Quelques évolutions technologiques et une pandémie plus tard, nous y voilà : la team JUST vous dévoile les grandes tendances e-commerce 2023.
Si les e-commerçants ont connu un pic de commandes lors des confinements, la croissance s’est légèrement essoufflée avec la réouverture des magasins brick and mortar. Si 21% des achats sont passés en ligne aujourd’hui, le nombre pourrait augmenter à 24.5% en 2025. Les consommateurs de shopping en ligne sont donc de plus en plus nombreux, agiles, et leurs envies et besoins s’adaptent aux tendances et outils du moment . Résultat ? Les marques redoublent de créativité et se doivent d’être adaptables et à l’aise avec les nouveaux codes tech.
Mais comment donc se préparer à cette forte croissance ? Et quelles sont les tendances émergentes pour l’année à venir ? Suivez le guide !
1. Une approche mondiale et globale pour les e-commerçants
Quand on sait que plus de la moitié des ventes en ligne (52.1%) ont lieu en Chine, ça donne envie de tenter sa chance à l’étranger…
L’e-commerce global désigne le fait de vendre des produits ou un service au-delà des frontières du pays d’origine de la marque. Les avantages ?
- L’expansion plus souple sur d’autres marchés que celui d’origine
- Un véritable vivier à data : voir quels produits marchent dans tel pays et essayer de comprendre pourquoi
- Un présence à l’internationale donc davantage de notoriété et de crédibilité
Le conseil : élargissez vos pays d’expédition au maximum, proposez plusieurs monnaies et enfin traduisez votre site en plusieurs langues. On vous glisse juste ici comment 😉
Enfin, si vous possédez une boutique brick and mortar, jouez la carte de l’ultra personnalisation et un parcours d’achat 0 défaut : il faut que vos clients étrangers vivent une expérience digne de celle que vous proposez dans votre boutique. Vous vous affirmerez alors en tant que marque.
2. La fin des cookies 🍪
Qui ne rime pas pour autant avec la fin des haricots ! Est-ce que 2023 rimerait avec la fin des cookies tiers ? On n'en est pas encore sûrs… Google repousse sans cesse la date butoire de leur disparition mais celle-ci risque de tomber à tout moment. Mais au juste, à quoi servent exactement les cookies ? Pourquoi vont-ils être supprimés ? Et quelles alternatives ? Ne bougez pas !
Vous avez sûrement déjà dû “accepter” ou “refuser” les cookies lorsque vous visitez un site web sur Chrome. Derrière ce nom un brin comique se cache en fait des petits textes qu’envoient les sites que vous visitez à votre navigateur. Ils permettront à Google de vous proposer des pubs ultra ciblées et aux websites de se souvenir de vous et de mémoriser ce que vous avez fait sur leur site. Vous avez dit Big Brother ? Peut-être… Et certains en sont mécontents ! Suite à la vague d’opinion défavorable envers ses petits cookies, Google a donc décidé de les retirer.
Cette suppression risque quelque peu de chambouler le monde des ads et la collection de data. Ce sont d’ailleurs 70% des annonceurs qui estiment que la publicité fait un pas en arrière avec la disparition des cookies.
Le conseil : Si vous vous reposez uniquement sur les cookies, essayez de repenser votre stratégie dès aujourd'hui. Pensez à l' écoute sociale : c’est un excellent moyen de savoir comment les consommateurs échangent avec votre marque. Mentions, identifications sur les réseaux sociaux et blogs… Vous pourrez capter le sentiment général autour de votre marque grâce à des données publiques et accessibles à tous. Des outils tels que Hootsuite ou encore Sprout Social pourront s’avérer utiles !
Revoyez également votre stratégie de contenus afin de récolter de la data sur vos consommateurs (exemple : un jeu concours où les participants doivent indiquer leur mail sur une landing page), tout en restant au maximum transparent sur la confidentialité des données privées.
L’opinion générale est à la protection des données et de la vie privée : la confiance doit donc régner entre vous et votre client !
3. Réseaux sociaux et tendances e-commerce 2023
Le social shopping, l’avenir du e-commerce ?
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. Instagram et compagnie s’intègrent donc dans votre parcours client. Bref, on ne se contente plus de vendre GRÂCE aux réseaux sociaux mais on vend SUR les réseaux sociaux.
