Pour certains, la Rolex avant 50 ans, c’est le vrai succès. Pour d’autres, comme nous, c’est plutôt la newsletter marketing pour les entreprises de moins d’un an qui est un must 😉 Blague à part : que vous soyez à la tête d’une petite ou moyenne structure, que vous bossiez au département communication/marketing d’une marque, que vous gériez un blog ou même que vous soyez investi dans une asso, la newsletter est un indispensable dans votre stratégie inbound. Mais par où commencer ?
Dans cet article, l’équipe JUST vous dévoile les nombreux avantages d’une newsletter marketing mais vous fournit aussi 5 conseils pour la lancer. Ou pour la retravailler, au choix !
Newsletter marketing : définition
Grosso modo, une newsletter est un mail envoyé à une liste d’abonnés, clients ou prospects. Il faut bien évidemment que ces derniers se soient inscrits volontairement à votre newsletter ou aient donné leur accord pour la recevoir.
Véritable indispensable à votre stratégie marketing, elle permet de maintenir le lien avec votre communauté et de vous positionner comme expert dans votre domaine.
Les différents types de newsletter marketing
Il existe différents types de newsletters marketing, chacun ayant ses propres objectifs. Communément, on appelle “newsletter” les contenus mail émanant des marques, des entreprises et qui informent le lecteur des actualités, donnent des conseils selon le sujet d’expertise, des bons plans… Cependant, le terme newsletter peut également faire référence à :
- L’email de prospection/acquisition : le but est ici de faire convertir le prospect en utilisateur.
- L’email purement marketing : généralement adressé à un client déjà existant, il a pour but de le pousser à réitérer l’action d’achat. Programme de fidélisation, présentation produits avec CTA…
- L’email de service : c’est celui qui notifie votre client suite à une action menée sur votre site. Commande, mot de passe oublié…
- L’email de relance panier : c’est lorsque votre client, pourtant si bien parti, ne finalise pas son achat. Il s’agit alors de le relancer en lui rappelant les produits qu’il a ajoutés à son panier. On vous donne d’ailleurs dans cet article quelques conseils pour mettre toutes les chances de votre côté !
Pourquoi créer une newsletter marketing ?
Minute papillon ! Avant de dégainer votre plus belle plume et de donner de vos nouvelles à votre base, êtes-vous sûr.e de savoir pourquoi vous passez à l’action ?
La newsletter marketing serait le levier d’acquisition le plus performant ! En effet, le cabinet de conseil McKinsey a mené une étude prouvant que son efficacité est 40 fois supérieure à celles des communications Facebook et Twitter.
Besoin d’une autre raison pour vous lancer ? Pour chaque $1 investi dans vos newsletters, le ROI serait de $36. Pas mal, non ?
En fait, une newsletter a surtout pour but de rediriger vos lecteurs sur votre site web. Ainsi, dans un premier temps, elle améliore le trafic de votre site puis dans un second, devient un véritable moyen de conversion. Grâce à de nombreux outils (nous y reviendrons plus tard, c’est promis !) La newsletter permet aussi de suivre de très près votre performance, et ça avec des KPIs bien précis : taux d’ouverture, nombre de clics, nombre de désinscriptions…
Au-delà de l’aspect chiffré, une newsletter est aussi l’occasion d’entretenir le contact avec vos clients/prospects et d’affirmer votre marque.
5 conseils pour créer une newsletter marketing
1. Quels sont les objectifs de votre newsletter ?
Que cherchez-vous exactement à faire avec votre newsletter marketing ? Avant d’établir votre stratégie éditoriale, il est important de définir vos objectifs.
Vos contenus mail peuvent avoir le simple but d’informer et de fidéliser votre communauté. Késako ? La tenir au courant des updates de votre entreprise ou de votre produit, des actualités d’un secteur…
Comme évoqué ci-dessus, une newsletter a bien souvent pour objectif de générer du trafic sur votre site web. Comment ça marche ? Il s’agit d’inciter le destinataire à visiter votre site web en plaçant des liens redirigeant vers votre site.
