Vous avez enfin décidé de commercialiser votre ligne de produits ou votre service ? Pour votre marque de lipgloss eco-friendly ou votre Saas, il s’agirait maintenant de choisir votre CMS e-commerce… À chacun son talent : vous n’êtes peut-être pas webdesigner ou très à l’aise avec le digital. Et il n’y aucun problème à cela ! La team JUST vous en révèle un peu plus sur les meilleurs supports de vente pour e-commerce.
CMS : définition
Derrière cette mystérieuse expression se cache en fait quelque chose de très simple : CMS signifie en anglais Content Management System. Mais encore ? En français, il s’agit grosso modo d’un système de gestion de contenu. On vous en dit un peu plus…
Un CMS se définit également comme un type de plateforme contenant ces 3 critères :
- Il donne la possibilité à son ou ses administrateurs de publier du contenu
- Il permet de gérer à la fois la forme (le design) et le contenu du site (ce que vous allez mettre dessus : des produits, des descriptions, des articles de blog…)
- Il peut-être géré et utilisé par plusieurs administrateurs
En un mot, il s’agit de la partie “cachée” d’un site web, de ce que voient les gens qui en sont chargés !
Il en existe 3 sortes : les Saas (pour faire simple, on fournit à l'utilisateur un logiciel situé dans le cloud), les Open Source (l'utilisateur peut modifier le code) et finalement les "propriétaires" (un CMS construit de A à Z par un tiers).
CMS e-commerce : quelle est la spécificité ?
Pour faire simple, un CMS e-commerce est le support qui va être utilisé par le marchand pour vendre. Les CMS e-commerce sont une solution clé en main pour les vendeurs : ils peuvent ainsi gérer leur site de vente en ligne et sont autonomes sur la partie ajout, modification ou suppression de contenu, sans avoir à coder.
Mais comment donc le choisir ? On a interrogé les centaines de marques avec lesquelles nous travaillons pour savoir quels étaient leurs préférés. Certains ont fait l’unanimité, d’autres sont plus contestés… Avant de prendre votre décision, posez-vous et demandez-vous quels sont les critères que vous recherchez dans la future gestion de votre site web. Mais oui, d’ailleurs, qu’est-ce qui fait qu’un CMS est bon et pratique ? 🤔
Choisir un bon CMS : les critères à prendre en compte
La solution idéale pour choisir sa solution doit prendre en compte plusieurs critères :
- La réputation et notoriété du logiciel
- La facilité de compréhension de l’outil et son ergonomie (est-il pratique à manipuler pour quelqu’un qui n’y connaît pas forcément grand-chose ?)
- Un tableau de bord d’analyse avec une bonne vision de la data afin de suivre vos ventes et la performance de votre site
- De bons outils de webdesign afin que vous puissiez créer le site qui ressemble à votre marque et que cette dernière ne tombe pas aux oubliettes
- La possibilité de pouvoir fusionner certains de vos outils tels que celui de votre gestion de stocks, vos données marketing (CRM), votre marketplace et pourquoi pas vos réseaux sociaux si le social shopping vous tente.
- Un aspect SEO. Sur Google, la compétition pour apparaître dans les premières pages de recherche est compliquée, voire parfois difficile… Assurez-vous que l’heureux élu vous laisse la possibilité de modifier vos urls, méta balises et méta descriptions. Et que la partie blog vous permettra de mettre toutes les chances de votre côté pour attirer l’œil du Search Engine.
Les meilleurs CMS e-commerce
Shopify
Le grand classique des CMS pour les e-commerçants ! Zoom sur la plateforme canadienne qui a su en convaincre plus d’un (800 000 utilisateurs en 2019 !).
Parmi les nombreux avantages du CMS e-commerce, on retrouve l’aspect ergonomique. Du petit business au commerce ultra établi, la plateforme est décrite comme relativement facile d’usage. Shopify propose une fonction “drag and drop”, qui permet de construire facilement son site, sans avoir besoin de coder. Le CMS propose aussi des templates gratuits et customisables, ce qui donne la possibilité de lancer son site très rapidement.
L’un des autres avantages de la plateforme réside aussi dans le fait qu’il est possible de proposer une multitude de moyens de paiement aux utilisateurs, y compris ceux de tiers. Comme Shopify n’est pas magique (la plateforme propose déjà une myriades de fonctionnalités), il est aussi possible d’ajouter près 1200 applications et plug-ins afin d’exploiter votre site e-commerce au maximum.
Dans les éventuels aspects négatifs, certains de nos e-commerçants se plaignent du pricing (29$, 79$ ou 299$) en sachant que l’option la plus économique est très limitée. Un autre point : si Shopify est une plateforme qui permet de nombreuses choses, les aspects SEO et marketing peuvent être mis de côté. Certains se plaignent des restrictions de la feature blog, qui ne permettrait pas de créer des catégories. Il en va de même pour les templates : la sélection offerte est apparemment assez restreinte.
Adobe Commerce (ex Magento)
Un CMS e-commerce qu’on ne présente plus ! On vous en dit un peu plus sur les avantages de la plateforme et ses éventuels points négatifs. C’est parti ?
L’un des points les plus importants sur Adobe Commerce réside dans le fait que ce soit une plateforme open source. Késako ? Cela la rend flexible dans la mesure où il est possible de modifier le code source. À vous le template ultra personnalisé et l’installation de toutes les fonctionnalités nécessaires au développement de votre site !
La plateforme est également tout spécialement appréciée pour ses fonctionnalités très spécifiques que d’autres ne proposent pas forcément : par exemple, vous pouvez segmenter vos prix en fonction de différents groupes. Pour vos employés, vos clients VIP ou autres : vous pouvez proposer un prix différent.
Le dernier point particulièrement appréciable est l’aspect mobile friendly. En effet, Adobe Commerce est considéré comme le CMS le plus facile à décliner en version mobile. Et le plus agréable pour vos utilisateurs !
Pour conclure, il est important de préciser qu’il sera compliqué pour vous de construire votre site avec Adobe Commerce si vous n’avez aucune notion de développeur web. L’aspect open source signifie que vous devez coder, donc vous faire accompagner si vous n’êtes pas en capacité de le faire. Le prix, élevé, comme celui de Shopify, est aussi souvent critiqué par ses utilisateurs.
