Dans le monde de l’e-commerce, chaque étape du parcours d'achat doit être optimisée pour convertir les visiteurs en acheteurs. Le paiement en ligne, dernière étape cruciale du tunnel de conversion, est souvent là où de nombreux clients potentiels abandonnent leur panier. Pour maximiser vos ventes et fidéliser vos clients, il est essentiel de réduire au maximum les frictions lors du paiement en ligne. Cet article explore les meilleures pratiques pour offrir une expérience de paiement fluide et sans heurts, afin de diminuer les abandons de panier et augmenter vos conversions.
Qu'est-ce que les frictions dans le paiement en ligne ?
Les frictions dans le paiement en ligne sont des obstacles ou des points de blocage qui compliquent le processus de paiement et découragent les clients de finaliser leur achat. Ces frictions peuvent inclure des formulaires longs et compliqués, un manque d'options de paiement, des problèmes de sécurité perçus, ou encore des temps de chargement trop longs. Tout élément qui interrompt ou ralentit le parcours d'achat peut être considéré comme une friction.
Impact des frictions sur les abandons de panier
Les frictions sur la page de paiement sont une des principales causes d'abandon de panier. Selon une étude de Baymard Institute, 18 % des clients abandonnent leur panier à cause d'un processus de paiement trop long ou compliqué. En réduisant ces frictions, vous pouvez améliorer l'expérience utilisateur, réduire les abandons de panier et augmenter vos ventes.
Comment réduire les frictions lors du paiement en ligne ?
Pour offrir une expérience de paiement en ligne fluide et minimiser les frictions, il est essentiel de suivre certaines meilleures pratiques. Voici quelques stratégies clés pour optimiser le processus de paiement et encourager les clients à finaliser leur achat :
1. Simplifiez le processus de paiement
Un processus de paiement simple et rapide est essentiel pour minimiser les frictions. Réduisez le nombre de champs à remplir et assurez-vous que chaque étape soit claire et intuitive.
- Astuce pour simplifier le paiement : Optez pour une page de paiement unique, où toutes les informations nécessaires sont saisies en une seule fois, plutôt que de diviser le processus en plusieurs étapes. Une étude de Forrester Research indique que chaque étape supplémentaire dans le processus de paiement peut réduire le taux de conversion de près de 10 %.
2. Offrez plusieurs options de paiement
Les clients ont des préférences différentes en matière de paiement. Offrir une variété d'options de paiement peut aider à répondre aux besoins de tous vos clients et à réduire les abandons de panier.
- Exemples d'options de paiement : Intégrez des solutions de paiement populaires comme les cartes de crédit, PayPal, Apple Pay, Google Pay, et des options de paiement en 1-clic avec des solutions sécurisées comme JUST. Selon une étude de Worldpay, 44 % des consommateurs ont abandonné un achat en raison du manque d'options de paiement pratiques.
3. Optimisez la vitesse de chargement de la page de paiement
La vitesse de chargement est cruciale pour l'expérience utilisateur, surtout sur la page de paiement. Un temps de chargement trop long peut frustrer les clients et les amener à abandonner leur achat.
- Comment optimiser la vitesse de chargement : Utilisez des outils comme Google PageSpeed Insights pour analyser la vitesse de votre page de paiement et obtenir des recommandations sur les améliorations possibles/ Compressez les images, minimisez les fichiers JavaScript et CSS, et utilisez la mise en cache pour améliorer les temps de chargement.
4. Affichez clairement les coûts totaux dès le début
Les coûts cachés, comme les frais de livraison ou les taxes, sont une cause majeure d'abandon de panier. Assurez-vous que tous les coûts sont clairement affichés dès le début du processus de paiement pour éviter les surprises désagréables.
- Importance de la transparence des coûts : Une étude de Baymard Institute révèle que 48 % des abandons de panier sont dus à des frais supplémentaires découverts au moment du paiement. En affichant tous les coûts dès le début, vous pouvez réduire les abandons de panier et augmenter vos conversions.
5. Rassurez les clients sur la sécurité des paiements
La sécurité des paiements est une préoccupation majeure pour les consommateurs en ligne. Mettez en avant les mesures de sécurité sur votre page de paiement pour rassurer les clients et les encourager à finaliser leur achat.
- Exemples de mesures de sécurité : Affichez des badges de sécurité, tels que "Paiement sécurisé" ou "Certifié PCI DSS", et utilisez des solutions de paiement de confiance comme JUST. Selon une étude de PwC, 87 % des consommateurs affirment qu'ils abandonneraient une transaction s'ils n'avaient pas confiance dans les mesures de sécurité d'un site.
6. Utilisez l'authentification à deux facteurs (2FA)
L'authentification à deux facteurs (2FA) ajoute une couche supplémentaire de sécurité en demandant aux utilisateurs de vérifier leur identité avec un deuxième facteur, comme un code envoyé à leur téléphone. Cela peut rassurer les clients sur la sécurité de leurs transactions.
