !
Une des autres spécificités du social shopping est qu’elle encourage les interactions entre les acheteurs : sonder une communauté sur la qualité d’un produit, pouvoir échanger, découvrir… Si l’e-commerce est pratique, facile, l’acheteur se trouve bien souvent seul, face à son écran, tandis que sur les réseaux sociaux, il a un sentiment d’appartenance.
Pour finir, mettre à la vente ses produits sur les réseaux sociaux, c’est multiplier ses canaux de vente donc ses commandes. Un excellent levier gratuit, ou presque, à exploiter pour les jeunes e-commerçants !
👎 Les éventuels points négatifs du social commerce
Avant de lancer votre e-commerce sur les réseaux sociaux, il est important de garder en tête certains aspects : primo, tous les CMS ne sont pas forcément supportés par Instagram et Facebook. Par exemple, PrestaShop ne “matche” pas avec la fonctionnalité shopping de Facebook. Vous pouvez d’ailleurs découvrir la liste des plateformes compatibles avec l’outil juste ici.
Un autre point qu’il est important de révéler est la méfiance de certains utilisateurs vis-à-vis du social shopping : un sondage mené par MalwareBytes révèle en effet que 95% des interrogés ne font pas confiance aux réseaux sociaux en ce qui concerne leurs données personnelles et bancaires.
Une étude menée par Stackla montre également que l’authenticité des contenus postés par les marques est primordiale pour la majorité des utilisateurs (90%). Cependant, 51% des interrogés révèlent que moins de la moitié des contenus qu’ils aperçoivent sur les réseaux sociaux leur paraît “fausse”. Vous l’aurez compris : choisir de vendre sur ses réseaux sociaux, c’est aussi prendre le risque de se transformer en panneau publicitaire, et pas de la façon la plus finaude. Bref, l’important, c’est de savoir doser !
🛍️ Vendre sur Instagram
Concrètement, ça se passe comment ? Côté utilisateur, le parcours d’achat sur Instagram se déroule de cette façon : il voit sur une publication avec un ou des produits marqués d'une petite étiquette (appelée “tag”). Une fois qu’il clique sur un tag, il est alors redirigé vers la page descriptive du produit, toujours sur Instagram. Sur cette fameuse page figure un bouton “acheter”, qui redirige vers le site web de la marque.
S’il est déjà possible d’acheter et de payer directement sur Instagram aux États-Unis, ce n’est pas encore le cas en France. “À terme, nous prévoyons de l’étendre aux entreprises situées hors des États-Unis”, explique Meta.
Côté e-commerçant, pour vendre ses produits sur Instagram, la démarche est assez simple : il suffit d’accéder aux paramètres et de cliquer sur "Configurer Instagram Shopping”. La plateforme demandera ensuite d’associer la page Facebook du e-commerçant, ainsi qu’un catalogue de produits accessible via le CMS de ce dernier. Et c’est parti !
Une aubaine à ne pas louper pour les e-commerçants : ce sont près de 130 millions d’internautes qui appuient chaque mois sur des publications Instagram avec des tags de produits !
🤑 Vendre sur Facebook
Parfois un peu mis sur le carreau par les Gen Z car considéré comme “hasbeen”, Facebook est malgré tout un levier d’acquisition à ne pas négliger. Il demeure en effet le réseau social préféré des français : d’après le Digital Report France 2022, mené par We Are Social et Hootsuit, c’est près de 3 utilisateurs d’Internet sur 4 qui ont un compte sur la plateforme.
La création d’une boutique Facebook ressemble à celle d’Instagram : il faut importer son catalogue via son CMS. Pour chacun des articles montrés, il est possible d’ajouter directement sur le réseau des informations telles que le descriptif, la variante du produit, son prix… À nouveau, comme sur Instagram, l’utilisateur sera redirigé vers votre site web afin de passer commande. Aux Etats-Unis, il est déjà possible de passer commande et d’effectuer le paiement directement sur le réseau social. À quand cette option dans l’Hexagone ?
🤔 Vendre sur TikTok
TikTok est un réseau spécialement intéressant pour les e-commerçants. Les moins de 25 ans représentent près de 41% des utilisateurs de la plateforme. Quand on sait que 73% des Gen Z font du shopping en ligne, on se dit que le réseau chinois est une véritable mine d’or ! Etonnamment, TikTok ne propose toujours pas de fonctionnalités e-commerce. Ainsi, sur ce réseau, il faut donc pour l’instant se cantonner aux publicités et opérations d’influence. À voir ce que la suite nous réserve…
📱 Le live shopping, l’avenir du social commerce ?
Késako ? Il s’agit tout simplement du téléachat 2.0. Sur Instagram ou sur d’autres plateformes, il nous vient tout droit de la Chine, où il est très en vogue depuis 2016. Là-bas, ce sont déjà près de 90% des achats B2C qui se font sur mobile et les marques sont encore plus présentes sur les réseaux sociaux qu’en Occident.
Le live shopping consiste à faire une présentation de produits en live : essayages, crash test, démonstration… Les spectateurs peuvent commenter, poser leurs questions en direct et enfin acheter en ligne ce qui leur est montré. Sur les comptes de marque ou via des influenceurs, à quand l’achat directement sur la plateforme ?
Ce qui est certain, c’est que chez JUST, c’est que nous prenons très au sérieux le social shopping et qu’on vous prépare plein de belles surprises dans ce sens. Spoiler alert : on bosse sur une fonctionnalité permettant d’acheter en 1 clic via le live shopping. À dans quelques mois ? En attendant, n'hésitez pas à nous rencontrer !