Début 2022, c’est près de 4,62 milliards d’utilisateurs actifs qu’on comptait sur les différentes plateformes communautaires. Cela représente presque la moitié de la population mondiale ! Le contexte de la crise sanitaire du COVID-19 n’a fait qu’encourager l’usage des réseaux sociaux : les français y passeraient donc quotidiennement près d’1h46.
Bref, il s’agit maintenant de s’y mettre !
Le conseil : Découvrez notre article spécialisé pour vous lancer dans le social commerce.
Les réseaux sociaux, base de la relation client ?
Ce sont près de 75% des consommateurs qui affirment avoir changé leurs comportements et préférences depuis la pandémie, l’un d’entre eux étant une plus grande attention portée à l’urgence. En effet, ils ont le sentiment de manquer de temps et ce dernier leur est précieux. Dans cette culture du “maintenant, tout de suite” où il est possible de se faire livrer un cheeseburger en quelques minutes ou de commander un taxi en 3 clics, attendre n’est plus vraiment à la mode !
Ce phénomène de vitesse s’applique aussi dans les interactions entre marques/clients : s’il n’est pas encore possible de livrer un produit en quelques minutes, il faut contrebalancer le sentiment d’attente en proposant une expérience client aux petits oignons.
Bref, il s’agit ici de répondre aux demandes le plus rapidement possible !
Le conseil : les chats sur les réseaux sociaux sont vos amis. Messages privés, dm : vous ou vos équipes doivent se montrer le plus disponible possible.
Des contenus inédits sur des réseaux sociaux spécifiques
Les réseaux sociaux changent… pour devenir de plus en plus similaires. Prenons par exemple Instagram, dont l’algorithme met désormais en avant les reels et qui se transforme peu à peu en un simili TikTok.
Bref, dur, dur de se démarquer sur ses réseaux… Surtout quand on sait que l’attention moyenne d’un utilisateur sur ces plateformes est de 9 secondes ! On décide donc de privilégier les vidéos, qui captivent davantage et on fait du contenu “waouw”. Avant de poster, posez-vous la question “M’arrêterais-je devant ce post si ce n’était pas moi qui l’avait fait ?”.
Le conseil : Si vous n’êtes pas encore à l’aise avec la vidéo, il faut commencer à s’y mettre, la photo étant de moins en moins privilégiée sur les réseaux sociaux. Analysez les tendances et reproduisez-les à votre sauce. N’hésitez pas à incarner votre marque et à mettre l’humain en avant...
Podcast : soyez à l’écoute
“La consommation de podcast et l’écoute en ligne se développent à une vitesse folle. De fait, les réseaux sociaux ne manquent pas l’occasion d’exploiter ce format de contenu” déclare Joanne Sweeney, fondatrice et PDG du Digital Training Institute.
En effet, Facebook ou encore Twitter introduisent des pages dédiées au podcast. Les influenceurs s’y mettent aussi : Emma Chamberlain, la youtubeuse américaine super star s’est récemment lancée avec sa fameuse série “Anything goes with Emma Chamberlain”.
Le conseil : sans pour autant vous lancer directement dans le placement de produit, soyez alerte et familier du marché du podcast. Histoire d’être prêt le moment venu !
La fin de Facebook, TikTok & Instagram ?
On évoquait plus haut la méfiance croissante des utilisateurs face aux sujets du stockage de données et de la vie privée sur Internet. Cette prise de conscience suit aussi sur les réseaux sociaux classiques, Meta faisant souvent l’objet de critiques à cet égard.
Depuis quelques mois, de nouveaux réseaux sociaux décentralisés font leur émergence : Twitch, Be Real, ClubHouse ou encore Steemit (qui a développé sa propre crypto monnaie !) et vous en avez forcément déjà entendu parler. De plus en plus populaires, ils sont appréciés pour leur aspect plus spontané mais offrent aussi plus de contrôle aux utilisateurs.
Si ces réseaux sociaux émergeront plus encore en 2023, rassurez-vous : ils ne remplaceront pas les traditionnels. Cependant, il est temps de les considérer pour d’éventuelles communications, partenariats ou ads sur ces plateformes.