Une newsletter marketing peut également être un bon moyen de récupérer de la data sur vos prospects. Vous pouvez tout à fait collecter les mails des utilisateurs de votre site web en leur proposant de s’inscrire à votre newsletter. Une technique infaillible que la team JUST a pu observer chez ses marques partenaires est la suivante : proposer un discount (souvent -10%) sur la première commande en échange d’une inscription à la newsletter. Aussi simple que ça ! Sinon, un simple bandeau ou un pop-up sur votre site web incitant à une inscription peut tout à fait marcher.
Que d’objectifs ! Pour finir, si vous voulez en savoir plus sur vos prospects et clients, la newsletter est également une option à considérer. En effet, cette dernière vous permettra d’A/B tester ce qui marche sur votre cible. Qu’est-ce qui fait cliquer cette dernière sur un lien ? Une image, un texte punchy ? Quels thèmes lui plaisent-ils ? Si vous choisissez de segmenter votre audience (par âge, par genre…), vous pourrez aussi constater qu’un contenu attirera un type de personne particulier tandis qu’un autre y restera insensible. Des informations à tirer qui peuvent se révéler intéressantes à décliner sur tous vos autres leviers : site web, réseaux sociaux…
2. Parlons peu, parlons bien : audience et segmentation
On ne parle pas de la même chose ni de la même façon à un client qui s’est déjà fait livrer 5 colis de chez vous et un prospect qui n’a encore jamais passé commande. De même pour une jeune cliente de 19 ans et un lecteur de 60 ans…
Avant de lancer ou de retravailler votre newsletter marketing, il est important de segmenter votre audience. Pourquoi ? Pour mieux faire convertir, tout simplement !
Avant de passer aux choses sérieuses a.k.a la segmentation, définissez vos buyers personas. À quoi ressemble votre cible ? Quel âge ont vos clients ? À quelles problématiques répondent vos produits ?
Une fois que vous aurez dressé le portrait de vos acheteurs type, vous pourrez segmenter votre audience selon les critères de chacun afin d’optimiser vos campagnes CRM.
Selon l’âge, le sexe, la statut du destinataire (client régulier ou prospect) vous pourrez adapter votre offre, vos thématiques, vos messages... Sans oublier de chouchouter vos clients fidèles.
3. Et la stratégie de contenu dans tout ça ?
C’est bon : vos objectifs sont fixés, votre audience est parfaitement segmentée. Mais qu’est-ce qu’on raconte maintenant ? Et comment ? Commençons par le commencement !
L'objet de mail de votre newsletter marketing
Tout d’abord, soignez l’objet de votre mail. Quelques règles d’or pour maximiser votre taux d’ouverture :
- Pas plus de 10 mots ! Le moins, le mieux : autrement votre objet sera coupé, ce qui peut rendre le message moins clair et vous décrédibiliser.
- Le choix des mots : restez simple et évitez l’effet clickbait pour éviter de brouiller le message ou de décevoir vos destinataires. Un objet drôle, énigmatique va certes augmenter votre taux d’ouverture mais à la longue, il va accroître vos désabonnements. Déception quand tu nous tiens…
- La personnalisation : ajoutez le prénom, le nom de votre destinataire pour un effet personnalisé. Et n’hésitez pas à signer votre newsletter d’un prénom : celui du fondateur de votre marque, le vôtre, ou même un fictif. Il est primordial que le lecteur comprenne qu’on s’adresse à LUI et de qui provient le message.
Sans oublier le contenu, bien sûr !
Place maintenant au texte d’aperçu : c’est une sorte de teasing de ce qui se trouve dans votre mail. Un peu comme pour un tweet, vous êtes limité dans le nombre de caractères. Il faut donc rester simple, très simple, en révélez un peu plus à vos lecteurs tout en leur donnant envie de lire. Vous connaissez la méthode KISS (Keep It Simple Stupid) ? Votre nouveau credo pour votre texte d’aperçu, et pour vos newsletter en général !
