Avant de lancer votre boutique en ligne, savez-vous sur quel créneau vous positionner ? Si vous êtes un peu perdu.e avec tous ces acronymes, pas de panique : la team JUST arrive à la rescousse !
C'est parti, découvrez les différentes facettes de l'e-commerce, qui ne se résume pas qu'à de simples sites de vente en ligne !
Le B2C : L'attention portée aux consommateurs 🤗
- Dans les entreprises B2C, les visiteurs de l'e-shop sont des particuliers et l'entreprise vend ses propres produits ou les sélectionne avec soin.
- Prenons Allbirds et Kylie Cosmetics, des exemples classiques de B2C.
- DTC (Direct to Consumer) : un type particulier de B2C, vous voyez !
Le B2B : Quand les professionnels se rencontrent 💼🤝
- Les entreprises vendent leurs produits à d'autres entreprises en ligne, souvent avec des volumes de commandes plus importants.
- Le service client est haut de gamme, et les options de personnalisation des commandes sont nombreuses.
Le C2C : La nouveauté dans le passé 👋💡
- Le commerce entre consommateurs, où les particuliers vendent directement à d'autres particuliers, fait un retour en force !
- Prenez eBay, par exemple. Plus confidentiels, mais des pépites comme Poshmark et Grailed brillent de mille feux.
Modèles B2C à l'honneur !
DTC pur jus
L'entreprise fabrique ses produits et les vend directement aux clients.
Avantages : Excellentes marges, contrôle de la qualité, prix compétitif.
Inconvénients : Une entreprise à part entière, il faut s'organiser !
DTC Abonnement
Seulement des ventes par abonnement.
Avantages : Clients fidèles = belle customer lifetime value !
Inconvénients : Ne convient pas à tous les produits.
White label et private label
Un produit unique, mais pas de fabrication en interne.
Avantages : Moins de tracas, concentrez-vous sur votre marque !
Inconvénients : Moins de marge et de contrôle de qualité.
E-retail : La curation en vedette 🛍️👌
On achète les produits d'autres marques en gros et on les revend aux clients.
Avantages : Un grand choix de produits sans avoir à les fabriquer.
Inconvénients : Aucun produit "fait maison", il est plus difficile de se démarquer.
Dropshipping : Faites le plein de produits sans stocks ! 🚀🛒
On ne produit ni ne stocke rien, on fait appel à un partenaire pour tout gérer.
Avantages : Pas besoin de stock = moins de logistique et d'investissements initiaux.
Inconvénients : Petites marges, dépendance envers les fournisseurs.
B2C wholesale : Un peu B2B, un peu B2C ! 💡💸
Certains business B2B se sont dit : et si on ouvrait au grand public ?
Avantages : Des gains d'efficacité opérationnelle.
Inconvénients : Les clients sont à l'affût des bons prix, il faut rester compétitif !
Choisir son modèle : Facile comme bonjour ! 🕵️♀️💭
1. Partez d'une audience qui vous passionne, écoutez leurs besoins, leurs frustrations.
2. Que veulent-ils ? Du choix ou de la simplicité ? Des abonnements ou de l'unique ?
3. Prenez en compte vos ressources, soyez pragmatique et réaliste.
4. Jouez sur vos compétences et votre talent, c'est l'atout secret !
5. Vous voulez vous démarquer dans l'e-commerce ? Alors, plongez maintenant et choisissez le modèle qui révolutionnera votre business en ligne ! Allez, au travail ! 🚀💼
Plus d'articles
C'est quoi le social shopping ?
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. On vous en dit plus dans un instant !
Il y a dix ans, on nous aurait parlé de social shopping, on aurait pensé qu’il s’agissait simplement d’une rencontre fortuite avec un copain dans votre magasin préféré. Ou de votre super copine qui vante à la terre entière sa fameuse crème miracle !
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. Instagram et compagnie s’intègrent donc dans votre parcours client. Bref, on ne se contente plus de vendre GRÂCE aux réseaux sociaux mais on vend SUR les réseaux sociaux.
Mais qu’est-ce que vaut exactement le social shopping ? Quelle est sa valeur ajoutée ? Décryptage.
🤓 Un peu de contexte
Début 2022, c’est près de 4,62 milliards d’utilisateurs actifs qu’on comptait sur les différentes plateformes communautaires. Cela représente presque la moitié de la population mondiale ! Le contexte de la crise sanitaire du COVID-19 n’a fait qu’encourager l’usage des réseaux sociaux : les français y passeraient donc quotidiennement près d’1h46.
Les e-commerçants y voient donc là un moyen de multiplier leur chance de vendre. Ces derniers font, et ça depuis un moment, une promotion permanente de leurs produits auprès de leur communauté grâce à des contenus attrayants, un bon storytelling, un branding bien rôdé ou encore du paid et de l’influence. En plus de ça, Instagram, Facebook et TikTok proposent également depuis quelques années de taguer les publications avec des étiquettes redirigeant vers le site des marques. On vous en dit plus dans une minute !
👍 Les avantages du social shopping
À l’heure actuelle, le social shopping est un véritable must pour les e-commerçants. En effet, quoi de mieux que de vendre à un utilisateur sur une plateforme avec laquelle il se sent tout spécialement familier ? De plus, on considère qu’en organique, les e-commerçants s'adressent à une communauté déjà consommatrice de leurs produits ou au moins intéressée (la preuve : les utilisateurs suivent la page de la marque). Le social shopping facilite l’expérience client : pas besoin de parcourir le site en long et en large pour trouver son modèle préféré. C’est plutôt dans le sens inverse, c’est le modèle préféré du client qui vient à lui !
