Vous avez enfin décidé de commercialiser votre ligne de produits ou votre service ? Pour votre marque de lipgloss eco-friendly ou votre Saas, il s’agirait maintenant de choisir votre CMS e-commerce… À chacun son talent : vous n’êtes peut-être pas webdesigner ou très à l’aise avec le digital. Et il n’y aucun problème à cela ! La team JUST vous en révèle un peu plus sur les meilleurs supports de vente pour e-commerce.
CMS : définition
Derrière cette mystérieuse expression se cache en fait quelque chose de très simple : CMS signifie en anglais Content Management System. Mais encore ? En français, il s’agit grosso modo d’un système de gestion de contenu. On vous en dit un peu plus…
Un CMS se définit également comme un type de plateforme contenant ces 3 critères :
- Il donne la possibilité à son ou ses administrateurs de publier du contenu
- Il permet de gérer à la fois la forme (le design) et le contenu du site (ce que vous allez mettre dessus : des produits, des descriptions, des articles de blog…)
- Il peut-être géré et utilisé par plusieurs administrateurs
En un mot, il s’agit de la partie “cachée” d’un site web, de ce que voient les gens qui en sont chargés !
Il en existe 3 sortes : les Saas (pour faire simple, on fournit à l'utilisateur un logiciel situé dans le cloud), les Open Source (l'utilisateur peut modifier le code) et finalement les "propriétaires" (un CMS construit de A à Z par un tiers).
![Les 3 type de CMS](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ecb812ccca655593a2947a_635936764282922f1a3f87aa_cms-definition-750x354.png)
CMS e-commerce : quelle est la spécificité ?
Pour faire simple, un CMS e-commerce est le support qui va être utilisé par le marchand pour vendre. Les CMS e-commerce sont une solution clé en main pour les vendeurs : ils peuvent ainsi gérer leur site de vente en ligne et sont autonomes sur la partie ajout, modification ou suppression de contenu, sans avoir à coder.
Mais comment donc le choisir ? On a interrogé les centaines de marques avec lesquelles nous travaillons pour savoir quels étaient leurs préférés. Certains ont fait l’unanimité, d’autres sont plus contestés… Avant de prendre votre décision, posez-vous et demandez-vous quels sont les critères que vous recherchez dans la future gestion de votre site web. Mais oui, d’ailleurs, qu’est-ce qui fait qu’un CMS est bon et pratique ? 🤔
Choisir un bon CMS : les critères à prendre en compte
La solution idéale pour choisir sa solution doit prendre en compte plusieurs critères :
- La réputation et notoriété du logiciel
- La facilité de compréhension de l’outil et son ergonomie (est-il pratique à manipuler pour quelqu’un qui n’y connaît pas forcément grand-chose ?)
- Un tableau de bord d’analyse avec une bonne vision de la data afin de suivre vos ventes et la performance de votre site
- De bons outils de webdesign afin que vous puissiez créer le site qui ressemble à votre marque et que cette dernière ne tombe pas aux oubliettes
- La possibilité de pouvoir fusionner certains de vos outils tels que celui de votre gestion de stocks, vos données marketing (CRM), votre marketplace et pourquoi pas vos réseaux sociaux si le social shopping vous tente.
- Un aspect SEO. Sur Google, la compétition pour apparaître dans les premières pages de recherche est compliquée, voire parfois difficile… Assurez-vous que l’heureux élu vous laisse la possibilité de modifier vos urls, méta balises et méta descriptions. Et que la partie blog vous permettra de mettre toutes les chances de votre côté pour attirer l’œil du Search Engine.
Les meilleurs CMS e-commerce
Shopify
Le grand classique des CMS pour les e-commerçants ! Zoom sur la plateforme canadienne qui a su en convaincre plus d’un (800 000 utilisateurs en 2019 !).
Parmi les nombreux avantages du CMS e-commerce, on retrouve l’aspect ergonomique. Du petit business au commerce ultra établi, la plateforme est décrite comme relativement facile d’usage. Shopify propose une fonction “drag and drop”, qui permet de construire facilement son site, sans avoir besoin de coder. Le CMS propose aussi des templates gratuits et customisables, ce qui donne la possibilité de lancer son site très rapidement.
L’un des autres avantages de la plateforme réside aussi dans le fait qu’il est possible de proposer une multitude de moyens de paiement aux utilisateurs, y compris ceux de tiers. Comme Shopify n’est pas magique (la plateforme propose déjà une myriades de fonctionnalités), il est aussi possible d’ajouter près 1200 applications et plug-ins afin d’exploiter votre site e-commerce au maximum.
Dans les éventuels aspects négatifs, certains de nos e-commerçants se plaignent du pricing (29$, 79$ ou 299$) en sachant que l’option la plus économique est très limitée. Un autre point : si Shopify est une plateforme qui permet de nombreuses choses, les aspects SEO et marketing peuvent être mis de côté. Certains se plaignent des restrictions de la feature blog, qui ne permettrait pas de créer des catégories. Il en va de même pour les templates : la sélection offerte est apparemment assez restreinte.
Adobe Commerce (ex Magento)
Un CMS e-commerce qu’on ne présente plus ! On vous en dit un peu plus sur les avantages de la plateforme et ses éventuels points négatifs. C’est parti ?
L’un des points les plus importants sur Adobe Commerce réside dans le fait que ce soit une plateforme open source. Késako ? Cela la rend flexible dans la mesure où il est possible de modifier le code source. À vous le template ultra personnalisé et l’installation de toutes les fonctionnalités nécessaires au développement de votre site !
La plateforme est également tout spécialement appréciée pour ses fonctionnalités très spécifiques que d’autres ne proposent pas forcément : par exemple, vous pouvez segmenter vos prix en fonction de différents groupes. Pour vos employés, vos clients VIP ou autres : vous pouvez proposer un prix différent.
Le dernier point particulièrement appréciable est l’aspect mobile friendly. En effet, Adobe Commerce est considéré comme le CMS le plus facile à décliner en version mobile. Et le plus agréable pour vos utilisateurs !
Pour conclure, il est important de préciser qu’il sera compliqué pour vous de construire votre site avec Adobe Commerce si vous n’avez aucune notion de développeur web. L’aspect open source signifie que vous devez coder, donc vous faire accompagner si vous n’êtes pas en capacité de le faire. Le prix, élevé, comme celui de Shopify, est aussi souvent critiqué par ses utilisateurs.
![Interface Adobe Commerce](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ecb812fa72856b8ca08d92_63593179f1328db2b19c70a7_dotcom48323-Adobe-All-Products-Overview-Pages-card-10-Adobe-Commerce_378x213-2x.png)
Prestashop
Prestashop est également une plateforme open source. On l’apprécie pour son installation relativement facile et son pricing ultra attractif (de 4$ à 14$ par mois !).
Un autre avantage de ce CMS e-commerce est le fait qu’il y soit possible d’installer près de 2,500 plugins qui assureront le bon fonctionnement et la performance du site.
Cependant, LA chose intéressante à retenir sur Prestashop est son aspect paiement sécurisé : ils utilisent des solutions de check-out comme Google Pay et Paypal.
En un mot, Prestashop est intéressant pour son prix, ses plug-ins, et la possibilité d’offrir à vos clients une myriade d’options de paiements sécurisés.
