Le paiement en 1-clic s'est rapidement imposé comme l’une des innovations les plus efficaces pour simplifier le parcours d’achat et augmenter les taux de conversion. Popularisé par des géants comme Amazon, ce procédé permet aux clients de finaliser leur achat en un seul clic, sans avoir à ressaisir leurs informations de paiement ou de livraison. Cependant, pour les e-commerçants qui cherchent à adopter ou optimiser cette solution, il est essentiel de tester les différentes versions du paiement en 1-clic afin de maximiser son impact.
Les A/B tests sont une méthode incontournable pour comparer différentes approches et découvrir celle qui convertit le mieux. Cependant, si les A/B tests sont mal conçus ou mal exécutés, ils peuvent conduire à des conclusions erronées, voire nuire aux performances du site. Dans cet article, nous passerons en revue les bonnes pratiques pour tester et optimiser le paiement en 1-clic, tout en soulignant les erreurs fréquentes à éviter pour garantir des résultats fiables et exploitables.
Qu'est-ce qu'un A/B test pour le paiement en 1-clic ?
Un A/B test consiste à comparer deux versions d'un même élément afin de déterminer laquelle est la plus efficace pour un objectif précis, ici le taux de conversion. Lorsqu'il s'agit de tester le paiement en 1-clic, il est question de comparer différentes interfaces, formulations ou placements du bouton de paiement pour voir laquelle incite le plus de clients à finaliser leur achat.
Les e-commerçants peuvent tester différents aspects de leur système de paiement en 1-clic, tels que :
- La position du bouton sur la page.
- Le texte utilisé pour inciter à l’action (par exemple "Achetez maintenant" vs. "Finalisez votre achat en 1-clic").
- La couleur et la taille du bouton.
- Les animations ou éléments visuels autour du bouton.
Ces tests permettent d'optimiser les performances du paiement en 1-clic, mais il est crucial de les mener correctement pour éviter des conclusions biaisées.
L'importance du paiement en 1-clic pour l'e-commerce
Le paiement en 1-clic présente de nombreux avantages pour les e-commerçants. Il simplifie le parcours client, réduit les frictions lors du processus d'achat, et accélère la conversion.
Réduction des abandons de panier
Selon une étude menée par le Baymard Institute, environ 70 % des paniers sont abandonnés avant la finalisation de l'achat, et une part importante de ces abandons est due à un processus de paiement trop long ou trop complexe. En offrant une solution en 1-clic, vous réduisez les frictions à ce stade critique du parcours client, ce qui diminue les abandons de panier.
Augmentation des achats impulsifs
Le paiement en 1-clic encourage les achats impulsifs, car il supprime les obstacles mentaux et pratiques liés à l'achat. L’utilisateur n’a pas à réfléchir longuement avant de prendre sa décision puisqu’il sait que l’achat sera finalisé en un clic. Cette rapidité et cette simplicité peuvent avoir un impact considérable sur vos conversions, en particulier pour les achats à faible coût ou ceux qui sont motivés par des offres limitées dans le temps.
Pourquoi l'A/B testing est essentiel pour optimiser le paiement en 1-clic
Le paiement en 1-clic peut sembler simple dans son concept, mais son implémentation peut varier selon de nombreux facteurs. Ce qui fonctionne sur un site de mode ne sera pas forcément optimal pour un site de produits électroniques. Par ailleurs, les comportements des utilisateurs peuvent évoluer avec le temps, ce qui rend crucial l’ajustement continu des interfaces de paiement.
L’A/B testing permet d’identifier ce qui fonctionne le mieux en testant deux versions d’un élément à la fois. Par exemple, vous pouvez tester différentes formulations de boutons ou positions sur la page pour voir ce qui incite le plus à cliquer.
Mesurer l'efficacité du design
Le design du bouton de paiement en 1-clic est essentiel. Une simple modification de la couleur ou de la taille du bouton peut avoir un impact significatif sur le taux de clics. Grâce à un A/B test, vous pouvez découvrir quel design attire le plus l’attention des utilisateurs et les incite à cliquer pour finaliser leur achat.