Prestashop
Prestashop est également une plateforme open source. On l’apprécie pour son installation relativement facile et son pricing ultra attractif (de 4$ à 14$ par mois !).
Un autre avantage de ce CMS e-commerce est le fait qu’il y soit possible d’installer près de 2,500 plugins qui assureront le bon fonctionnement et la performance du site.
Cependant, LA chose intéressante à retenir sur Prestashop est son aspect paiement sécurisé : ils utilisent des solutions de check-out comme Google Pay et Paypal.
En un mot, Prestashop est intéressant pour son prix, ses plug-ins, et la possibilité d’offrir à vos clients une myriade d’options de paiements sécurisés.
Si on passe aux choses qui peuvent peut-être vous déranger, le fait que la plateforme soit open source peut en gêner certains : même s’il n’est pas affreusement compliqué de créer son site, la participation d’une personne à l’aise avec la technologie et le code peut être nécessaire. Aussi, vous ne trouverez pas de service client à proprement parler avec ce CMS : il s’agit plus de la communauté qui s’entraide et se guide sur les pages de support.
WooCommerce
Si vous cherchez à monter votre site e-commerce en quelques jours, WooCommerce pourrait être la solution ! Shopify et Adobe Commerce sont souvent considérés comme LES références lorsqu’on en vient aux CMS. Cependant, le plug-in de WordPress a su en convaincre plus d’un : en 2019, ce sont près de 3.3 millions de sites web qui ont été créés avec WooCommerce (source : BuiltWith). Pourquoi donc choisir ce plug-in et pas un autre ? Quels sont les éléments à prendre en compte ? On vous dit tout !
WooCommerce se différencie de ses compétiteurs par deux aspects : l’open source et la gratuité. Comme mentionné précédemment, l’open source permet donc à n’importe qui de modifier le code du logiciel afin de personnaliser le site. De plus, l’utilisation de la plateforme la plus basique est gratuite. Pas mal pour se lancer, donc !
Un autre des avantages sur WooCommerce réside dans le fait que la plateforme sera très intuitive pour ceux ayant l’habitude de manier WordPress : ils reconnaîtront l’interface très similaire.
Comme tous les CMS open source, WooCommerce est complètement personnalisable : du footer jusqu’aux fiches produits, en passant par l’étape check-out : faites ressembler votre site à votre marque !
Cependant, un e-commerçant choisissant WooCommerce pourra potentialiser à 100% sa boutique en ligne en ajoutant des plug-ins. Il en existe des centaines ! Et qui dit plug-ins sur plug-ins dit malheureusement souvent ralentissement du chargement et de la performance de votre CMS. Pourquoi ? Car ces derniers prennent beaucoup de souvenirs, tout simplement.
Big Commerce
Comme sur la majorité des CMS cités ci-dessus, le plan standard de Big Commerce reste très accessible ($29,95 par mois). Cependant, à garder en tête qu’à un certain niveau, la plateforme appliquerait des tarifs spéciaux : les e-shop générant plus de 3000 de commandes par an seraient facturés entre $900 et $1500 mensuels !
Au-delà de l’aspect pricing, Big Commerce présente les avantages classiques des CMS :
- De bons outils de management, des produits jusqu’au reporting
- Des modules marketing avec l’intégration de mots-clés (on n’oublie pas le SEO !), la création de coupons discounts etc
- Une comptabilité avec de nombreux outils tels que MailChimp ou encore QuickBooks
- Un service client ultra réactif et joignable (presque) à toute heure
Mention spéciale aux 14 jours d’essai gratuit et au fait que le nombre d’administrateurs ne soit pas limité !
Cependant, il est important de noter que Big Commerce n’est pas open source. Difficile, donc, de customiser son site ou de pouvoir profiter des templates les plus cool sans avoir à sortir son portefeuille.
Commerce Cloud
Commerce Cloud, CMS développé par Salesforce (mais si vous savez ! Le big leader du CRM) semble encore être un peu sur la touche : bénéficiant de moins de notoriété que ses compères, il est plus compliqué de trouver des avis détaillés sur le CMS.
Cependant, ses utilisateurs lui attribuent la note honorable de 8.3/10 sur TrustRadius (celle de Shopify, par exemple, s’élevant à 8.8/10). Ce qui est apprécié dans le logiciel ?
Le dashboard apparemment très clair montrant la data essentielle concernant votre e-commerce :
- L’historique des acheteurs
- Le statut des commandes
- Les éventuels problèmes rencontrés par vos clients
- Des notes et des informations sur vos clients (exemple : untel a interagit avec le service client à telle date)
On y retrouve également plus de 4,000 app compatibles afin de propulser votre CMS on top !
Si on évoque les potentiels points négatifs, Commerce Cloud n’est pas open source. Pratique donc, pour ceux ne sachant pas coder, mais difficile à nouveau de créer un site 100% fidèle à son univers de marque…
Volusion
Un CMS qui ne vous dit peut-être pas grand-chose mais qui est pourtant l’un des plus anciens de l’histoire du e-commerce ! Pour Volusion, l’aventure commence en 1999 et depuis, c’est près de 30,000 boutiques en ligne que le logiciel fait tourner.
La team JUST recommande ce CMS aux petites boutiques en ligne ayant un nombre de produits bien limité. En effet, le “mini plan”, gratuit, permet de vendre en ligne près de 100 produits différents.
Comme pour toutes ses autres formules, ce plan comprend un check-out sécurisé et ne prend pas de commission sur les transactions (contrairement à Shopify, entre autres !).
Un autre point spécialement appréciable chez Volusion est ses outils d’optimisation SEO, non présents sur tous les CMS.
À noter : il faudra sortir le porte-feuille pour avoir accès à certaines features type suivi des commandes.
Ecwid
Avant de rentrer dans les points forts et points faibles d’Ecwid, il est important de relever le fait que contrairement à ses compétiteurs, le CMS ne permet pas de construire un site web de A à Z. Il s’agirait plutôt d’un widget permettant de vendre vos produits sur un site ou une présence en ligne déjà établie.
Grosso modo, Ecwid vous permet d’ajouter votre catalogue de produits à votre site : photos, prix, etc…
En termes de pricing, Ecwid demeure gratuit si vous commercialisez moins de 10 produits : autant vous dire qu’il faudra débourser un peu d’argent ($35 pour aller jusqu’à 2,500 produits).