Si on passe aux choses qui peuvent peut-être vous déranger, le fait que la plateforme soit open source peut en gêner certains : même s’il n’est pas affreusement compliqué de créer son site, la participation d’une personne à l’aise avec la technologie et le code peut être nécessaire. Aussi, vous ne trouverez pas de service client à proprement parler avec ce CMS : il s’agit plus de la communauté qui s’entraide et se guide sur les pages de support.
WooCommerce
Si vous cherchez à monter votre site e-commerce en quelques jours, WooCommerce pourrait être la solution ! Shopify et Adobe Commerce sont souvent considérés comme LES références lorsqu’on en vient aux CMS. Cependant, le plug-in de WordPress a su en convaincre plus d’un : en 2019, ce sont près de 3.3 millions de sites web qui ont été créés avec WooCommerce (source : BuiltWith). Pourquoi donc choisir ce plug-in et pas un autre ? Quels sont les éléments à prendre en compte ? On vous dit tout !
WooCommerce se différencie de ses compétiteurs par deux aspects : l’open source et la gratuité. Comme mentionné précédemment, l’open source permet donc à n’importe qui de modifier le code du logiciel afin de personnaliser le site. De plus, l’utilisation de la plateforme la plus basique est gratuite. Pas mal pour se lancer, donc !
Un autre des avantages sur WooCommerce réside dans le fait que la plateforme sera très intuitive pour ceux ayant l’habitude de manier WordPress : ils reconnaîtront l’interface très similaire.
Comme tous les CMS open source, WooCommerce est complètement personnalisable : du footer jusqu’aux fiches produits, en passant par l’étape check-out : faites ressembler votre site à votre marque !
Cependant, un e-commerçant choisissant WooCommerce pourra potentialiser à 100% sa boutique en ligne en ajoutant des plug-ins. Il en existe des centaines ! Et qui dit plug-ins sur plug-ins dit malheureusement souvent ralentissement du chargement et de la performance de votre CMS. Pourquoi ? Car ces derniers prennent beaucoup de souvenirs, tout simplement.
![Ajouter des articles avec WooCommerce](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ecb812b9c8ab9abccd9812_635932775ad3faaaf0e427e6_ProductsByCategory.webp)
Big Commerce
Comme sur la majorité des CMS cités ci-dessus, le plan standard de Big Commerce reste très accessible ($29,95 par mois). Cependant, à garder en tête qu’à un certain niveau, la plateforme appliquerait des tarifs spéciaux : les e-shop générant plus de 3000 de commandes par an seraient facturés entre $900 et $1500 mensuels !
Au-delà de l’aspect pricing, Big Commerce présente les avantages classiques des CMS :
- De bons outils de management, des produits jusqu’au reporting
- Des modules marketing avec l’intégration de mots-clés (on n’oublie pas le SEO !), la création de coupons discounts etc
- Une comptabilité avec de nombreux outils tels que MailChimp ou encore QuickBooks
- Un service client ultra réactif et joignable (presque) à toute heure
Mention spéciale aux 14 jours d’essai gratuit et au fait que le nombre d’administrateurs ne soit pas limité !
Cependant, il est important de noter que Big Commerce n’est pas open source. Difficile, donc, de customiser son site ou de pouvoir profiter des templates les plus cool sans avoir à sortir son portefeuille.
Commerce Cloud
Commerce Cloud, CMS développé par Salesforce (mais si vous savez ! Le big leader du CRM) semble encore être un peu sur la touche : bénéficiant de moins de notoriété que ses compères, il est plus compliqué de trouver des avis détaillés sur le CMS.
Cependant, ses utilisateurs lui attribuent la note honorable de 8.3/10 sur TrustRadius (celle de Shopify, par exemple, s’élevant à 8.8/10). Ce qui est apprécié dans le logiciel ?
Le dashboard apparemment très clair montrant la data essentielle concernant votre e-commerce :
- L’historique des acheteurs
- Le statut des commandes
- Les éventuels problèmes rencontrés par vos clients
- Des notes et des informations sur vos clients (exemple : untel a interagit avec le service client à telle date)
On y retrouve également plus de 4,000 app compatibles afin de propulser votre CMS on top !
Si on évoque les potentiels points négatifs, Commerce Cloud n’est pas open source. Pratique donc, pour ceux ne sachant pas coder, mais difficile à nouveau de créer un site 100% fidèle à son univers de marque…
Volusion
Un CMS qui ne vous dit peut-être pas grand-chose mais qui est pourtant l’un des plus anciens de l’histoire du e-commerce ! Pour Volusion, l’aventure commence en 1999 et depuis, c’est près de 30,000 boutiques en ligne que le logiciel fait tourner.
La team JUST recommande ce CMS aux petites boutiques en ligne ayant un nombre de produits bien limité. En effet, le “mini plan”, gratuit, permet de vendre en ligne près de 100 produits différents.
Comme pour toutes ses autres formules, ce plan comprend un check-out sécurisé et ne prend pas de commission sur les transactions (contrairement à Shopify, entre autres !).
Un autre point spécialement appréciable chez Volusion est ses outils d’optimisation SEO, non présents sur tous les CMS.
À noter : il faudra sortir le porte-feuille pour avoir accès à certaines features type suivi des commandes.
![Construction d'un site e-commerce avec Volusion](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ecb8120fde97942c029e5e_635937448468104086af3090_volusion-features.png)
Ecwid
Avant de rentrer dans les points forts et points faibles d’Ecwid, il est important de relever le fait que contrairement à ses compétiteurs, le CMS ne permet pas de construire un site web de A à Z. Il s’agirait plutôt d’un widget permettant de vendre vos produits sur un site ou une présence en ligne déjà établie.
Grosso modo, Ecwid vous permet d’ajouter votre catalogue de produits à votre site : photos, prix, etc…
En termes de pricing, Ecwid demeure gratuit si vous commercialisez moins de 10 produits : autant vous dire qu’il faudra débourser un peu d’argent ($35 pour aller jusqu’à 2,500 produits).
Comme les CMS cités précédemment, l’outil vous permet donc d’ajouter les moyens de paiement de votre choix (près de 86 sont compatibles). Vous retrouverez également toutes les fonctionnalités basiques d’un CMS sur Ecwid (ajout de produits, suivi des ventes…). Bon à savoir : votre site peut être traduit dans près de 53 langues différentes avec le widget !
Aujourd’hui, ce sont près de 900 000 e-shops qui utiliseraient le logiciel. Bonne nouvelle : si vous choisissez donc Ecwid, vous pouvez être quasiment certain que le CMS ne disparaîtra pas du jour au lendemain (la crise touche malheureusement aussi les Saas 😉).
SquareSpace
Avant de présenter l'avant-dernier CMS e-commerce de notre top, saviez-vous que Zendaya fut un temps égérie des publicités de l’outil ? Qui a dit que les Saas n’étaient pas stylés ?
Tout ça pour vous dire que SquareSpace ne néglige pas son image et son aspect “cool”. Cela se fait ressentir sur l’outil : l’interface est spécialement agréable, “propre” et intuitive pour l’utilisateur. Un point à ne pas négliger !
Avant tout pensée pour les créatifs, la plateforme gagne aujourd’hui de plus en plus de terrain pour tous les types d’e-commerce et offre toutes les fonctionnalités classiques d’un CMS (vente de produits, suivi des commandes etc..).