Le conseil : Si le remplacement des social media traditionnels n’est pas encore à l’ordre du jour, familiarisez-vous avec ces nouveaux réseaux sociaux et testez. Ads, partenariats, communications… Si les utilisateurs migrent vers ces plateformes, les marques ne tarderont pas à les suivre. Ayez une longueur d’avance !
Ndlr : Il est impossible de faire de la publicité sur BeReal, le réseau se positionnant comme “anti-pub”.
4. Payer autrement pour optimiser ses taux de conversion
Si un commerçant parvient à ce qu’un client ajoute des articles à son panier, ce n’est pas pour autant que ce dernier achèvera le processus d’achat ! En réalité, ce sont près de 70% des clients qui finissent par abandonner leur panier en ligne. Mais comment donc les faire convertir d’avantage ?
Simplifier le processus
Création de comptes clients, champs interminables à remplir… De quoi en décourager plus d’un à passer à l’action ! En effet, 42% des acheteurs en ligne confirment abandonner leur panier en raison d’un checkout trop long et compliqué.
Le conseil : simplifiez votre checkout en adoptant une expérience d’achat en 1 clic comme la nôtre. JUST réduit par 10 les étapes du parcours d’achat grâce à son bouton magique “acheter en 1 clic”. Résultat ? Des taux de conversion boostés et des clients satisfaits !
Place aux cryptomonnaies
Entre la popularisation des cryptomonnaies et Stripe ou Paypal qui les ont cette année introduites dans leurs API, il est fort probable que les consommateurs exigent de pouvoir payer ainsi ! Il se peut aussi que des options “payer en crypto monnaies" apparaissent sur les e-shops. “Nous pensons que les consommateurs adeptes des cryptomonnaies utiliseront ces nouvelles options et paieront avec des monnaies stables comme l’USDC ou le DAI” déclare d’ailleurs Stefan GrassMann, Directeur Général de la Technologie chez Zühlke Technology Group.
Le conseil : Le paiement en crypto vous paraît encore lointain ? On comprend. Sans pour autant proposer l’option de paiement sur votre eshop, gardez en tête que cela pourrait arriver… Et préparez-vous en vous familiarisant avec l’univers des cryptos devises.
5. Metavers : fantaisie ou réalité ?
Le metavers a.k.a la tendance dont tout le monde veut faire partie ! On l’entend à toutes les sauces et parfois sans forcément comprendre de quoi il s’agit. Retour sur cette innovation.
Pour les analystes de Gartner, le metavers est un environnement 3D :
- persistant et immersif;
- collectif et partagé ;
- créé grâce à une réalité numérique et physique améliorée ;
- accessible via n’importe quel appareil connecté (smartphones, PC, casques VR, tablettes) ;
- alimenté par une monnaie reposant sur la blockchain.
Le concept de métavers fait parler de lui en octobre 2021, lorsque Facebook annonce le lancement du projet. Depuis, des leaders technologiques tels que Microsoft ou encore le géant chinois TenCent commencent à dévoiler leurs propres versions du métavers.
Avec un marché potentiel à 800 000 milliards de dollars, d’autres concurrents sont attendus pour cette nouvelle année. Effet de mode ou véritable révolution tech ? Les metaverses qui resteront dans le temps seront les préférées des consommateurs…
Bien que le concept soit encore à ses débuts, de nombreuses marques explorent les possibilités dans cet espace : s’il demeure encore compliqué de mesurer l’impact des actions marketing sur le métaverse, certains tentent déjà leur chance : Nike, Gucci, Stella Artois… Premier arrivé, premier servi ?
Le conseil : Avant de vous précipiter dans le monde virtuel 2.0, prenez le temps de réfléchir. Vous imposer comme une marque pionnière du metaverse correspond-il à votre image de marque ? Avez-vous les ressources nécessaires pour mener à bien ce projet long-terme ? À quoi vous servirait exactement le métavers au-delà de l’image.
6. Les marques engagées : hypocrisie ou véritable indispensable ?
Lorsque l’on sait que 82% des consommateurs souhaitent que les entreprises fassent passer la population et la planète avant le profit, cela donne envie de faire quelques efforts.