Comme les CMS cités précédemment, l’outil vous permet donc d’ajouter les moyens de paiement de votre choix (près de 86 sont compatibles). Vous retrouverez également toutes les fonctionnalités basiques d’un CMS sur Ecwid (ajout de produits, suivi des ventes…). Bon à savoir : votre site peut être traduit dans près de 53 langues différentes avec le widget !
Aujourd’hui, ce sont près de 900 000 e-shops qui utiliseraient le logiciel. Bonne nouvelle : si vous choisissez donc Ecwid, vous pouvez être quasiment certain que le CMS ne disparaîtra pas du jour au lendemain (la crise touche malheureusement aussi les Saas 😉).
SquareSpace
Avant de présenter l'avant-dernier CMS e-commerce de notre top, saviez-vous que Zendaya fut un temps égérie des publicités de l’outil ? Qui a dit que les Saas n’étaient pas stylés ?
Tout ça pour vous dire que SquareSpace ne néglige pas son image et son aspect “cool”. Cela se fait ressentir sur l’outil : l’interface est spécialement agréable, “propre” et intuitive pour l’utilisateur. Un point à ne pas négliger !
Avant tout pensée pour les créatifs, la plateforme gagne aujourd’hui de plus en plus de terrain pour tous les types d’e-commerce et offre toutes les fonctionnalités classiques d’un CMS (vente de produits, suivi des commandes etc..).
N’étant pas open source, SquareSpace propose donc des templates ajustables à ses clients. Bon à savoir : ces derniers sont censés être les plus jolis et premium du marché. De même pour la partie blog : étant à la base destinée aux créatifs, la plateforme laisse donc beaucoup de flexibilité aux utilisateurs pour tout ce qui relève de la création de contenus.
Pour finir, parlons bien, parlons pricing : la version basique e-shop de SquareSpace coûte $24 mensuels. Besoin d’une bonne nouvelle ? Le CMS ne facture pas à la transaction !
VTEX
VTEX fait clairement partie des pionniers des CMS. Fondée en 1999 par deux ingénieurs brésiliens, la solution est aujourd’hui utilisée par des géants tels que Walmart.
Le CMS propose toutes les fonctionnalités classiques et semble spécialement apprécié est le côté omnichannel et l’interface simple et facile d’usage. Avec VTEX, il est aussi possible d’aller très loin pour vos clients : personnaliser une promotion, l’appliquer seulement à certains… La plateforme sait aussi se renouveler et propose très régulièrement de nouvelles fonctionnalités.
Cependant, attention : VTEX a été pensée pour les grandes marques dont il se peut que vous ayez besoin d’aide si vous n’avez pas déjà un département tech dans votre entreprise. Le pricing est aussi reproché à la plateforme : à partir de $250, tout de même !
Plus d'articles
5 erreurs d'UX à éviter
À l’heure où plus de 2 milliards de personnes ont déjà commandé en ligne, la concurrence entre e-commerçants semble plus rude que jamais. Parcours d’achat, brand love, engagements, UX, UI… Que de sujets sur lesquels potentialiser pour booster ses ventes en 2023 ! Dans cet article, la team JUST se concentrera sur l’UX. Définition, conseils et erreurs à éviter : suivez le guide.
Qu’est-ce que l’UX ?
Derrière cet acronyme (un peu énigmatique, on vous l’accorde), se cachent les termes “User Experience”. Plait-il ? C’est ce qui englobe la qualité de l’expérience vécue par l’utilisateur de votre site web. L’UX inclut aussi bien l’aspect usabilité/accessibilité que l’impact émotionnel que peut ressentir votre client en naviguant sur votre e-commerce.
Mais comment justement rendre l’expérience sur votre site agréable ? En commençant par éviter le désagréable, pardi ! On vous donne 5 don’t faciles afin de diminuer les frictions ressenties par vos clients. Car qui dit bonne expérience dit hausse du taux de conversion…
Débutants ou experts UX designer, découvrez 5 astuces simples pour éviter les frictions lors de la navigation sur votre site.
5 erreurs d'UX à éviter
1. Faire passer un second plan l’UX mobile
Quand on sait que 60.28% du trafic se fait sur mobile, on se dit qu’on a plutôt intérêt à rendre son UX la plus agréable possible sur ce medium. Et certains l’ont déjà bien compris : nombreuses sont les marques qui développent des applications, plus performantes et rapides qu’une page web (Zalando, Asos, Pimkie…).
Une application de marque relève pourtant les mêmes challenges qu’un site : dans les deux cas, son utilisation doit être simple et claire. Elle permet à l’utilisateur de minimiser ses actions. On oublie donc les manipulations et clics inutiles pour aller droit à l’essentiel.
Au-delà d’offrir la meilleure des expériences à vos visiteurs, un site web mobile friendly a bien d’autres avantages. En effet, il contribue aux bonnes pratiques SEO : Google utiliserait principalement la version mobile d’un site pour l’indexation et le classement.
Besoin d’une dernière bonne raison pour rendre son site mobile first ? Si votre marque est présente sur les réseaux sociaux (mauvais point si non !), vous devez savoir qu’une part de votre trafic leur est dûe. Et admettons-le : rares sont les gens qui scrollent Instagram ou TikTok depuis leur ordinateur… Bref, de votre profil sur les réseaux sociaux au site de votre marque, il n’y a qu’un pas. D’où l’importance de faire passer au premier plan votre UX sur mobile.
2. Rendre la navigation difficile
En moyenne, on estime que la durée de consultation d’une page web est de 52 secondes. Ça fait court, très court… Dès les premières secondes, on essaie donc de retenir l’attention de l’utilisateur. On rend l’info concise et précise et la navigation simple. Pour permettre à vos utilisateurs de naviguer librement, on adopte un sticky menu. Késako ? Il s’agit d’un menu qui sera toujours visible et utilisable par l’user, peu importe où il se trouve sur votre site e-commerce.
Côté ressenti/sentiment de l’utilisateur, on s’assure que le site soit agréable à l’œil : il faut que vos pages, visuellement parlant, soient cohérentes les unes avec les autres. Bref, on évite d’utiliser un design différent à chaque page.
3. Des pages trop longues… ou trop courtes !
Vous l’aurez compris : lisibilité et rapidité sont les maîtres-mots quand on en vient à l’UX.