N’étant pas open source, SquareSpace propose donc des templates ajustables à ses clients. Bon à savoir : ces derniers sont censés être les plus jolis et premium du marché. De même pour la partie blog : étant à la base destinée aux créatifs, la plateforme laisse donc beaucoup de flexibilité aux utilisateurs pour tout ce qui relève de la création de contenus.
Pour finir, parlons bien, parlons pricing : la version basique e-shop de SquareSpace coûte $24 mensuels. Besoin d’une bonne nouvelle ? Le CMS ne facture pas à la transaction !
VTEX
VTEX fait clairement partie des pionniers des CMS. Fondée en 1999 par deux ingénieurs brésiliens, la solution est aujourd’hui utilisée par des géants tels que Walmart.
Le CMS propose toutes les fonctionnalités classiques et semble spécialement apprécié est le côté omnichannel et l’interface simple et facile d’usage. Avec VTEX, il est aussi possible d’aller très loin pour vos clients : personnaliser une promotion, l’appliquer seulement à certains… La plateforme sait aussi se renouveler et propose très régulièrement de nouvelles fonctionnalités.
Cependant, attention : VTEX a été pensée pour les grandes marques dont il se peut que vous ayez besoin d’aide si vous n’avez pas déjà un département tech dans votre entreprise. Le pricing est aussi reproché à la plateforme : à partir de $250, tout de même !
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![](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c410ff3e61fdfaefd4_63873c3d08495c01d124a120_kobu-agency-7okkFhxrxNw-unsplash.jpeg)
5 façons de générer des prospects via un blog
Avoir un blog de marque ou d’entreprise, c’est chouette, mais vous êtes-vous déjà demandé à quoi ça servait exactement ?
À transformer vos visiteurs en prospects, entre autres ! Et faire de ces prospects des clients, mais ça, c’est une autre histoire… Au-delà de renforcer les liens avec votre communauté et de vous affirmer en tant que marque, votre blog s’avère être un excellent moyen de récupérer des informations sur vos visiteurs. Bref, on vous explique comment s’y prendre !
Les simples curieux qui se rendent sur votre site sont en général prêts à fournir quelques informations personnelles (adresse e-mail, numéro de téléphone…) en échange d’un petit service ou d’un partage de contenus qui puissent les intéresser. La collection de cette data vous permettra de les cibler dans vos ads sur les réseaux sociaux (Instagram, Facebook…) mais aussi de les contacter directement au cas échéant.
Un règle d’or ? Ce que vous proposez en échange du partage d’informations privées doit être facile d’accès, quasi instantané et cohérent avec votre public cible. On vous en dit un peu plus juste en dessous 👇
1. Offrir des guides ou des livres blancs pour générer des prospects via votre blog
Un grand classique du marketing ! Grosso modo, il s’agit de proposer un guide sur un sujet précis (d’une quinzaine à une centaine de pages) en échange d’un partage d’informations. L’utilisateur peut le télécharger après avoir complété un formulaire (les basiques : nom, prénom, adresse e-mail et numéro de téléphone).
Par exemple, Contentsquare, plateforme d’expérience digitale, propose à ses visiteurs un guide reliant big data et industrie automobile contre certaines informations (à noter que le renseignement du numéro de téléphone reste optionnel, afin d’éviter les frictions).
Le fameux guide est téléchargeable depuis l’onglet blog mais aussi depuis une landing page (on apprécie les subtilités des techniques SEO 😉).
Bref, si vous avez du temps devant vous (la qualité du guide doit être au rendez-vous), les livres blancs sont une excellente option pour générer des prospects via votre blog.
![Landing page de Contentsquare](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c410ff3e84a3faefd7_638740f2b348d1433e3df949_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-11-30%2520a%25CC%2580%252012.39.16.png)
2. Proposer un accès exclusif sur votre blog
Si votre blog se positionne en mode conseils et infos en avant-première, rendez le exclusif !
Késako ? S’il fournit de précieux conseils dont (quasiment tous) vos visiteurs auront envie de bénéficier, rendez le accessible via une inscription gratuite. À vous les adresses e-mails, les numéros de téléphone et pourquoi pas même les dates d’anniversaire… Bref, vous trouverez de quoi faire !
En plus de tisser des liens uniques avec vos visiteurs et de renforcer l’aspect communautaire de votre marque, vous agrandirez également votre base CRM.
3. Proposer un accès gratuit à votre service/votre produit sur votre blog
Dans le cas des B2B, proposer un accès gratuit sur votre blog, pour une durée limitée (par exemple 15 jours), pour générer des prospects est un véritable must.
Primo : si les visiteurs de votre blog sont prêts à tester votre service, c’est qu’ils sont déjà un minimum intéressés. Et deuzio : c’est l’occasion rêvée pour rafler de la data. Certains disent “pas de bras, pas de chocolat”, chez JUST, on préfère “pas de coordonnées renseignées, pas d’accès” !
HubSpot, SemRush… Nombreux sont les services usant de cette tactique !
B2C et séduit par la tactique ? À l’image de Nestlé Canada, on propose de recevoir des échantillons gratuits pendant une durée contre des infos ! Pratique, n’est-ce pas ?
![Accès gratuit à HubSpot](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c410ff3e1b2bfaefd6_638741595e7b184f1fd8a91f_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-11-30%2520a%25CC%2580%252012.41.03.png)
4. Proposer de recevoir des catalogues physiques ou numériques
Vous avez des centaines de produits et un catalogue de vos collections ? Comme Ikea, proposez de l’envoyer aux intéressés contre leurs informations. Physique (à envoyer par courrier) ou numérique (par mail), il vous permettra de récupérer des données et de mieux cibler vos communications. Alors, y aviez-vous pensé ?
![Ikea proposant de recevoir le catalogue contre de la data](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c410ff3e5e85faefd5_6387428ccd1c05184c318e76_mh-ikea-lead.jpeg)
5. Créer des sondages et des quizz pour rassembler
Une autre façon originale de transformer vos visiteurs en prospects est de proposer des sondages et des quizz sur votre blog. Engageants, interactifs et peut-être plus personnalisés que des simples articles, ils vous permettront d’user de la mécanique assez simple “renseignez votre email pour recevoir le résultat”. Simple et efficace !
Conclusion
Une fois que vous aurez trouvé vos tactiques pour générer des prospects via votre blog, vous pourrez donc relayer ce dernier ou votre landing page via différents médiums type emailing, réseaux sociaux… Et si l’envie vous prend de transformer vos prospects en clients en un clin d’œil, n’hésitez pas à nous faire signe juste ici.
#JUST #GetJUST #Blog #Prospects
![](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c29e969f09b500cebb_6398aff01320eb770e2c73e8_kelly-sikkema-Cg60_WXjvC4-unsplash.jpeg)
5 erreurs d'UX à éviter
À l’heure où plus de 2 milliards de personnes ont déjà commandé en ligne, la concurrence entre e-commerçants semble plus rude que jamais. Parcours d’achat, brand love, engagements, UX, UI… Que de sujets sur lesquels potentialiser pour booster ses ventes en 2023 ! Dans cet article, la team JUST se concentrera sur l’UX. Définition, conseils et erreurs à éviter : suivez le guide.
Qu’est-ce que l’UX ?