Inclusion, écologie, questions sociales : des problématiques que les marques ne peuvent plus ignorer. Prudence, prudence : ce serait dommage de se faire accuser de green washing.
Le conseil : Si vous décidez d’adapter vos messages aux grands questionnements sociaux et environnementaux d’aujourd’hui, soyez prêt à l’assumer. Ne prétendez pas être ce que vous n’êtes pas. Si votre marque n’est pas engagée socialement ou environnementalement, assurez-vous de d’abord appliquer des changements en interne avant de lancer quelconque communication à ce sujet.
Retrouvez en intégralité le livre blanc “Comment séduire les consommateurs volatiles autrement” réalisé par TalkWalker et Khoros juste ici.
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C'est quoi le social shopping ?
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. On vous en dit plus dans un instant !
Il y a dix ans, on nous aurait parlé de social shopping, on aurait pensé qu’il s’agissait simplement d’une rencontre fortuite avec un copain dans votre magasin préféré. Ou de votre super copine qui vante à la terre entière sa fameuse crème miracle !
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. Instagram et compagnie s’intègrent donc dans votre parcours client. Bref, on ne se contente plus de vendre GRÂCE aux réseaux sociaux mais on vend SUR les réseaux sociaux.
Mais qu’est-ce que vaut exactement le social shopping ? Quelle est sa valeur ajoutée ? Décryptage.
🤓 Un peu de contexte
Début 2022, c’est près de 4,62 milliards d’utilisateurs actifs qu’on comptait sur les différentes plateformes communautaires. Cela représente presque la moitié de la population mondiale ! Le contexte de la crise sanitaire du COVID-19 n’a fait qu’encourager l’usage des réseaux sociaux : les français y passeraient donc quotidiennement près d’1h46.
Les e-commerçants y voient donc là un moyen de multiplier leur chance de vendre. Ces derniers font, et ça depuis un moment, une promotion permanente de leurs produits auprès de leur communauté grâce à des contenus attrayants, un bon storytelling, un branding bien rôdé ou encore du paid et de l’influence. En plus de ça, Instagram, Facebook et TikTok proposent également depuis quelques années de taguer les publications avec des étiquettes redirigeant vers le site des marques. On vous en dit plus dans une minute !
👍 Les avantages du social shopping
À l’heure actuelle, le social shopping est un véritable must pour les e-commerçants. En effet, quoi de mieux que de vendre à un utilisateur sur une plateforme avec laquelle il se sent tout spécialement familier ? De plus, on considère qu’en organique, les e-commerçants s'adressent à une communauté déjà consommatrice de leurs produits ou au moins intéressée (la preuve : les utilisateurs suivent la page de la marque). Le social shopping facilite l’expérience client : pas besoin de parcourir le site en long et en large pour trouver son modèle préféré. C’est plutôt dans le sens inverse, c’est le modèle préféré du client qui vient à lui !
Une des autres spécificités du social shopping est qu’elle encourage les interactions entre les acheteurs : sonder une communauté sur la qualité d’un produit, pouvoir échanger, découvrir… Si l’e-commerce est pratique, facile, l’acheteur se trouve bien souvent seul, face à son écran, tandis que sur les réseaux sociaux, il a un sentiment d’appartenance.
Pour finir, mettre à la vente ses produits sur les réseaux sociaux, c’est multiplier ses canaux de vente donc ses commandes. Un excellent levier gratuit, ou presque, à exploiter pour les jeunes e-commerçants !
👎 Les éventuels points négatifs du social commerce
Avant de lancer votre e-commerce sur les réseaux sociaux, il est important de garder en tête certains aspects : primo, tous les CMS ne sont pas forcément supportés par Instagram et Facebook. Par exemple, PrestaShop ne “matche” pas avec la fonctionnalité shopping de Facebook. Vous pouvez d’ailleurs découvrir la liste des plateformes compatibles avec l’outil juste ici.
Un autre point qu’il est important de révéler est la méfiance de certains utilisateurs vis-à-vis du social shopping : un sondage mené par MalwareBytes révèle en effet que 95% des interrogés ne font pas confiance aux réseaux sociaux en ce qui concerne leurs données personnelles et bancaires.