Les pages trop chargées (en texte et images) sont donc à proscrire : au-delà de rendre l’information confuse, elles augmentent drastiquement le temps de chargement. Sachez donc hiérarchiser les données que vous souhaitez transmettre à l’utilisateur. Trop d’infos tuent l’info !
À contrario, 2 lignes ne pourront répondre aux potentielles questions de vos visiteurs. Pour le référencement et pour tenter d’être le plus précis possible, essayez de densifier vos descriptions et contenus. Vos utilisateurs peuvent décider d’abandonner leur panier car ils ne trouvent pas la réponse à leurs questions. Exemple : ils veulent vérifier la matière d’un pull. Impossible de trouver l’information dans la page produit. Tant pis : ils chercheront leur petite laine chez un autre e-commerçant !
4. Des parasites gênants 🦗
Des pop-ups dans tous les sens, de la musique sans avoir la possibilité (ou difficilement) de l’enlever, une inscription forcée à une newsletter ou à un abonnement, des publicités intempestives… Nous avons tous déjà vécu au moins une fois ce genre d’intrusion et nous savons à quel point elles peuvent être agaçantes. Pourquoi donc en faire cadeau à vos utilisateurs ?
Oubliez donc ce genre de fausse bonne idée et pensez à votre site comme si vous en étiez vous-même un utilisateur. Y resteriez vous plus de 10 secondes ?
5. Un processus de checkout trop long
Toujours dans le chapitre des Grands Énervants, on vous présente les formulaires à rallonge ou les créations de compte client au moment de passer au clic fatidique.
Simplifier l’étape du paiement est un des incontournables d’une bonne UX. Car c’est dommage de perdre des clients si près de but ! La solution ? On optimise pour un checkout simple, rapide et sans friction. Et on oblige surtout pas le client à se créer un compte.
Bonne nouvelle : on en sait quelque chose ! Et on installe notre bouton magique d’achat en 1 clic en quelques minutes seulement. Pour en discuter, rendez-vous juste ici.
Comment transformer un lead en client ?
Vous parvenez à générer des leads ? Toutes nos félicitations ! Mais une fois qu’on a une bonne base de prospects, comment donc les transformer en clients ?
Il s’agit d’un véritable challenge… Le visiteur de votre e-commerce est plus informé (et parfois même sur la réserve) que jamais. L’équipe JUST arrive donc à la rescousse et vous révèle dans cet article 5 astuces pour le faire succomber au clic fatal : celui de l’achat.
Suivez le guide pour transformer vos leads en clients !
Apprenez à connaître votre base de lead
Un conseil qui peut paraître lambda mais que certains mettent parfois de côté ! Peu importe le nombre de fois où vous enverrez des mails à votre base, si vous vous adressez au mauvais prospect ou que vous ne partagez pas les bonnes informations, vos campagnes risquent bien de tomber à l’eau…
Et c’est là que la qualification de lead intervient ! Késako ? Il s'agit d'essayer d’en apprendre un maximum sur vos prospects. Nom, prénom, genre, âge, localisation… Ce type d’information est très facile à récupérer, notamment en les faisant par exemple s’inscrire à votre newsletter (vous connaissez le fameux “10% offerts en consentant à recevoir de nos nouvelles”). Cela vous permettra de savoir lesquels prioriser et comment vous adresser à eux.
Pour catégoriser vos leads, posez-vous ces questions :
- Que recherchent vos leads lorsqu’ils se rendent sur votre site ou sur vos réseaux sociaux ? À quel genre de problématique cherchent-ils à répondre ?
- Qu’est-ce qu’il les a attiré en premier lieu sur votre site ? Quelle publicité, quelle page ?
- Qu’est-ce qui peut éventuellement les gêner dans votre service ou offre (vous pouvez tout à fait leur demander dans un mail de relance panier)
- Qu’est-ce qui peut les motiver à franchir le cap ?
La team JUST vous conseille aussi de bien définir votre buyer persona, si ce n’est pas déjà fait. Derrière cette expression se cache en fait le portrait de votre acheteur idéal. Genre, sexe, situation professionnelle et sociale, réseaux sociaux de prédilection… Cela vous permettra d’avoir une cible bien précise et de pouvoir la partager à vos équipes sales et marketing. Pas de malentendus !
Offrez un discount ou un petit bonus
Recevoir un “truc” gratuitement, ça fait toujours plaisir - qu’il y ait des conditions ou non. Offrir une réduction ou un petit “plus” (exemple : une pochette offerte dès 20 euros d’achat) permettra à votre cible de suffisamment vous intéresser à vous et de passer à l’achat.
Comme l’explique Dan Ariely, spécialiste de l’économie comportementale, l’aspect gratuit marche car “cela provoque du désir chez le consommateur. Si je vous donnais un tout petit morceau de chocolat, ça vous rappellerait le goût de ce dernier. Vous en auriez instantanément envie de plus”.
Bref, titillez les clients avec une offre ! Et n’hésitez pas à jouer la carte de l’exclusivité/du privilège lors de vos communications : usage du prénom, code promo personnalisé…
Optimisez votre site web
À quoi sert un site e-commerce ? À vendre, certes, mais aussi à donner à vos consommateurs toutes les informations dont ils ont besoin. C’est donc un des éléments de votre stratégie de vente à ne surtout pas négliger ! En effet, d’après Forrester, un consommateur interagit en moyenne avec 11,4 éléments de contenus de votre site avant de passer à l’achat. C’est peu : il faut donc se montrer convaincant !
L’étape achat demande souvent une décision basée sur l’info : vos contenus doivent donc être les plus concis, précis possibles afin “d’éduquer” votre consommateur et lui donner une sensation de contrôle.
Cela coule de source mais ajouter des images relève également de l’information : sous tous les angles et avec la possibilité de zoomer, afin que votre prospect n’ait aucune méfiance vis-à-vis de l’article concerné. De plus, les e-shops contenant des photos génèrent en moyenne 94% de vues supplémentaires… Que vous faut-il de plus ?