Derrière cet acronyme (un peu énigmatique, on vous l’accorde), se cachent les termes “User Experience”. Plait-il ? C’est ce qui englobe la qualité de l’expérience vécue par l’utilisateur de votre site web. L’UX inclut aussi bien l’aspect usabilité/accessibilité que l’impact émotionnel que peut ressentir votre client en naviguant sur votre e-commerce.
Mais comment justement rendre l’expérience sur votre site agréable ? En commençant par éviter le désagréable, pardi ! On vous donne 5 don’t faciles afin de diminuer les frictions ressenties par vos clients. Car qui dit bonne expérience dit hausse du taux de conversion…
Débutants ou experts UX designer, découvrez 5 astuces simples pour éviter les frictions lors de la navigation sur votre site.
![Le trio gagnant de l'UX : Objectifs, informations et besoins utilisateur](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c39e969fe6f500cebc_6398b1133c019a4e59f9c548_User-experience-diagram.png)
5 erreurs d'UX à éviter
1. Faire passer un second plan l’UX mobile
Quand on sait que 60.28% du trafic se fait sur mobile, on se dit qu’on a plutôt intérêt à rendre son UX la plus agréable possible sur ce medium. Et certains l’ont déjà bien compris : nombreuses sont les marques qui développent des applications, plus performantes et rapides qu’une page web (Zalando, Asos, Pimkie…).
Une application de marque relève pourtant les mêmes challenges qu’un site : dans les deux cas, son utilisation doit être simple et claire. Elle permet à l’utilisateur de minimiser ses actions. On oublie donc les manipulations et clics inutiles pour aller droit à l’essentiel.
Au-delà d’offrir la meilleure des expériences à vos visiteurs, un site web mobile friendly a bien d’autres avantages. En effet, il contribue aux bonnes pratiques SEO : Google utiliserait principalement la version mobile d’un site pour l’indexation et le classement.
Besoin d’une dernière bonne raison pour rendre son site mobile first ? Si votre marque est présente sur les réseaux sociaux (mauvais point si non !), vous devez savoir qu’une part de votre trafic leur est dûe. Et admettons-le : rares sont les gens qui scrollent Instagram ou TikTok depuis leur ordinateur… Bref, de votre profil sur les réseaux sociaux au site de votre marque, il n’y a qu’un pas. D’où l’importance de faire passer au premier plan votre UX sur mobile.
2. Rendre la navigation difficile
En moyenne, on estime que la durée de consultation d’une page web est de 52 secondes. Ça fait court, très court… Dès les premières secondes, on essaie donc de retenir l’attention de l’utilisateur. On rend l’info concise et précise et la navigation simple. Pour permettre à vos utilisateurs de naviguer librement, on adopte un sticky menu. Késako ? Il s’agit d’un menu qui sera toujours visible et utilisable par l’user, peu importe où il se trouve sur votre site e-commerce.
Côté ressenti/sentiment de l’utilisateur, on s’assure que le site soit agréable à l’œil : il faut que vos pages, visuellement parlant, soient cohérentes les unes avec les autres. Bref, on évite d’utiliser un design différent à chaque page.
3. Des pages trop longues… ou trop courtes !
Vous l’aurez compris : lisibilité et rapidité sont les maîtres-mots quand on en vient à l’UX.
Les pages trop chargées (en texte et images) sont donc à proscrire : au-delà de rendre l’information confuse, elles augmentent drastiquement le temps de chargement. Sachez donc hiérarchiser les données que vous souhaitez transmettre à l’utilisateur. Trop d’infos tuent l’info !
À contrario, 2 lignes ne pourront répondre aux potentielles questions de vos visiteurs. Pour le référencement et pour tenter d’être le plus précis possible, essayez de densifier vos descriptions et contenus. Vos utilisateurs peuvent décider d’abandonner leur panier car ils ne trouvent pas la réponse à leurs questions. Exemple : ils veulent vérifier la matière d’un pull. Impossible de trouver l’information dans la page produit. Tant pis : ils chercheront leur petite laine chez un autre e-commerçant !
4. Des parasites gênants 🦗
Des pop-ups dans tous les sens, de la musique sans avoir la possibilité (ou difficilement) de l’enlever, une inscription forcée à une newsletter ou à un abonnement, des publicités intempestives… Nous avons tous déjà vécu au moins une fois ce genre d’intrusion et nous savons à quel point elles peuvent être agaçantes. Pourquoi donc en faire cadeau à vos utilisateurs ?
Oubliez donc ce genre de fausse bonne idée et pensez à votre site comme si vous en étiez vous-même un utilisateur. Y resteriez vous plus de 10 secondes ?
5. Un processus de checkout trop long
Toujours dans le chapitre des Grands Énervants, on vous présente les formulaires à rallonge ou les créations de compte client au moment de passer au clic fatidique.
Simplifier l’étape du paiement est un des incontournables d’une bonne UX. Car c’est dommage de perdre des clients si près de but ! La solution ? On optimise pour un checkout simple, rapide et sans friction. Et on oblige surtout pas le client à se créer un compte.
Bonne nouvelle : on en sait quelque chose ! Et on installe notre bouton magique d’achat en 1 clic en quelques minutes seulement. Pour en discuter, rendez-vous juste ici.
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Créer une newsletter marketing : 5 tips de la team JUST
Pour certains, la Rolex avant 50 ans, c’est le vrai succès. Pour d’autres, comme nous, c’est plutôt la newsletter marketing pour les entreprises de moins d’un an qui est un must 😉 Blague à part : que vous soyez à la tête d’une petite ou moyenne structure, que vous bossiez au département communication/marketing d’une marque, que vous gériez un blog ou même que vous soyez investi dans une asso, la newsletter est un indispensable dans votre stratégie inbound. Mais par où commencer ?
Dans cet article, l’équipe JUST vous dévoile les nombreux avantages d’une newsletter marketing mais vous fournit aussi 5 conseils pour la lancer. Ou pour la retravailler, au choix !
Newsletter marketing : définition
Grosso modo, une newsletter est un mail envoyé à une liste d’abonnés, clients ou prospects. Il faut bien évidemment que ces derniers se soient inscrits volontairement à votre newsletter ou aient donné leur accord pour la recevoir.
Véritable indispensable à votre stratégie marketing, elle permet de maintenir le lien avec votre communauté et de vous positionner comme expert dans votre domaine.
![](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c391a37f2ebdf0efbb_637210580d7d5617f2ac0463_2.png)
Les différents types de newsletter marketing
Il existe différents types de newsletters marketing, chacun ayant ses propres objectifs. Communément, on appelle “newsletter” les contenus mail émanant des marques, des entreprises et qui informent le lecteur des actualités, donnent des conseils selon le sujet d’expertise, des bons plans… Cependant, le terme newsletter peut également faire référence à :
- L’email de prospection/acquisition : le but est ici de faire convertir le prospect en utilisateur.
- L’email purement marketing : généralement adressé à un client déjà existant, il a pour but de le pousser à réitérer l’action d’achat. Programme de fidélisation, présentation produits avec CTA…
- L’email de service : c’est celui qui notifie votre client suite à une action menée sur votre site. Commande, mot de passe oublié…
- L’email de relance panier : c’est lorsque votre client, pourtant si bien parti, ne finalise pas son achat. Il s’agit alors de le relancer en lui rappelant les produits qu’il a ajoutés à son panier. On vous donne d’ailleurs dans cet article quelques conseils pour mettre toutes les chances de votre côté !