- Pourquoi utiliser le 2FA : Selon Google, l'utilisation de 2FA peut bloquer jusqu'à 99,9 % des tentatives de piratage de compte. En offrant cette option, vous pouvez renforcer la sécurité des paiements et rassurer vos clients.
Comment tester et optimiser continuellement votre page de paiement
Réduire les frictions lors du paiement en ligne est un processus continu. Il est essentiel de tester régulièrement différentes variantes de votre page de paiement pour identifier ce qui fonctionne le mieux pour vos clients. Utilisez des tests A/B pour expérimenter avec différents éléments, comme les textes des CTA, la mise en page, ou les options de paiement, et analysez les résultats pour affiner votre stratégie.
L'utilisation des tests A/B pour optimiser le paiement
Les tests A/B vous permettent de comparer deux versions d'un élément de la page de paiement pour voir laquelle obtient les meilleurs résultats. Par exemple, vous pouvez tester deux versions d'un bouton CTA pour voir laquelle incite le plus à l'action, ou deux mises en page différentes pour voir laquelle réduit le mieux les abandons de panier.
- Pourquoi les tests A/B sont importants : Selon une étude de VWO, l'optimisation des conversions à travers l'A/B testing peut augmenter les ventes de 14 à 25 %. En testant et en optimisant continuellement, vous pouvez améliorer l'expérience utilisateur et maximiser vos conversions.
Conclusion
Réduire les frictions lors du paiement en ligne est essentiel pour maximiser les conversions et réduire les abandons de panier. En simplifiant le processus de paiement, en offrant plusieurs options de paiement, en optimisant la vitesse de chargement de la page de paiement, et en rassurant les clients sur la sécurité de leurs transactions, vous pouvez offrir une expérience d'achat fluide et agréable qui incite les clients à finaliser leur achat.
En utilisant des solutions de paiement sécurisées comme JUST, vous pouvez renforcer la confiance des clients et les encourager à acheter en toute confiance. N'oubliez pas que l'optimisation de la page de paiement est un processus continu, alors continuez à tester, à analyser, et à affiner votre site pour offrir le meilleur à vos clients. Commencez dès aujourd'hui à optimiser votre page de paiement pour booster vos conversions et assurer la croissance de votre entreprise !
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C'est quoi le social shopping ?
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. On vous en dit plus dans un instant !
Il y a dix ans, on nous aurait parlé de social shopping, on aurait pensé qu’il s’agissait simplement d’une rencontre fortuite avec un copain dans votre magasin préféré. Ou de votre super copine qui vante à la terre entière sa fameuse crème miracle !
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. Instagram et compagnie s’intègrent donc dans votre parcours client. Bref, on ne se contente plus de vendre GRÂCE aux réseaux sociaux mais on vend SUR les réseaux sociaux.
Mais qu’est-ce que vaut exactement le social shopping ? Quelle est sa valeur ajoutée ? Décryptage.
🤓 Un peu de contexte
Début 2022, c’est près de 4,62 milliards d’utilisateurs actifs qu’on comptait sur les différentes plateformes communautaires. Cela représente presque la moitié de la population mondiale ! Le contexte de la crise sanitaire du COVID-19 n’a fait qu’encourager l’usage des réseaux sociaux : les français y passeraient donc quotidiennement près d’1h46.
Les e-commerçants y voient donc là un moyen de multiplier leur chance de vendre. Ces derniers font, et ça depuis un moment, une promotion permanente de leurs produits auprès de leur communauté grâce à des contenus attrayants, un bon storytelling, un branding bien rôdé ou encore du paid et de l’influence. En plus de ça, Instagram, Facebook et TikTok proposent également depuis quelques années de taguer les publications avec des étiquettes redirigeant vers le site des marques. On vous en dit plus dans une minute !
👍 Les avantages du social shopping
À l’heure actuelle, le social shopping est un véritable must pour les e-commerçants. En effet, quoi de mieux que de vendre à un utilisateur sur une plateforme avec laquelle il se sent tout spécialement familier ? De plus, on considère qu’en organique, les e-commerçants s'adressent à une communauté déjà consommatrice de leurs produits ou au moins intéressée (la preuve : les utilisateurs suivent la page de la marque). Le social shopping facilite l’expérience client : pas besoin de parcourir le site en long et en large pour trouver son modèle préféré. C’est plutôt dans le sens inverse, c’est le modèle préféré du client qui vient à lui !
Une des autres spécificités du social shopping est qu’elle encourage les interactions entre les acheteurs : sonder une communauté sur la qualité d’un produit, pouvoir échanger, découvrir… Si l’e-commerce est pratique, facile, l’acheteur se trouve bien souvent seul, face à son écran, tandis que sur les réseaux sociaux, il a un sentiment d’appartenance.
Pour finir, mettre à la vente ses produits sur les réseaux sociaux, c’est multiplier ses canaux de vente donc ses commandes. Un excellent levier gratuit, ou presque, à exploiter pour les jeunes e-commerçants !