En plus des classiques photos, vous pouvez illustrer vos articles par tous les moyens possibles : vidéos, graphiques présentant les avantages de vos produits (matériaux, origines…). Plus il y a d’infos, mieux c’est ! Quand on sait que 65% de la population a une mémoire visuelle, ça donne envie d’essayer…
Dans vos visuels, vos textes, positionnez vous en véritable expert : à nouveau avec des graphiques, des vidéos, des avis de professionnels (type “développé notre équipe de dermatologue” pour une marque de crème). À l’ère d’Internet, où les prospects peuvent chercher tous les avis et infos imaginables possible, il est important de savoir les devancer et de répondre à toutes leurs potentielles interrogations afin qu’ils RESTENT sur votre site.
En effet, d’après une recherche menée par Nelson, le contenu type expert est 38% plus efficace dans les conversions que les contenus simplement joliment brandés. What else ?
Donnez de vos nouvelles
Et le plus vite possible ! Par mail, par texto, sur les réseaux sociaux : contactez vos prospects sur tous ces canaux pour multiplier vos chances de les faire convertir. Tips de pro : avec l’automatisation, vous pouvez personnaliser vos messages (avec les prénoms, par exemple) et vos contenus (vous savez normalement ce que veulent vos prospects).
La clé pour relancer ? Le fameux mail de relance panier bien sûr. Du CTA jusqu’à quoi raconter, on vous dévoile nos trucs et astuces juste ici.
Éliminez les frictions
Pour choper de la data, oubliez clairement le moment “achat”. Pour transformer un lead en client, rendez l’expérience la plus simple possible. Et pour récolter des données, préférez plutôt des landing pages, des inscriptions à une newsletter, des concours…
Cependant, quand vos prospects sont à deux doigts de passer commande, ne leur posez pas trop de questions, ne les faites pas trop réfléchir... Minimisez plutôt les champs d’informations et optez pour les connexions en 1 clic. Et surtout, choisissez JUST, l’expérience de checkout en 1 clic qui augmente vos taux de conversion de près de 19% !
E-commerce : comment fidéliser un client ?
Les clients fidèles ou ceux à qui les e-commerçants peuvent dire merci ! En effet, lorsqu’un client a déjà passé commande sur votre site, il a de forte chance de revenir : il a déjà montré un certain intérêt pour vos produits, une volonté de payer pour ces derniers et sait identifier votre marque. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : d’après une étude menée par RJMetrics, c’est près de 43% du chiffre d’affaires d’un e-commerce qui seraient générés par les clients réguliers.
Vous aurez compris : les acheteurs réguliers sont une véritable aubaine. Mais une fois que l’on a pris conscience de leur valeur, comment fidéliser un client ?
La team JUST vous dévoile quelques techniques pour que vos clients reviennent et encore mieux : qu’ils deviennent de véritables ambassadeurs de votre marque !
✅ Offrir une expérience utilisateur impeccable
La base ! Des choses qui peuvent peut-être paraître évidentes mais qui sont toujours bonnes de rappeler.
Ici, l’objectif est que le client se souvienne de son achat chez vous comme une expérience exceptionnelle. Par où commencer ?
📱 Une UX et UI optimisées
Saviez vous que près de 60% du trafic web se fait via mobile ? Il est donc primordial d’optimiser votre parcours client à la fois sur la version desktop de votre site mais aussi mobile. La team JUST aurait même tendance à conseiller de prioriser la version mobile !
S’il y avait un adjectif à choisir pour qualifier une bonne UX, ce seraiy “fluide”. En effet, nos consommateurs nous indiquent que selon eux, un parcours checkout devrait durer moins de 2 minutes. Ça fait court, très court…
Oubliez les fioritures, les infos superflues et privilégiez plutôt les designs simples ainsi que les messages clairs.
Ou optez pour JUST, la solution de check-out en 1 clic 😉 On vous explique tout juste ici.
Revenons à nos moutons : afin d’être certain que votre site est optimisé, n’hésitez pas à sonder vos clients volontaires ou votre entourage pour une séance d’A/B testing. Késako ? L’A/B testing est une méthode scientifique qui consiste à montrer deux pages web à des interrogés et de les sonder afin de voir laquelle convertit le mieux. Efficacité garantie !
Pour clore le sujet de l’UX/UI, gardez en tête que vos clients sont pressés et que vos interactions doivent être les plus fluides et concises possible.
🎁 La livraison offerte
Offrir la livraison à vos clients à partir d’un certain montant peut les motiver à passer à l’action, notamment lorsqu’ils ont déjà passé commande. En effet, une étude menée par University of Florida montre que des frais de livraison offerts peuvent davantage pousser le client à l’achat qu’une simple réduction sur un produit.
Le fait d’afficher l’ETA (la date d’arrivée potentielle du colis de votre client) peut également séduire et faire franchir le cap !
💁 Un service client au top
Les erreurs, ça arrive à tout le monde : une commande qui ne respecte pas les délais de livraison, un article manquant… L’important est de savoir rattraper le coup ! Être le plus réactif possible quant aux réclamations client est primordial si vous espérez un jour les voir à nouveau convertir sur votre site web.
Bref, montrez-vous (ou votre équipe Customer Care) joignable : par téléphone, via un chat (très efficace), une adresse mail, des profils de réseaux sociaux... Une réponse dans la journée ou encore mieux, une solution, saura faire la différence. Lors d’une friction avec un client insatisfait, vous pouvez tout à fait retourner la situation à votre avantage en proposant un code promotionnel applicable lors de la prochaine commande. Le client saura ainsi se montrer conciliant en se sentant privilégié et écouté.
De plus, se montrer disponible vous permettra d’activer des prospects s’ils ont des questions concernant vos produits et modes de livraison.
🤝 Créer un lien
💌 Des communications marketing par mail
Voyez la première commande d’un client comme la première opportunité pour tisser un lien. Un mail de bienvenue personnalisé (avec un prénom par exemple) posera de bonnes bases.
Une newsletter régulière présentant vos actualités de marque ainsi que des discounts “exclusifs” encourageront votre client à passer commande chez vous, à nouveau. Cependant, soyez consciencieux quant à vos offres promotionnelles : il faut qu’elles soient limitées dans le temps. Cela vous permettra de mieux traquer la performance de votre campagne (au bout de combien de temps votre client a-t-il utilisé le code ?) mais aussi de pousser à la vente. Eh oui, lorsque l’on sait que c’est limité, on a plus envie d’en profiter…
Une autre technique que nous affectionnons est celle des relances panier : un mail présentant les produits “abandonnés” qui ne demandent qu’à être achetés… De l’humour, un message personnalisé : cette tactique en fait succomber plus d’un.