Pourquoi créer une newsletter marketing ?
Minute papillon ! Avant de dégainer votre plus belle plume et de donner de vos nouvelles à votre base, êtes-vous sûr.e de savoir pourquoi vous passez à l’action ?
La newsletter marketing serait le levier d’acquisition le plus performant ! En effet, le cabinet de conseil McKinsey a mené une étude prouvant que son efficacité est 40 fois supérieure à celles des communications Facebook et Twitter.
Besoin d’une autre raison pour vous lancer ? Pour chaque $1 investi dans vos newsletters, le ROI serait de $36. Pas mal, non ?
En fait, une newsletter a surtout pour but de rediriger vos lecteurs sur votre site web. Ainsi, dans un premier temps, elle améliore le trafic de votre site puis dans un second, devient un véritable moyen de conversion. Grâce à de nombreux outils (nous y reviendrons plus tard, c’est promis !) La newsletter permet aussi de suivre de très près votre performance, et ça avec des KPIs bien précis : taux d’ouverture, nombre de clics, nombre de désinscriptions…
Au-delà de l’aspect chiffré, une newsletter est aussi l’occasion d’entretenir le contact avec vos clients/prospects et d’affirmer votre marque.
5 conseils pour créer une newsletter marketing
1. Quels sont les objectifs de votre newsletter ?
Que cherchez-vous exactement à faire avec votre newsletter marketing ? Avant d’établir votre stratégie éditoriale, il est important de définir vos objectifs.
Vos contenus mail peuvent avoir le simple but d’informer et de fidéliser votre communauté. Késako ? La tenir au courant des updates de votre entreprise ou de votre produit, des actualités d’un secteur…
Comme évoqué ci-dessus, une newsletter a bien souvent pour objectif de générer du trafic sur votre site web. Comment ça marche ? Il s’agit d’inciter le destinataire à visiter votre site web en plaçant des liens redirigeant vers votre site.
Une newsletter marketing peut également être un bon moyen de récupérer de la data sur vos prospects. Vous pouvez tout à fait collecter les mails des utilisateurs de votre site web en leur proposant de s’inscrire à votre newsletter. Une technique infaillible que la team JUST a pu observer chez ses marques partenaires est la suivante : proposer un discount (souvent -10%) sur la première commande en échange d’une inscription à la newsletter. Aussi simple que ça ! Sinon, un simple bandeau ou un pop-up sur votre site web incitant à une inscription peut tout à fait marcher.
Que d’objectifs ! Pour finir, si vous voulez en savoir plus sur vos prospects et clients, la newsletter est également une option à considérer. En effet, cette dernière vous permettra d’A/B tester ce qui marche sur votre cible. Qu’est-ce qui fait cliquer cette dernière sur un lien ? Une image, un texte punchy ? Quels thèmes lui plaisent-ils ? Si vous choisissez de segmenter votre audience (par âge, par genre…), vous pourrez aussi constater qu’un contenu attirera un type de personne particulier tandis qu’un autre y restera insensible. Des informations à tirer qui peuvent se révéler intéressantes à décliner sur tous vos autres leviers : site web, réseaux sociaux…
2. Parlons peu, parlons bien : audience et segmentation
On ne parle pas de la même chose ni de la même façon à un client qui s’est déjà fait livrer 5 colis de chez vous et un prospect qui n’a encore jamais passé commande. De même pour une jeune cliente de 19 ans et un lecteur de 60 ans…
Avant de lancer ou de retravailler votre newsletter marketing, il est important de segmenter votre audience. Pourquoi ? Pour mieux faire convertir, tout simplement !
Avant de passer aux choses sérieuses a.k.a la segmentation, définissez vos buyers personas. À quoi ressemble votre cible ? Quel âge ont vos clients ? À quelles problématiques répondent vos produits ?
Une fois que vous aurez dressé le portrait de vos acheteurs type, vous pourrez segmenter votre audience selon les critères de chacun afin d’optimiser vos campagnes CRM.
Selon l’âge, le sexe, la statut du destinataire (client régulier ou prospect) vous pourrez adapter votre offre, vos thématiques, vos messages... Sans oublier de chouchouter vos clients fidèles.
![Template de buyer persona](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c391a37f4dd8f0efbd_63720d109e4b6773cad36b51_B2B_Mesa-de-trabajo-1-copia-2-1024x724.jpeg)
3. Et la stratégie de contenu dans tout ça ?
C’est bon : vos objectifs sont fixés, votre audience est parfaitement segmentée. Mais qu’est-ce qu’on raconte maintenant ? Et comment ? Commençons par le commencement !
L'objet de mail de votre newsletter marketing
Tout d’abord, soignez l’objet de votre mail. Quelques règles d’or pour maximiser votre taux d’ouverture :
- Pas plus de 10 mots ! Le moins, le mieux : autrement votre objet sera coupé, ce qui peut rendre le message moins clair et vous décrédibiliser.
- Le choix des mots : restez simple et évitez l’effet clickbait pour éviter de brouiller le message ou de décevoir vos destinataires. Un objet drôle, énigmatique va certes augmenter votre taux d’ouverture mais à la longue, il va accroître vos désabonnements. Déception quand tu nous tiens…
- La personnalisation : ajoutez le prénom, le nom de votre destinataire pour un effet personnalisé. Et n’hésitez pas à signer votre newsletter d’un prénom : celui du fondateur de votre marque, le vôtre, ou même un fictif. Il est primordial que le lecteur comprenne qu’on s’adresse à LUI et de qui provient le message.
![](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c391a37f78ccf0efbc_63720e18f0039419f266d68d_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-11-14%2520a%25CC%2580%252010.44.36.png)
Sans oublier le contenu, bien sûr !
Place maintenant au texte d’aperçu : c’est une sorte de teasing de ce qui se trouve dans votre mail. Un peu comme pour un tweet, vous êtes limité dans le nombre de caractères. Il faut donc rester simple, très simple, en révélez un peu plus à vos lecteurs tout en leur donnant envie de lire. Vous connaissez la méthode KISS (Keep It Simple Stupid) ? Votre nouveau credo pour votre texte d’aperçu, et pour vos newsletter en général !
Concernant le corps de texte, on reste clair, concis et cohérent. Posez-vous la question : “Quelle action veux-je que mon lecteur fasse ?” et gardez toujours la réponse en tête.
Illustrez vos propos avec des images, plus digestes que des simples blocs de texte. Quant aux liens cliquables, insérez-les plutôt sur vos images ou sur des boutons avec des CTA (“la suite”, “voir la sélection” etc).
Dernier conseil : restez fidèle à votre ton, à votre image de marque, peu importe le segment que vous visez. Toujours dans la démarche d’être le plus clair possible et que vos destinataires vous identifient, vous reconnaissent le plus rapidement possible.
4. Quelques outils pour vous aider dans la création de votre newsletter marketing
Soyons honnêtes : impossible d’envoyer une newsletter via Gmail. Pourquoi ? Tout simplement car la plateforme ne permet pas d’envoyer plus de 500 mails par jour. Compliqué, donc, d’utiliser le logiciel si votre de base de données est importante. De plus, lors d’envois à un nombre important de destinataires, vous vous retrouverez facilement dans les spams. Et on ne parle même pas du suivi de la performance de vos envois : il n’est carrément pas faisable via le service de messagerie Google. Cependant, il existe un grand nombre d’outils d’automatisation qui risquent bien de vous aider dans la gestion et la création de votre newsletter !