Une des autres spécificités du social shopping est qu’elle encourage les interactions entre les acheteurs : sonder une communauté sur la qualité d’un produit, pouvoir échanger, découvrir… Si l’e-commerce est pratique, facile, l’acheteur se trouve bien souvent seul, face à son écran, tandis que sur les réseaux sociaux, il a un sentiment d’appartenance.
Pour finir, mettre à la vente ses produits sur les réseaux sociaux, c’est multiplier ses canaux de vente donc ses commandes. Un excellent levier gratuit, ou presque, à exploiter pour les jeunes e-commerçants !
👎 Les éventuels points négatifs du social commerce
Avant de lancer votre e-commerce sur les réseaux sociaux, il est important de garder en tête certains aspects : primo, tous les CMS ne sont pas forcément supportés par Instagram et Facebook. Par exemple, PrestaShop ne “matche” pas avec la fonctionnalité shopping de Facebook. Vous pouvez d’ailleurs découvrir la liste des plateformes compatibles avec l’outil juste ici.
Un autre point qu’il est important de révéler est la méfiance de certains utilisateurs vis-à-vis du social shopping : un sondage mené par MalwareBytes révèle en effet que 95% des interrogés ne font pas confiance aux réseaux sociaux en ce qui concerne leurs données personnelles et bancaires.
Une étude menée par Stackla montre également que l’authenticité des contenus postés par les marques est primordiale pour la majorité des utilisateurs (90%). Cependant, 51% des interrogés révèlent que moins de la moitié des contenus qu’ils aperçoivent sur les réseaux sociaux leur paraît “fausse”. Vous l’aurez compris : choisir de vendre sur ses réseaux sociaux, c’est aussi prendre le risque de se transformer en panneau publicitaire, et pas de la façon la plus finaude. Bref, l’important, c’est de savoir doser !
🛍️ Vendre sur Instagram
Concrètement, ça se passe comment ? Côté utilisateur, le parcours d’achat sur Instagram se déroule de cette façon : il voit sur une publication avec un ou des produits marqués d'une petite étiquette (appelée “tag”). Une fois qu’il clique sur un tag, il est alors redirigé vers la page descriptive du produit, toujours sur Instagram. Sur cette fameuse page figure un bouton “acheter”, qui redirige vers le site web de la marque.
S’il est déjà possible d’acheter et de payer directement sur Instagram aux États-Unis, ce n’est pas encore le cas en France. “À terme, nous prévoyons de l’étendre aux entreprises situées hors des États-Unis”, explique Meta.
Côté e-commerçant, pour vendre ses produits sur Instagram, la démarche est assez simple : il suffit d’accéder aux paramètres et de cliquer sur "Configurer Instagram Shopping”. La plateforme demandera ensuite d’associer la page Facebook du e-commerçant, ainsi qu’un catalogue de produits accessible via le CMS de ce dernier. Et c’est parti !
Une aubaine à ne pas louper pour les e-commerçants : ce sont près de 130 millions d’internautes qui appuient chaque mois sur des publications Instagram avec des tags de produits !
🤑 Vendre sur Facebook
Parfois un peu mis sur le carreau par les Gen Z car considéré comme “hasbeen”, Facebook est malgré tout un levier d’acquisition à ne pas négliger. Il demeure en effet le réseau social préféré des français : d’après le Digital Report France 2022, mené par We Are Social et Hootsuit, c’est près de 3 utilisateurs d’Internet sur 4 qui ont un compte sur la plateforme.
La création d’une boutique Facebook ressemble à celle d’Instagram : il faut importer son catalogue via son CMS. Pour chacun des articles montrés, il est possible d’ajouter directement sur le réseau des informations telles que le descriptif, la variante du produit, son prix… À nouveau, comme sur Instagram, l’utilisateur sera redirigé vers votre site web afin de passer commande. Aux Etats-Unis, il est déjà possible de passer commande et d’effectuer le paiement directement sur le réseau social. À quand cette option dans l’Hexagone ?
🤔 Vendre sur TikTok
TikTok est un réseau spécialement intéressant pour les e-commerçants. Les moins de 25 ans représentent près de 41% des utilisateurs de la plateforme. Quand on sait que 73% des Gen Z font du shopping en ligne, on se dit que le réseau chinois est une véritable mine d’or ! Etonnamment, TikTok ne propose toujours pas de fonctionnalités e-commerce. Ainsi, sur ce réseau, il faut donc pour l’instant se cantonner aux publicités et opérations d’influence. À voir ce que la suite nous réserve…
📱 Le live shopping, l’avenir du social commerce ?
Késako ? Il s’agit tout simplement du téléachat 2.0. Sur Instagram ou sur d’autres plateformes, il nous vient tout droit de la Chine, où il est très en vogue depuis 2016. Là-bas, ce sont déjà près de 90% des achats B2C qui se font sur mobile et les marques sont encore plus présentes sur les réseaux sociaux qu’en Occident.
Le live shopping consiste à faire une présentation de produits en live : essayages, crash test, démonstration… Les spectateurs peuvent commenter, poser leurs questions en direct et enfin acheter en ligne ce qui leur est montré. Sur les comptes de marque ou via des influenceurs, à quand l’achat directement sur la plateforme ?
Ce qui est certain, c’est que chez JUST, c’est que nous prenons très au sérieux le social shopping et qu’on vous prépare plein de belles surprises dans ce sens. Spoiler alert : on bosse sur une fonctionnalité permettant d’acheter en 1 clic via le live shopping. À dans quelques mois ? En attendant, n'hésitez pas à nous rencontrer !