📣 Et les réseaux sociaux, dans tout ça ?
La communication avec votre base clients ne se cantonne pas qu’aux e-mails. Vous pouvez ainsi intégrer des boutons redirigeant vers vos réseaux sociaux dans vos newsletters, afin d’agrandir votre communauté.
Sur les réseaux qu’y s’y prêtent (Snapchat, Instagram, TikTok…), n’hésitez pas à directement impliquer vos abonnés dans votre développement. Création d’un nouveau produit, collaboration avec une autre marque : jouez avec les outils de vote et de sondage, osez abuser de CTA pour impliquer et engager votre communauté dans votre développement.
Quand on se sent concerné, on a tout de suite plus envie d’acheter !
💰 Lancer un programme de fidélité
Donnez envie à vous clients de rejoindre votre programme de fidélité en jouant sur la carte de l’exclusivité. L’avantage pour vous ? Collecter certaines données démographiques et grappiller des infos sur leur comportement shopping. Vous pourrez ainsi mieux les cibler, leur proposer leurs produits préférés et leur offrir des discounts afin de les encourager dans leurs prochaines commandes.
La team JUST espère de tout cœur que cet article vous aidera à faire revenir vos clients. Envie de simplifier l’expérience de vos clients afin qu’ils deviennent réguliers ? N’hésitez pas à nous faire signe, on se fait toujours une joie d’aider les e-commerçants.
Blog de marque : nos 5 préférés
Il y a quelques semaines, la team JUST écrivait sur l’importance de tenir un blog en tant que marque. Améliorer son référencement, construire une relation de proximité avec ses clients et enfin se donner une certaine crédibilité : on ne cite pas toutes les bonnes raisons de dégainer sa plume !
Avant de se lancer ou de justement continuer dans sa lancée, on vous révèle nos blogs de marque préférés. Experts dans leur domaine, admirablement bien écrits, ils font partie de ceux qui marchent et qui donnent envie de lire toute la sainte journée !
C’est parti ?
Oh My Cream, le blog des skincare addicts
Votre e-commerce vend des soins et de la cosméto ? Il se pourrait que le blog d’Oh My Cream soit un vivier d’inspirations ! Tout se passe dans la partie “conseils”. Présentation de marques partenaires, routines beauté, zoom sur des personnalités pointues et leurs habitudes make-up… On apprécie la richesse et la diversité des contenus du blog de la digital native brand. Mention spéciale à la série “Dans la salle de bain de…” dont on raffole chez JUST !
👉 Découvrir le blog d’Oh My Cream
Le blog de Puissante a.k.a les conseils sexo comme ceux d’une copine
Guide, bien-être, libido, sexualité positive : chez Puissante, on aborde tout, et sans complexe. On aime tout spécialement le ton employé, bienveillant, franc mais jamais infantilisant. Alimenté toutes les semaines ou presque, ce blog de marque est une véritable inspiration pour les e-commerçants branchés self love. Et une vraie mine d’infos pour toutes celles.ceux qui se posent des questions ou qui veulent en apprendre plus sur leur sexualité !
👉 Découvrir le blog de Puissante
Flotte, le blog des “pluiviophiles”
C’est ainsi que la marque de cirés 2.0 appelle ses fans ! Le blog de Flotte couvre un tas de sujets, souvent reliés à sa marque mais aussi à l’outdoor, au pratique et à la mode. On y trouve aussi de beaux papiers sur le voyage, comme celui de Charlotte, qui a pu expérimenter un vrai sentiment de coupure en Mongolie.
On apprécie beaucoup aussi le côté “backstage” de la marque, qui nous raconte ses secrets de fabrication et nous file des conseils d’entretien.
Une thématique très niche en soit, mais qui a l’avantage de cibler un lectorat bien précis.
Glossier : quand le blog devient marque
Quand on lance sa marque suite à un blog, c’est que ce dernier fait clairement de l’effet ! Glossier, c’est d’abord l’histoire d’Emily Weiss, ex-CEO de la marque. La jeune femme, travaillant la journée chez Vogue US, lance le blog Into The Gloss en 2010. Elle l'alimente la nuit, entre 4 heures et 8 heures du matin (elle en a, n’est-ce pas ?).
Le blog est surtout apprécié pour ses interviews et leur section “Top Shelf” (haut d’armoire), où les interrogées révèlent ce qui se trouve dans leur placard de salle de bain. 2 ans plus tard, c’est près de 200 000 utilisateurs mensuels qui lisent Emily !
En 2014, la blogueuse finit par lancer sa propre marque de cosmétique autour de son blog : Glossier. C’est un véritable succès : aujourd’hui, près d’une femme sur deux connaît Glossier aux États-Unis. Bref, chapeau bas à Emily et à son blog, qui continue d’être animé et qui met aujourd’hui en avant (entre autres) les produits Glossier.
👉 Découvrir le blog de Glossier
Mina Storm, le blog qui parle dessous et body positivism
C’est que le bien-être fait couler l’encre ! Minute papillon : comment une marque de lingerie peut-elle vraiment aborder des sujets de self care ? En se positionnant comme LA marque confortable et body positive, pardi !
Sur le blog de marque de Mina Storm, on trouve un tas de conseils pour choisir la bonne taille de soutien-gorge et pour se sentir bien dans sa peau au quotidien. Bref, ça parle no bra, neo bra et injonctions sociétales faites aux femmes. De beaux sujets, écrits de la patte si propre à Mina Storm et des mots-clés “niche” qui savent attirer un public ciblé !
👉 Découvrir le blog de Mina Storm
Et vous, c’est quoi votre blog préféré ? Rencontrons-nous pour en discuter !
4 exemples de call to action pour vos mails marketing
Définition du call to action
Un call to action (littéralement “appel à passer à l’action” en français, moins sexy, on vous l’accorde) est un incontournable de l’inbound marketing (allez on vous aide : l’inbound décrit toutes les tactiques visant à faire venir le client vers vous, contrairement à l’outbound, qui vise à chercher le client).
Grosso modo, un call to action est un outil marketing qui invite un prospect, un consommateur (c’est ça qui nous intéresse !) à agir de façon immédiate. Les calls to action prennent souvent la forme d’une injonction (“découvrir plus”, “achetez maintenant”).