Concernant le corps de texte, on reste clair, concis et cohérent. Posez-vous la question : “Quelle action veux-je que mon lecteur fasse ?” et gardez toujours la réponse en tête.
Illustrez vos propos avec des images, plus digestes que des simples blocs de texte. Quant aux liens cliquables, insérez-les plutôt sur vos images ou sur des boutons avec des CTA (“la suite”, “voir la sélection” etc).
Dernier conseil : restez fidèle à votre ton, à votre image de marque, peu importe le segment que vous visez. Toujours dans la démarche d’être le plus clair possible et que vos destinataires vous identifient, vous reconnaissent le plus rapidement possible.
4. Quelques outils pour vous aider dans la création de votre newsletter marketing
Soyons honnêtes : impossible d’envoyer une newsletter via Gmail. Pourquoi ? Tout simplement car la plateforme ne permet pas d’envoyer plus de 500 mails par jour. Compliqué, donc, d’utiliser le logiciel si votre de base de données est importante. De plus, lors d’envois à un nombre important de destinataires, vous vous retrouverez facilement dans les spams. Et on ne parle même pas du suivi de la performance de vos envois : il n’est carrément pas faisable via le service de messagerie Google. Cependant, il existe un grand nombre d’outils d’automatisation qui risquent bien de vous aider dans la gestion et la création de votre newsletter !
JUST a sondé ses marques pour savoir quel était leur préféré. Retour sur les quatre qui sont le plus revenues !
HubSpot : L’outil CRM propose une option newsletter. Intéressant pour centraliser toutes vos informations… De plus, HubSpot propose les fonctionnalités classiques des autres logiciels de newsletter, à savoir l’analyse de vos retours clients sur les campagnes. Vous pouvez aussi voir à quel moment de la journée vos lecteurs ont ouvert votre mail (pas mal pour s’améliorer !) et sur quel support il est consulté. Sur le côté design, tout fonctionne en drag and drop. Facile et intuitif, donc, mais difficilement personnalisable à 100% !
MailChimp : Un grand classique dont on a tous déjà entendu parler ! La plateforme comprend un outil CRM, cependant apparemment relativement restreint dans sa version gratuite. Toujours dans sa version freemium, l’envoi des mails via MailChimp est limité à 2000 destinataires. On apprécie cependant l’ergonomie de l’outil et ses templates prêts à l’emploi.
SendinBlue : Frenchy (tout comme nous !), la plateforme est spécialement intéressante dans la mesure où elle offre dans sa version gratuite la possibilité d’A/B tester ! De plus, toujours gratuitement, la plateforme permet d’envoyer près de 300 mails par jour. Un bon début pour se lancer… Mention spéciale à l’outil de segmentation de contacts apparemment très sophistiqué.
Kiliba : Français eux aussi, Kiliba se connecte à votre CMS et automatise vos campagnes marketing. On retrouve dans l’outil plusieurs fonctionnalités : le design automatique (on retrouve plusieurs templates à partir de votre charte graphique importée), des scénarios marketing, des algorithmes de recommandation pour séduire vos clients et enfin une fonctionnalité segmentation client. Tout un programme !
5. Quand envoyer sa newsletter marketing ?
Pour lancer votre newsletter, vous voilà normalement paré.e. Cependant, dernier élément à ne pas négliger : le timing de votre newsletter marketing.
Une étude menée par SendinBlue révèle que côté e-commerce, le moment le plus opportun pour l’envoi de newsletter serait le mercredi à 10h. Précis, n’est-ce pas ?
En effet, le mercredi enregistrait un bien meilleur niveau de score en termes d’ouverture de clics (35% vs 10% le lundi, toujours d’après l’étude menée par SendinBlue). Pour découvrir secteur par secteur le meilleur moment pour envoyer sa newsletter marketing, découvrez l’article HubSpot à ce sujet.