JUST a sondé ses marques pour savoir quel était leur préféré. Retour sur les quatre qui sont le plus revenues !
HubSpot : L’outil CRM propose une option newsletter. Intéressant pour centraliser toutes vos informations… De plus, HubSpot propose les fonctionnalités classiques des autres logiciels de newsletter, à savoir l’analyse de vos retours clients sur les campagnes. Vous pouvez aussi voir à quel moment de la journée vos lecteurs ont ouvert votre mail (pas mal pour s’améliorer !) et sur quel support il est consulté. Sur le côté design, tout fonctionne en drag and drop. Facile et intuitif, donc, mais difficilement personnalisable à 100% !
![Interface HubSpot](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c391a37f3290f0efb8_6372110ef267493cd0774e91_Homepage%2520Hero%2520image%2520-%2520FR.webp)
MailChimp : Un grand classique dont on a tous déjà entendu parler ! La plateforme comprend un outil CRM, cependant apparemment relativement restreint dans sa version gratuite. Toujours dans sa version freemium, l’envoi des mails via MailChimp est limité à 2000 destinataires. On apprécie cependant l’ergonomie de l’outil et ses templates prêts à l’emploi.
![Interface MailChimp](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c391a37fbcb4f0efb9_6372116663d653df55961b42_88ded22a95b0fc5c88b5ffd8790bf60c.jpeg)
SendinBlue : Frenchy (tout comme nous !), la plateforme est spécialement intéressante dans la mesure où elle offre dans sa version gratuite la possibilité d’A/B tester ! De plus, toujours gratuitement, la plateforme permet d’envoyer près de 300 mails par jour. Un bon début pour se lancer… Mention spéciale à l’outil de segmentation de contacts apparemment très sophistiqué.
![https://fr.sendinblue.com/](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c391a37f6f51f0efba_637211d8ba53d62586cb9b35_621f20a8c41e282d56c3e05f_sendinblue-dashboard.png)
Kiliba : Français eux aussi, Kiliba se connecte à votre CMS et automatise vos campagnes marketing. On retrouve dans l’outil plusieurs fonctionnalités : le design automatique (on retrouve plusieurs templates à partir de votre charte graphique importée), des scénarios marketing, des algorithmes de recommandation pour séduire vos clients et enfin une fonctionnalité segmentation client. Tout un programme !
5. Quand envoyer sa newsletter marketing ?
Pour lancer votre newsletter, vous voilà normalement paré.e. Cependant, dernier élément à ne pas négliger : le timing de votre newsletter marketing.
Une étude menée par SendinBlue révèle que côté e-commerce, le moment le plus opportun pour l’envoi de newsletter serait le mercredi à 10h. Précis, n’est-ce pas ?
En effet, le mercredi enregistrait un bien meilleur niveau de score en termes d’ouverture de clics (35% vs 10% le lundi, toujours d’après l’étude menée par SendinBlue). Pour découvrir secteur par secteur le meilleur moment pour envoyer sa newsletter marketing, découvrez l’article HubSpot à ce sujet.
La team JUST espère de tout cœur vous avoir aidé et se réjouit à l’idée de vous lire ! Envie de savoir à quoi ressemble notre newsletter ? Inscrivez-vous juste ici.
![](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c24c5d3a69b6d2b348_635f91dd618e0a4278c4cd28_pexels-cottonbro-5076516.jpeg)
Comment transformer un lead en client ?
Vous parvenez à générer des leads ? Toutes nos félicitations ! Mais une fois qu’on a une bonne base de prospects, comment donc les transformer en clients ?
Il s’agit d’un véritable challenge… Le visiteur de votre e-commerce est plus informé (et parfois même sur la réserve) que jamais. L’équipe JUST arrive donc à la rescousse et vous révèle dans cet article 5 astuces pour le faire succomber au clic fatal : celui de l’achat.
Suivez le guide pour transformer vos leads en clients !
Apprenez à connaître votre base de lead
Un conseil qui peut paraître lambda mais que certains mettent parfois de côté ! Peu importe le nombre de fois où vous enverrez des mails à votre base, si vous vous adressez au mauvais prospect ou que vous ne partagez pas les bonnes informations, vos campagnes risquent bien de tomber à l’eau…
Et c’est là que la qualification de lead intervient ! Késako ? Il s'agit d'essayer d’en apprendre un maximum sur vos prospects. Nom, prénom, genre, âge, localisation… Ce type d’information est très facile à récupérer, notamment en les faisant par exemple s’inscrire à votre newsletter (vous connaissez le fameux “10% offerts en consentant à recevoir de nos nouvelles”). Cela vous permettra de savoir lesquels prioriser et comment vous adresser à eux.
Pour catégoriser vos leads, posez-vous ces questions :
- Que recherchent vos leads lorsqu’ils se rendent sur votre site ou sur vos réseaux sociaux ? À quel genre de problématique cherchent-ils à répondre ?
- Qu’est-ce qu’il les a attiré en premier lieu sur votre site ? Quelle publicité, quelle page ?
- Qu’est-ce qui peut éventuellement les gêner dans votre service ou offre (vous pouvez tout à fait leur demander dans un mail de relance panier)
- Qu’est-ce qui peut les motiver à franchir le cap ?
La team JUST vous conseille aussi de bien définir votre buyer persona, si ce n’est pas déjà fait. Derrière cette expression se cache en fait le portrait de votre acheteur idéal. Genre, sexe, situation professionnelle et sociale, réseaux sociaux de prédilection… Cela vous permettra d’avoir une cible bien précise et de pouvoir la partager à vos équipes sales et marketing. Pas de malentendus !
![https://www.getjust.eu/](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c34c5d3a4973d2b349_635f959cc91793d33d518cb8_persona-e-commerce.jpeg)
Offrez un discount ou un petit bonus
Recevoir un “truc” gratuitement, ça fait toujours plaisir - qu’il y ait des conditions ou non. Offrir une réduction ou un petit “plus” (exemple : une pochette offerte dès 20 euros d’achat) permettra à votre cible de suffisamment vous intéresser à vous et de passer à l’achat.
Comme l’explique Dan Ariely, spécialiste de l’économie comportementale, l’aspect gratuit marche car “cela provoque du désir chez le consommateur. Si je vous donnais un tout petit morceau de chocolat, ça vous rappellerait le goût de ce dernier. Vous en auriez instantanément envie de plus”.
Bref, titillez les clients avec une offre ! Et n’hésitez pas à jouer la carte de l’exclusivité/du privilège lors de vos communications : usage du prénom, code promo personnalisé…
Optimisez votre site web
À quoi sert un site e-commerce ? À vendre, certes, mais aussi à donner à vos consommateurs toutes les informations dont ils ont besoin. C’est donc un des éléments de votre stratégie de vente à ne surtout pas négliger ! En effet, d’après Forrester, un consommateur interagit en moyenne avec 11,4 éléments de contenus de votre site avant de passer à l’achat. C’est peu : il faut donc se montrer convaincant !
L’étape achat demande souvent une décision basée sur l’info : vos contenus doivent donc être les plus concis, précis possibles afin “d’éduquer” votre consommateur et lui donner une sensation de contrôle.