Une étude menée par Stackla montre également que l’authenticité des contenus postés par les marques est primordiale pour la majorité des utilisateurs (90%). Cependant, 51% des interrogés révèlent que moins de la moitié des contenus qu’ils aperçoivent sur les réseaux sociaux leur paraît “fausse”. Vous l’aurez compris : choisir de vendre sur ses réseaux sociaux, c’est aussi prendre le risque de se transformer en panneau publicitaire, et pas de la façon la plus finaude. Bref, l’important, c’est de savoir doser !
🛍️ Vendre sur Instagram
Concrètement, ça se passe comment ? Côté utilisateur, le parcours d’achat sur Instagram se déroule de cette façon : il voit sur une publication avec un ou des produits marqués d'une petite étiquette (appelée “tag”). Une fois qu’il clique sur un tag, il est alors redirigé vers la page descriptive du produit, toujours sur Instagram. Sur cette fameuse page figure un bouton “acheter”, qui redirige vers le site web de la marque.
S’il est déjà possible d’acheter et de payer directement sur Instagram aux États-Unis, ce n’est pas encore le cas en France. “À terme, nous prévoyons de l’étendre aux entreprises situées hors des États-Unis”, explique Meta.
Côté e-commerçant, pour vendre ses produits sur Instagram, la démarche est assez simple : il suffit d’accéder aux paramètres et de cliquer sur "Configurer Instagram Shopping”. La plateforme demandera ensuite d’associer la page Facebook du e-commerçant, ainsi qu’un catalogue de produits accessible via le CMS de ce dernier. Et c’est parti !
Une aubaine à ne pas louper pour les e-commerçants : ce sont près de 130 millions d’internautes qui appuient chaque mois sur des publications Instagram avec des tags de produits !
🤑 Vendre sur Facebook
Parfois un peu mis sur le carreau par les Gen Z car considéré comme “hasbeen”, Facebook est malgré tout un levier d’acquisition à ne pas négliger. Il demeure en effet le réseau social préféré des français : d’après le Digital Report France 2022, mené par We Are Social et Hootsuit, c’est près de 3 utilisateurs d’Internet sur 4 qui ont un compte sur la plateforme.
La création d’une boutique Facebook ressemble à celle d’Instagram : il faut importer son catalogue via son CMS. Pour chacun des articles montrés, il est possible d’ajouter directement sur le réseau des informations telles que le descriptif, la variante du produit, son prix… À nouveau, comme sur Instagram, l’utilisateur sera redirigé vers votre site web afin de passer commande. Aux Etats-Unis, il est déjà possible de passer commande et d’effectuer le paiement directement sur le réseau social. À quand cette option dans l’Hexagone ?
🤔 Vendre sur TikTok
TikTok est un réseau spécialement intéressant pour les e-commerçants. Les moins de 25 ans représentent près de 41% des utilisateurs de la plateforme. Quand on sait que 73% des Gen Z font du shopping en ligne, on se dit que le réseau chinois est une véritable mine d’or ! Etonnamment, TikTok ne propose toujours pas de fonctionnalités e-commerce. Ainsi, sur ce réseau, il faut donc pour l’instant se cantonner aux publicités et opérations d’influence. À voir ce que la suite nous réserve…
📱 Le live shopping, l’avenir du social commerce ?
Késako ? Il s’agit tout simplement du téléachat 2.0. Sur Instagram ou sur d’autres plateformes, il nous vient tout droit de la Chine, où il est très en vogue depuis 2016. Là-bas, ce sont déjà près de 90% des achats B2C qui se font sur mobile et les marques sont encore plus présentes sur les réseaux sociaux qu’en Occident.
Le live shopping consiste à faire une présentation de produits en live : essayages, crash test, démonstration… Les spectateurs peuvent commenter, poser leurs questions en direct et enfin acheter en ligne ce qui leur est montré. Sur les comptes de marque ou via des influenceurs, à quand l’achat directement sur la plateforme ?
Ce qui est certain, c’est que chez JUST, c’est que nous prenons très au sérieux le social shopping et qu’on vous prépare plein de belles surprises dans ce sens. Spoiler alert : on bosse sur une fonctionnalité permettant d’acheter en 1 clic via le live shopping. À dans quelques mois ? En attendant, n'hésitez pas à nous rencontrer !