👎 Les éventuels points négatifs du social commerce
Avant de lancer votre e-commerce sur les réseaux sociaux, il est important de garder en tête certains aspects : primo, tous les CMS ne sont pas forcément supportés par Instagram et Facebook. Par exemple, PrestaShop ne “matche” pas avec la fonctionnalité shopping de Facebook. Vous pouvez d’ailleurs découvrir la liste des plateformes compatibles avec l’outil juste ici.
Un autre point qu’il est important de révéler est la méfiance de certains utilisateurs vis-à-vis du social shopping : un sondage mené par MalwareBytes révèle en effet que 95% des interrogés ne font pas confiance aux réseaux sociaux en ce qui concerne leurs données personnelles et bancaires.
Une étude menée par Stackla montre également que l’authenticité des contenus postés par les marques est primordiale pour la majorité des utilisateurs (90%). Cependant, 51% des interrogés révèlent que moins de la moitié des contenus qu’ils aperçoivent sur les réseaux sociaux leur paraît “fausse”. Vous l’aurez compris : choisir de vendre sur ses réseaux sociaux, c’est aussi prendre le risque de se transformer en panneau publicitaire, et pas de la façon la plus finaude. Bref, l’important, c’est de savoir doser !
🛍️ Vendre sur Instagram
Concrètement, ça se passe comment ? Côté utilisateur, le parcours d’achat sur Instagram se déroule de cette façon : il voit sur une publication avec un ou des produits marqués d'une petite étiquette (appelée “tag”). Une fois qu’il clique sur un tag, il est alors redirigé vers la page descriptive du produit, toujours sur Instagram. Sur cette fameuse page figure un bouton “acheter”, qui redirige vers le site web de la marque.
S’il est déjà possible d’acheter et de payer directement sur Instagram aux États-Unis, ce n’est pas encore le cas en France. “À terme, nous prévoyons de l’étendre aux entreprises situées hors des États-Unis”, explique Meta.
Côté e-commerçant, pour vendre ses produits sur Instagram, la démarche est assez simple : il suffit d’accéder aux paramètres et de cliquer sur "Configurer Instagram Shopping”. La plateforme demandera ensuite d’associer la page Facebook du e-commerçant, ainsi qu’un catalogue de produits accessible via le CMS de ce dernier. Et c’est parti !
Une aubaine à ne pas louper pour les e-commerçants : ce sont près de 130 millions d’internautes qui appuient chaque mois sur des publications Instagram avec des tags de produits !
🤑 Vendre sur Facebook
Parfois un peu mis sur le carreau par les Gen Z car considéré comme “hasbeen”, Facebook est malgré tout un levier d’acquisition à ne pas négliger. Il demeure en effet le réseau social préféré des français : d’après le Digital Report France 2022, mené par We Are Social et Hootsuit, c’est près de 3 utilisateurs d’Internet sur 4 qui ont un compte sur la plateforme.
La création d’une boutique Facebook ressemble à celle d’Instagram : il faut importer son catalogue via son CMS. Pour chacun des articles montrés, il est possible d’ajouter directement sur le réseau des informations telles que le descriptif, la variante du produit, son prix… À nouveau, comme sur Instagram, l’utilisateur sera redirigé vers votre site web afin de passer commande. Aux Etats-Unis, il est déjà possible de passer commande et d’effectuer le paiement directement sur le réseau social. À quand cette option dans l’Hexagone ?
🤔 Vendre sur TikTok
TikTok est un réseau spécialement intéressant pour les e-commerçants. Les moins de 25 ans représentent près de 41% des utilisateurs de la plateforme. Quand on sait que 73% des Gen Z font du shopping en ligne, on se dit que le réseau chinois est une véritable mine d’or ! Etonnamment, TikTok ne propose toujours pas de fonctionnalités e-commerce. Ainsi, sur ce réseau, il faut donc pour l’instant se cantonner aux publicités et opérations d’influence. À voir ce que la suite nous réserve…
📱 Le live shopping, l’avenir du social commerce ?
Késako ? Il s’agit tout simplement du téléachat 2.0. Sur Instagram ou sur d’autres plateformes, il nous vient tout droit de la Chine, où il est très en vogue depuis 2016. Là-bas, ce sont déjà près de 90% des achats B2C qui se font sur mobile et les marques sont encore plus présentes sur les réseaux sociaux qu’en Occident.
Le live shopping consiste à faire une présentation de produits en live : essayages, crash test, démonstration… Les spectateurs peuvent commenter, poser leurs questions en direct et enfin acheter en ligne ce qui leur est montré. Sur les comptes de marque ou via des influenceurs, à quand l’achat directement sur la plateforme ?
Ce qui est certain, c’est que chez JUST, c’est que nous prenons très au sérieux le social shopping et qu’on vous prépare plein de belles surprises dans ce sens. Spoiler alert : on bosse sur une fonctionnalité permettant d’acheter en 1 clic via le live shopping. À dans quelques mois ? En attendant, n'hésitez pas à nous rencontrer !