Cela coule de source mais ajouter des images relève également de l’information : sous tous les angles et avec la possibilité de zoomer, afin que votre prospect n’ait aucune méfiance vis-à-vis de l’article concerné. De plus, les e-shops contenant des photos génèrent en moyenne 94% de vues supplémentaires… Que vous faut-il de plus ?
En plus des classiques photos, vous pouvez illustrer vos articles par tous les moyens possibles : vidéos, graphiques présentant les avantages de vos produits (matériaux, origines…). Plus il y a d’infos, mieux c’est ! Quand on sait que 65% de la population a une mémoire visuelle, ça donne envie d’essayer…
Dans vos visuels, vos textes, positionnez vous en véritable expert : à nouveau avec des graphiques, des vidéos, des avis de professionnels (type “développé notre équipe de dermatologue” pour une marque de crème). À l’ère d’Internet, où les prospects peuvent chercher tous les avis et infos imaginables possible, il est important de savoir les devancer et de répondre à toutes leurs potentielles interrogations afin qu’ils RESTENT sur votre site.
En effet, d’après une recherche menée par Nelson, le contenu type expert est 38% plus efficace dans les conversions que les contenus simplement joliment brandés. What else ?
Donnez de vos nouvelles
Et le plus vite possible ! Par mail, par texto, sur les réseaux sociaux : contactez vos prospects sur tous ces canaux pour multiplier vos chances de les faire convertir. Tips de pro : avec l’automatisation, vous pouvez personnaliser vos messages (avec les prénoms, par exemple) et vos contenus (vous savez normalement ce que veulent vos prospects).
La clé pour relancer ? Le fameux mail de relance panier bien sûr. Du CTA jusqu’à quoi raconter, on vous dévoile nos trucs et astuces juste ici.
![Mail de relance panier de la marque Asphalte](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c34c5d3a2fdad2b34a_635f968b6c5db6a7daf4c96a_Panier_abandonne_Asphalte.webp)
Éliminez les frictions
Pour choper de la data, oubliez clairement le moment “achat”. Pour transformer un lead en client, rendez l’expérience la plus simple possible. Et pour récolter des données, préférez plutôt des landing pages, des inscriptions à une newsletter, des concours…
Cependant, quand vos prospects sont à deux doigts de passer commande, ne leur posez pas trop de questions, ne les faites pas trop réfléchir... Minimisez plutôt les champs d’informations et optez pour les connexions en 1 clic. Et surtout, choisissez JUST, l’expérience de checkout en 1 clic qui augmente vos taux de conversion de près de 19% !
![](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c24ccacb4cc601ebb5_6329e1ca12e3aa04e96b4512_clay-banks-Ox6SW103KtM-unsplash.jpeg)
E-commerce : comment fidéliser un client ?
Les clients fidèles ou ceux à qui les e-commerçants peuvent dire merci ! En effet, lorsqu’un client a déjà passé commande sur votre site, il a de forte chance de revenir : il a déjà montré un certain intérêt pour vos produits, une volonté de payer pour ces derniers et sait identifier votre marque. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : d’après une étude menée par RJMetrics, c’est près de 43% du chiffre d’affaires d’un e-commerce qui seraient générés par les clients réguliers.
Vous aurez compris : les acheteurs réguliers sont une véritable aubaine. Mais une fois que l’on a pris conscience de leur valeur, comment fidéliser un client ?
La team JUST vous dévoile quelques techniques pour que vos clients reviennent et encore mieux : qu’ils deviennent de véritables ambassadeurs de votre marque !
✅ Offrir une expérience utilisateur impeccable
La base ! Des choses qui peuvent peut-être paraître évidentes mais qui sont toujours bonnes de rappeler.
Ici, l’objectif est que le client se souvienne de son achat chez vous comme une expérience exceptionnelle. Par où commencer ?
📱 Une UX et UI optimisées
Saviez vous que près de 60% du trafic web se fait via mobile ? Il est donc primordial d’optimiser votre parcours client à la fois sur la version desktop de votre site mais aussi mobile. La team JUST aurait même tendance à conseiller de prioriser la version mobile !
S’il y avait un adjectif à choisir pour qualifier une bonne UX, ce seraiy “fluide”. En effet, nos consommateurs nous indiquent que selon eux, un parcours checkout devrait durer moins de 2 minutes. Ça fait court, très court…
Oubliez les fioritures, les infos superflues et privilégiez plutôt les designs simples ainsi que les messages clairs.
Ou optez pour JUST, la solution de check-out en 1 clic 😉 On vous explique tout juste ici.
Revenons à nos moutons : afin d’être certain que votre site est optimisé, n’hésitez pas à sonder vos clients volontaires ou votre entourage pour une séance d’A/B testing. Késako ? L’A/B testing est une méthode scientifique qui consiste à montrer deux pages web à des interrogés et de les sonder afin de voir laquelle convertit le mieux. Efficacité garantie !
Pour clore le sujet de l’UX/UI, gardez en tête que vos clients sont pressés et que vos interactions doivent être les plus fluides et concises possible.
🎁 La livraison offerte
Offrir la livraison à vos clients à partir d’un certain montant peut les motiver à passer à l’action, notamment lorsqu’ils ont déjà passé commande. En effet, une étude menée par University of Florida montre que des frais de livraison offerts peuvent davantage pousser le client à l’achat qu’une simple réduction sur un produit.
Le fait d’afficher l’ETA (la date d’arrivée potentielle du colis de votre client) peut également séduire et faire franchir le cap !
![Exemple d'ETA lors d'une commande afin d'améliorer son taux de rétention](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c24ccacb11a501ebb7_6329e411a1790e73feaec29e_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-09-20%2520a%25CC%2580%252018.01.59.png)
💁 Un service client au top
Les erreurs, ça arrive à tout le monde : une commande qui ne respecte pas les délais de livraison, un article manquant… L’important est de savoir rattraper le coup ! Être le plus réactif possible quant aux réclamations client est primordial si vous espérez un jour les voir à nouveau convertir sur votre site web.
Bref, montrez-vous (ou votre équipe Customer Care) joignable : par téléphone, via un chat (très efficace), une adresse mail, des profils de réseaux sociaux... Une réponse dans la journée ou encore mieux, une solution, saura faire la différence. Lors d’une friction avec un client insatisfait, vous pouvez tout à fait retourner la situation à votre avantage en proposant un code promotionnel applicable lors de la prochaine commande. Le client saura ainsi se montrer conciliant en se sentant privilégié et écouté.
De plus, se montrer disponible vous permettra d’activer des prospects s’ils ont des questions concernant vos produits et modes de livraison.
🤝 Créer un lien
💌 Des communications marketing par mail
Voyez la première commande d’un client comme la première opportunité pour tisser un lien. Un mail de bienvenue personnalisé (avec un prénom par exemple) posera de bonnes bases.
Une newsletter régulière présentant vos actualités de marque ainsi que des discounts “exclusifs” encourageront votre client à passer commande chez vous, à nouveau. Cependant, soyez consciencieux quant à vos offres promotionnelles : il faut qu’elles soient limitées dans le temps. Cela vous permettra de mieux traquer la performance de votre campagne (au bout de combien de temps votre client a-t-il utilisé le code ?) mais aussi de pousser à la vente. Eh oui, lorsque l’on sait que c’est limité, on a plus envie d’en profiter…
Une autre technique que nous affectionnons est celle des relances panier : un mail présentant les produits “abandonnés” qui ne demandent qu’à être achetés… De l’humour, un message personnalisé : cette tactique en fait succomber plus d’un.