Les calls to actions peuvent se trouver sur site web, une landing page, sur des ads ou publications de réseaux sociaux. Dans cet article, la team JUST vous parle des CTA dans les mails marketing. Emplacement, formulation, design : on vous révèle les meilleurs conseils pour faire de bons CTA !
1. Où positionner un call to action ? 🤔
Certainement pas en bas de page, près des petites lignes que personne ne lit ! La position de votre call to action est primordiale : plus il sera visible, plus vos lecteurs seront susceptibles de cliquer dessus.
Il faut donc qu’il soit placé plutôt en début de mail (la structure phrase d’intro, CTA puis produits affichés est efficace), centré et enfin contextualisé. Images, informations dans le texte : il faut que les réceptionnaires de votre mail sachent où ils vont atterrir en cliquant dessus.
Et si on choisit d’intégrer plusieurs call to action à son e-mail ? On hiérarchise, pardi ! On valorise celui à la meilleure offre en le plaçant au début du message, et on y va decrescendo.
2. Comment formuler un call to action ? ✍️
N’hésitez pas à user de la première personne lorsqu’il s’agit d’écrire un CTA. Proximité et taux de conversion font en général bon ménage… On choisit donc plutôt une formulation type “Je commande” au lieu de “commander”.
Les verbes d’action rendent le bénéfice plus clair pour le consommateur. Ça, combiné à de l’impératif : c’est dans la poche pour la rédaction !
3. Quel design choisir pour un call to action ? 🎨
On vous en parlait dans notre article dédié aux newsletters marketing mais on vous révèle un peu plus sur l’allure du CTA idéal.
Primo, il vaut mieux l’insérer dans un bouton et non pas en tant que simple lien hypertexte. Pourquoi ? Pour le rendre plus visible, tout simplement !
Deuzio : plus c’est gros, plus ça passe. On fait en sorte de choisir la police la plus lisible de sa charte graphique et on choisit une taille suffisamment grosse.
Pour finir, parlons peu, parlons couleurs : il faut que votre bouton CTA contraste au maximum avec le reste de votre mail. Dans l’imaginaire collectif, il y a aussi des couleurs qui évoquent plus certaines choses que d’autres : le rouge, un sentiment d’urgence (idéal pour des promotions limitées dans le temps), le noir est souvent associé au luxe (tout dépend de votre positionnement) et le bleu inspire la confiance (une couleur idéale pour le B2B ou pour les services type banques, assurances…).
4. Comment rendre un call to action efficace ? 🚀
Suivre nos trois premiers conseils à la lettre, c’est déjà un beau pas vers la maximisation de votre taux de conversion. Au-delà d’une bonne position, d’une formulation adéquate et d’une mise en forme percutante, avez-vous revu votre stratégie d’offres ?
Pour inciter vos lecteurs à visiter votre site web, faites donc ami ami avec les offres alléchantes : produit offert “J’obtiens mon tote bag dès 40€”, “Je profite de la livraison offerte” promotions etc…
Rassurez, surtout pour les achats qui demandent un certain engagement. Par exemple, dans le cas des abonnements, vous pouvez proposer un mois gratuit sans engagement.
Black friday, cyber monday : comment préparer son site e-commerce
Tic, tac, tic tac… Black Friday et Cyber Monday arrivent à grands pas. Vous n’avez encore rien préparé ? Pas de panique : il est encore temps.
En 2021, c’est près de $7 milliards qui ont été dépensés par les consommateurs lors de ces deux évènements ! Ça fait beaucoup... Et si vous mettiez cette année toutes les chances de votre côté pour qu’une petite portion de cette somme devienne la vôtre ?
Qu’est-ce que Black Friday ?
Traditionnellement, Black Friday désigne le jour après Thanksgiving aux États-Unis. À moins d’un mois de Noël, le 25 novembre cette année, l'événement marketing lance aussi la période de la chasse aux cadeaux.
Lors de Black Friday, les boutiques en ligne ET physiques proposent des réductions, en général de minuit à minuit. Aujourd’hui, il est célébré partout dans le monde (ou presque) et provoque parfois de sacrés épisodes d’hystérie collective (cf vidéo) 😅
D’abord pensé pour les boutiques physiques, Black Friday est aujourd’hui un vrai phénomène de l’achat en ligne. Si bien qu'une autre journée shopping, propre aux ventes en ligne, a été créée. Nous parlons évidemment de Cyber Monday, qui a lieu le lundi juste après Black Friday ! Parfois méconnu en France mais déjà incontournable aux États-Unis, l'événement se présente comme l’opportunité de booster vos ventes de fin d’année.
Et comment maintenir l’afflux de visiteurs du vendredi au lundi ? La team JUST conseille de commencer fort dès le vendredi avec des réductions effet “wow”, d’y aller decrescendo tout le week-end pour revenir en force le lundi.
Et pour le reste, on commence par quoi ? Suivez le guide !
8 Stratégies pour réussir son Black Friday
1. Voyez les choses en grand
Ah, la, la. Black Friday ! C’est LA journée dans l’année où toutes les folies en termes de prix sont permises. Les consommateurs s’attendent clairement à des réductions “wow” (cf la fameuse vidéo ci-dessus) donc sachez ne pas les décevoir ! Cette année, un petit discount de -15% sur une sélection de produits ultra limitée ne fera clairement pas l’affaire.
Dans une interview accordée à Shopify Plus, le CEO de Blenders Eyewear, une marque de lunettes, avance “Black Friday, c’est le moment de l’année où vous pouvez drastiquement baisser vos prix sans pour autant entacher votre image de marque. Faites en sorte que votre offre soit la plus attractive possible”.
Prenons l’exemple de Glossier, la marque de cosmeto aujourd’hui identifiée par près d’une américaine sur deux : à chaque Black Friday, le site solde L’INTÉGRALITÉ des ses produits à -20%. Devenu véritable rituel pour la communauté Glossier, le monumental Black Friday de la marque ne peut qu’inspirer.
2. Place aux VIP
Si vous ne pouvez pas vous permettre de proposer des prix cassés à l’ensemble des visiteurs de votre e-commerce, on ne vous jette pas la pierre ! Priorisez plutôt vos clients réguliers : d’après une étude menée par Klaviyo, ils ne représenteraient seulement 3 à 5% de votre base mais dépenseraient 3 fois plus qu’un client lambda !