La team JUST espère de tout cœur vous avoir aidé et se réjouit à l’idée de vous lire ! Envie de savoir à quoi ressemble notre newsletter ? Inscrivez-vous juste ici.
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C'est quoi le social shopping ?
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. On vous en dit plus dans un instant !
Il y a dix ans, on nous aurait parlé de social shopping, on aurait pensé qu’il s’agissait simplement d’une rencontre fortuite avec un copain dans votre magasin préféré. Ou de votre super copine qui vante à la terre entière sa fameuse crème miracle !
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. Instagram et compagnie s’intègrent donc dans votre parcours client. Bref, on ne se contente plus de vendre GRÂCE aux réseaux sociaux mais on vend SUR les réseaux sociaux.
Mais qu’est-ce que vaut exactement le social shopping ? Quelle est sa valeur ajoutée ? Décryptage.
🤓 Un peu de contexte
Début 2022, c’est près de 4,62 milliards d’utilisateurs actifs qu’on comptait sur les différentes plateformes communautaires. Cela représente presque la moitié de la population mondiale ! Le contexte de la crise sanitaire du COVID-19 n’a fait qu’encourager l’usage des réseaux sociaux : les français y passeraient donc quotidiennement près d’1h46.
Les e-commerçants y voient donc là un moyen de multiplier leur chance de vendre. Ces derniers font, et ça depuis un moment, une promotion permanente de leurs produits auprès de leur communauté grâce à des contenus attrayants, un bon storytelling, un branding bien rôdé ou encore du paid et de l’influence. En plus de ça, Instagram, Facebook et TikTok proposent également depuis quelques années de taguer les publications avec des étiquettes redirigeant vers le site des marques. On vous en dit plus dans une minute !
👍 Les avantages du social shopping
À l’heure actuelle, le social shopping est un véritable must pour les e-commerçants. En effet, quoi de mieux que de vendre à un utilisateur sur une plateforme avec laquelle il se sent tout spécialement familier ? De plus, on considère qu’en organique, les e-commerçants s'adressent à une communauté déjà consommatrice de leurs produits ou au moins intéressée (la preuve : les utilisateurs suivent la page de la marque). Le social shopping facilite l’expérience client : pas besoin de parcourir le site en long et en large pour trouver son modèle préféré. C’est plutôt dans le sens inverse, c’est le modèle préféré du client qui vient à lui !
Une des autres spécificités du social shopping est qu’elle encourage les interactions entre les acheteurs : sonder une communauté sur la qualité d’un produit, pouvoir échanger, découvrir… Si l’e-commerce est pratique, facile, l’acheteur se trouve bien souvent seul, face à son écran, tandis que sur les réseaux sociaux, il a un sentiment d’appartenance.
Pour finir, mettre à la vente ses produits sur les réseaux sociaux, c’est multiplier ses canaux de vente donc ses commandes. Un excellent levier gratuit, ou presque, à exploiter pour les jeunes e-commerçants !
👎 Les éventuels points négatifs du social commerce
Avant de lancer votre e-commerce sur les réseaux sociaux, il est important de garder en tête certains aspects : primo, tous les CMS ne sont pas forcément supportés par Instagram et Facebook. Par exemple, PrestaShop ne “matche” pas avec la fonctionnalité shopping de Facebook. Vous pouvez d’ailleurs découvrir la liste des plateformes compatibles avec l’outil juste ici.
Un autre point qu’il est important de révéler est la méfiance de certains utilisateurs vis-à-vis du social shopping : un sondage mené par MalwareBytes révèle en effet que 95% des interrogés ne font pas confiance aux réseaux sociaux en ce qui concerne leurs données personnelles et bancaires.
Une étude menée par Stackla montre également que l’authenticité des contenus postés par les marques est primordiale pour la majorité des utilisateurs (90%). Cependant, 51% des interrogés révèlent que moins de la moitié des contenus qu’ils aperçoivent sur les réseaux sociaux leur paraît “fausse”. Vous l’aurez compris : choisir de vendre sur ses réseaux sociaux, c’est aussi prendre le risque de se transformer en panneau publicitaire, et pas de la façon la plus finaude. Bref, l’important, c’est de savoir doser !