📣 Et les réseaux sociaux, dans tout ça ?
La communication avec votre base clients ne se cantonne pas qu’aux e-mails. Vous pouvez ainsi intégrer des boutons redirigeant vers vos réseaux sociaux dans vos newsletters, afin d’agrandir votre communauté.
Sur les réseaux qu’y s’y prêtent (Snapchat, Instagram, TikTok…), n’hésitez pas à directement impliquer vos abonnés dans votre développement. Création d’un nouveau produit, collaboration avec une autre marque : jouez avec les outils de vote et de sondage, osez abuser de CTA pour impliquer et engager votre communauté dans votre développement.
![Exemple de sollicitation de la communauté par la marque Mina Storm](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c24ccacb6e5c01ebb6_6329e60149e84f2f43257df3_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-09-20%2520a%25CC%2580%252018.10.27.png)
Quand on se sent concerné, on a tout de suite plus envie d’acheter !
💰 Lancer un programme de fidélité
Donnez envie à vous clients de rejoindre votre programme de fidélité en jouant sur la carte de l’exclusivité. L’avantage pour vous ? Collecter certaines données démographiques et grappiller des infos sur leur comportement shopping. Vous pourrez ainsi mieux les cibler, leur proposer leurs produits préférés et leur offrir des discounts afin de les encourager dans leurs prochaines commandes.
La team JUST espère de tout cœur que cet article vous aidera à faire revenir vos clients. Envie de simplifier l’expérience de vos clients afin qu’ils deviennent réguliers ? N’hésitez pas à nous faire signe, on se fait toujours une joie d’aider les e-commerçants.
![](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c02ab06e7142d0dacb_6349282d446cd742093343b8_sincerely-media-ylveRpZ8L1s-unsplash.jpeg)
Blog de marque : nos 5 préférés
Il y a quelques semaines, la team JUST écrivait sur l’importance de tenir un blog en tant que marque. Améliorer son référencement, construire une relation de proximité avec ses clients et enfin se donner une certaine crédibilité : on ne cite pas toutes les bonnes raisons de dégainer sa plume !
Avant de se lancer ou de justement continuer dans sa lancée, on vous révèle nos blogs de marque préférés. Experts dans leur domaine, admirablement bien écrits, ils font partie de ceux qui marchent et qui donnent envie de lire toute la sainte journée !
C’est parti ?
Oh My Cream, le blog des skincare addicts
Votre e-commerce vend des soins et de la cosméto ? Il se pourrait que le blog d’Oh My Cream soit un vivier d’inspirations ! Tout se passe dans la partie “conseils”. Présentation de marques partenaires, routines beauté, zoom sur des personnalités pointues et leurs habitudes make-up… On apprécie la richesse et la diversité des contenus du blog de la digital native brand. Mention spéciale à la série “Dans la salle de bain de…” dont on raffole chez JUST !
👉 Découvrir le blog d’Oh My Cream
![Screenshot du blog Oh My Cream](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c02ab06e1be8d0dacc_63492d4423c7543deccf383f_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-10-14%2520a%25CC%2580%252011.34.53.png)
Le blog de Puissante a.k.a les conseils sexo comme ceux d’une copine
Guide, bien-être, libido, sexualité positive : chez Puissante, on aborde tout, et sans complexe. On aime tout spécialement le ton employé, bienveillant, franc mais jamais infantilisant. Alimenté toutes les semaines ou presque, ce blog de marque est une véritable inspiration pour les e-commerçants branchés self love. Et une vraie mine d’infos pour toutes celles.ceux qui se posent des questions ou qui veulent en apprendre plus sur leur sexualité !
👉 Découvrir le blog de Puissante
![Screenshot du blog de Puissante](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c02ab06e3b41d0dace_63492d9007d2bde6328cf4b6_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-10-14%2520a%25CC%2580%252011.36.00.png)
Flotte, le blog des “pluiviophiles”
C’est ainsi que la marque de cirés 2.0 appelle ses fans ! Le blog de Flotte couvre un tas de sujets, souvent reliés à sa marque mais aussi à l’outdoor, au pratique et à la mode. On y trouve aussi de beaux papiers sur le voyage, comme celui de Charlotte, qui a pu expérimenter un vrai sentiment de coupure en Mongolie.
On apprécie beaucoup aussi le côté “backstage” de la marque, qui nous raconte ses secrets de fabrication et nous file des conseils d’entretien.
Une thématique très niche en soit, mais qui a l’avantage de cibler un lectorat bien précis.
![https://minastorm.com/blogs/news](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c02ab06efb69d0dad0_63492ccde59ee411ad6ecc78_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-10-14%2520a%25CC%2580%252011.32.51.png)
Glossier : quand le blog devient marque
Quand on lance sa marque suite à un blog, c’est que ce dernier fait clairement de l’effet ! Glossier, c’est d’abord l’histoire d’Emily Weiss, ex-CEO de la marque. La jeune femme, travaillant la journée chez Vogue US, lance le blog Into The Gloss en 2010. Elle l'alimente la nuit, entre 4 heures et 8 heures du matin (elle en a, n’est-ce pas ?).
Le blog est surtout apprécié pour ses interviews et leur section “Top Shelf” (haut d’armoire), où les interrogées révèlent ce qui se trouve dans leur placard de salle de bain. 2 ans plus tard, c’est près de 200 000 utilisateurs mensuels qui lisent Emily !
En 2014, la blogueuse finit par lancer sa propre marque de cosmétique autour de son blog : Glossier. C’est un véritable succès : aujourd’hui, près d’une femme sur deux connaît Glossier aux États-Unis. Bref, chapeau bas à Emily et à son blog, qui continue d’être animé et qui met aujourd’hui en avant (entre autres) les produits Glossier.
👉 Découvrir le blog de Glossier
![Screenshot du blog Into the Gloss de la marque Glossier](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c02ab06e2a28d0dacd_63492be4e46422eb228937bd_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-10-14%2520a%25CC%2580%252011.28.55.png)
Mina Storm, le blog qui parle dessous et body positivism
C’est que le bien-être fait couler l’encre ! Minute papillon : comment une marque de lingerie peut-elle vraiment aborder des sujets de self care ? En se positionnant comme LA marque confortable et body positive, pardi !
Sur le blog de marque de Mina Storm, on trouve un tas de conseils pour choisir la bonne taille de soutien-gorge et pour se sentir bien dans sa peau au quotidien. Bref, ça parle no bra, neo bra et injonctions sociétales faites aux femmes. De beaux sujets, écrits de la patte si propre à Mina Storm et des mots-clés “niche” qui savent attirer un public ciblé !
👉 Découvrir le blog de Mina Storm
![Screenshot du blog Mina Storm](https://cdn.prod.website-files.com/63ea7eaa06b286858acb995d/63ee06c02ab06ef188d0dacf_63492c7a2269c63e98ce9bcf_Capture%2520d%25E2%2580%2599e%25CC%2581cran%25202022-10-14%2520a%25CC%2580%252011.31.25.png)
Et vous, c’est quoi votre blog préféré ? Rencontrons-nous pour en discuter !