Une sorte de Black Friday exclusif, à destination de vos clients réguliers, peut tout à fait vous permettre de booster vos ventes comme il se doit. Notre conseil ? Jouez de l’aspect “privilège” et n’hésitez pas à mettre en exergue le fait que l’offre soit limitée dans le temps (exemple : “24h seulement !”). Essayez, vous verrez !
3. Ne négligez pas Cyber Monday… Et le mois de novembre en général !
Qui dit mois de novembre dit se rapprocher dangereusement du mois de décembre. Et enfin, qui dit mois de décembre dit Noël. Vous l’aurez compris : ces derniers mois de l’année sont une aubaine pour booster votre e-commerce. La team JUST vous conseille donc de ne pas potentialiser uniquement sur Black Friday mais aussi sur tout le mois de novembre et ses évènements.
À commencer par Cyber Monday ! Et si on prolongeait les festivités ? Nous évoquions un peu plus haut un Black Friday exclusif à vos clients VIP, pourquoi donc ne pas lancer une opération type frais de livraison offerts ou alors une mécanique tant d’euros dépensés, tel article offert à l’ensemble de votre communauté ?
Pour booster vos ventes tout le mois de novembre, vous pouvez aussi user de techniques telles que le Cross Selling et le Upselling. Késako ?
Le premier pourrait se traduire par “vente croisée”. Il s’agit de proposer des produits complémentaires à votre client, en plus de celui qui l’a choisi. Exemple : il ajoute un petit bonnet à son panier. Pourquoi donc ne pas lui proposer l’écharpe parfaitement assortie en complément ? L’objectif n’est pas de le relooker de la tête au pied ou de lui fournir des conseils de style mais de faire gonfler son panier, pardi !
Le Upselling, quant à lui, consiste à proposer un produit similaire à celui que votre acheteur choisi, avec une valeur ajoutée. Toujours avec le même objectif ! Exemple : votre client veut acheter un gommage anti points noirs. Proposez lui donc le coffret ciblé anti points noirs. Plus complet et plus… cher.
4. Communiquez pour événementialiser
Tout le monde connaît Black Friday. Ça n’en fait pas une raison valable pour ne pas communiquer ! En ads ou sur les réseaux sociaux, jouez le jeu à fond, pour certes, attirer du trafic lors du D-DAY, mais aussi pour en profiter pour agrandir votre base de données.
Côté ads, la team JUST vous recommande de vous y prendre tôt, très tôt (oups, peut-être un peu tard pour cette année). En effet, à chaque automne, chacun d’entre nous est bombardé de publicités pour Black Friday. Comment donc sortir du lot ? Faites de l’A/B testing, voyez ce qui fonctionne ou non… Et retargetez. Il faut que le nom de votre marque rime avec Black Friday dans la tête de votre audience !
Côté réseaux sociaux, on événementialise : compte à rebours en story Instagram, campagne d’influence ou encore concours spécial Black Friday. L’objectif est de montrer à votre communauté que vous allez les RÉ-GA-LER !
5. Assurez-vous que tout fonctionne du côté de votre site
Augmenter vos ventes, les stabiliser ou au contraire les faire baisser : tout dépend de votre site ! Ce serait dommage d’expérimenter un crash lors d’un des plus gros événements e-commerce de l’année.
Pour l’occasion, vous pouvez tout à fait vous servir d’outils de surveillance de performance web (Uptrends, Pingdom, UptimeRobot…) sachant que la plupart proposent des semaines gratuites en essai.
Avec l’outil Test My Site de Google, vous pouvez même constater comment la vitesse de votre site peut augmenter votre taux de conversion mobile. Plus simplement : l’outil vous indiquera si votre site se charge suffisamment rapidement.
6. Soyez mobile first, toujours
C’est 68% du trafic global qui se fait sur mobile. C’est BEAU-COUP. Votre boutique en ligne est peut-être parfaitement design et ergonomique depuis ordinateur, mais vous êtes vous assuré.e qu’elle l’était aussi sur mobile ?
En effet, lors du dernier Black Friday, ce sont 71% des transactions qui se sont faites sur mobiles. Pour rendre votre e-commerce mobile friendly à souhait, augmentez la vitesse de votre site web (on vous explique pourquoi juste au-dessus) et privilégiez un achat en 1-clic.
En simplifiant l’étape checkout de votre site, c’est de près de 19% que vous augmentez votre taux de conversion. C’est la team JUST qui le dit ! Intéressé.e ? Rendez-vous juste ici.
7. Persévérez
Mails de relance panier, DMs sur les réseaux sociaux : montrez-vous présents auprès des visiteurs qui n’ont pas (encore) converti.
Il existe un tas d’outils formidables pour l’automatisation de vos relances, dont certains jouant avec les codes appréciés des millenials. Prenons par exemple ShopMessage : la solution utilise Messenger de Facebook afin de relancer les prospects des marques.
Dans vos relances, n’hésitez pas, à nouveau, à jouer sur l’effet d’urgence en privilégiant de bons CTA.
Plus que jamais vous devez vous montrer disponible lors de Black Friday (et au mois de novembre en général) : questions, retours, échanges… Ne passez pas à côté de potentiels clients, ou pire, n’en perdez pas de déjà acquis !
8. Anticiper : la clé pour réussir son Black Friday
Un pic de trafic et de commandes, c’est beau. Mais ça demande une certaine organisation, surtout quand on est en effectif réduit ! Cela peut paraître évident mais assurez-vous que vous avez une bonne marge de stock sur les produits que vous mettez en promotion.
Si vous avez une adresse physique, n’hésitez pas à proposer une option “click & collect” afin de vous alléger la tâche envoi de commandes. Toujours dans la même optique, proposer une carte cadeau virtuelle peut s’avérer être un choix judicieux, surtout en prévision des fêtes de fin d’année. Bradée (exemple : une carte cadeau de 50€ vendue à 40€), elle vous permettra à nouveau d’éviter l’étape emballage et envoi. Mais aussi échange et renvoi !
L’ensemble de la team JUST vous souhaite bon courage pour ce prochain Black Friday 🍀 N’hésitez pas à nous poser des questions juste ici !