🛍️ Vendre sur Instagram
Concrètement, ça se passe comment ? Côté utilisateur, le parcours d’achat sur Instagram se déroule de cette façon : il voit sur une publication avec un ou des produits marqués d'une petite étiquette (appelée “tag”). Une fois qu’il clique sur un tag, il est alors redirigé vers la page descriptive du produit, toujours sur Instagram. Sur cette fameuse page figure un bouton “acheter”, qui redirige vers le site web de la marque.
S’il est déjà possible d’acheter et de payer directement sur Instagram aux États-Unis, ce n’est pas encore le cas en France. “À terme, nous prévoyons de l’étendre aux entreprises situées hors des États-Unis”, explique Meta.
Côté e-commerçant, pour vendre ses produits sur Instagram, la démarche est assez simple : il suffit d’accéder aux paramètres et de cliquer sur "Configurer Instagram Shopping”. La plateforme demandera ensuite d’associer la page Facebook du e-commerçant, ainsi qu’un catalogue de produits accessible via le CMS de ce dernier. Et c’est parti !
Une aubaine à ne pas louper pour les e-commerçants : ce sont près de 130 millions d’internautes qui appuient chaque mois sur des publications Instagram avec des tags de produits !
🤑 Vendre sur Facebook
Parfois un peu mis sur le carreau par les Gen Z car considéré comme “hasbeen”, Facebook est malgré tout un levier d’acquisition à ne pas négliger. Il demeure en effet le réseau social préféré des français : d’après le Digital Report France 2022, mené par We Are Social et Hootsuit, c’est près de 3 utilisateurs d’Internet sur 4 qui ont un compte sur la plateforme.
La création d’une boutique Facebook ressemble à celle d’Instagram : il faut importer son catalogue via son CMS. Pour chacun des articles montrés, il est possible d’ajouter directement sur le réseau des informations telles que le descriptif, la variante du produit, son prix… À nouveau, comme sur Instagram, l’utilisateur sera redirigé vers votre site web afin de passer commande. Aux Etats-Unis, il est déjà possible de passer commande et d’effectuer le paiement directement sur le réseau social. À quand cette option dans l’Hexagone ?
🤔 Vendre sur TikTok
TikTok est un réseau spécialement intéressant pour les e-commerçants. Les moins de 25 ans représentent près de 41% des utilisateurs de la plateforme. Quand on sait que 73% des Gen Z font du shopping en ligne, on se dit que le réseau chinois est une véritable mine d’or ! Etonnamment, TikTok ne propose toujours pas de fonctionnalités e-commerce. Ainsi, sur ce réseau, il faut donc pour l’instant se cantonner aux publicités et opérations d’influence. À voir ce que la suite nous réserve…
📱 Le live shopping, l’avenir du social commerce ?
Késako ? Il s’agit tout simplement du téléachat 2.0. Sur Instagram ou sur d’autres plateformes, il nous vient tout droit de la Chine, où il est très en vogue depuis 2016. Là-bas, ce sont déjà près de 90% des achats B2C qui se font sur mobile et les marques sont encore plus présentes sur les réseaux sociaux qu’en Occident.
Le live shopping consiste à faire une présentation de produits en live : essayages, crash test, démonstration… Les spectateurs peuvent commenter, poser leurs questions en direct et enfin acheter en ligne ce qui leur est montré. Sur les comptes de marque ou via des influenceurs, à quand l’achat directement sur la plateforme ?
Ce qui est certain, c’est que chez JUST, c’est que nous prenons très au sérieux le social shopping et qu’on vous prépare plein de belles surprises dans ce sens. Spoiler alert : on bosse sur une fonctionnalité permettant d’acheter en 1 clic via le live shopping. À dans quelques mois ? En attendant, n'hésitez pas à nous rencontrer !