Comprendre les comportements des utilisateurs
L’A/B testing vous aide également à comprendre les préférences de vos clients. Par exemple, certains utilisateurs peuvent préférer un bouton plus discret tandis que d’autres sont davantage attirés par un bouton plus visible avec des couleurs vives. Tester ces différentes approches permet de mieux comprendre les attentes des utilisateurs et de créer une interface de paiement adaptée à leurs comportements.
Les erreurs fréquentes à éviter lors de l'A/B testing du paiement en 1-clic
Si l’A/B testing est un outil puissant, il peut également conduire à des résultats biaisés ou inefficaces si certaines erreurs sont commises. Voici les erreurs les plus fréquentes à éviter lors des tests pour le paiement en 1-clic :
1. Tester plusieurs éléments à la fois
Une erreur courante lors des A/B tests est de tester plusieurs éléments à la fois, ce qui peut fausser les résultats. Par exemple, si vous changez à la fois la couleur du bouton, son texte, et sa position, il sera difficile de savoir quel changement a réellement eu un impact sur les résultats. Pour obtenir des données fiables, il est crucial de tester un seul élément à la fois.
2. Ne pas atteindre un volume de données suffisant
L’une des règles de base de l’A/B testing est de disposer d’un volume de données suffisant avant de tirer des conclusions. Si vous arrêtez un test trop tôt ou si vous ne laissez pas assez de temps pour recueillir un nombre significatif de données, les résultats risquent de ne pas être représentatifs. Un test statistiquement non significatif peut entraîner des décisions erronées.
3. Ignorer les segments d'utilisateurs
Tous les utilisateurs ne réagissent pas de la même manière. Un bouton de paiement en 1-clic qui fonctionne bien sur desktop peut ne pas être aussi efficace sur mobile, et inversement. Il est donc essentiel de segmenter votre audience lors de l’A/B testing. Par exemple, vous pouvez comparer les performances du bouton sur différents appareils ou pour différents segments démographiques. En négligeant ces différences, vous risquez de généraliser des résultats qui ne sont pas valides pour l'ensemble de votre audience.
4. Ne pas tenir compte de la saisonnalité
Les comportements d’achat des consommateurs varient en fonction de la période de l’année, comme lors des soldes, des périodes de fêtes ou encore des promotions saisonnières. Un test réalisé pendant une période de forte activité (comme le Black Friday) peut ne pas être représentatif de la performance habituelle de votre bouton de paiement en 1-clic. Il est donc important de prendre en compte la saisonnalité dans vos tests et d’ajuster vos résultats en conséquence.
5. Ne pas tester les éléments visuels
Lorsque vous réalisez un A/B test, il est facile de se concentrer uniquement sur le texte du bouton de paiement, mais il est tout aussi important de tester les éléments visuels autour du bouton. Par exemple, ajouter un élément de réassurance (comme un badge de sécurité ou une icône de livraison gratuite) à proximité du bouton de paiement peut avoir un impact positif sur le taux de conversion.
Bonnes pratiques pour réussir un A/B test du paiement en 1-clic
Pour garantir des résultats fiables et significatifs, voici quelques bonnes pratiques à suivre lors de l’A/B testing du paiement en 1-clic :
1. Formuler une hypothèse claire
Chaque A/B test doit commencer par une hypothèse claire. Par exemple, vous pouvez supposer que changer la couleur du bouton en rouge augmentera les clics car le rouge attire davantage l’attention. Formuler une hypothèse vous permet de garder un objectif précis en tête et de mesurer correctement les résultats.
2. Tester un élément à la fois
Comme mentionné précédemment, il est crucial de ne tester qu'un seul élément à la fois. Cela vous permet de savoir exactement quel changement a eu un impact sur le comportement des utilisateurs. Par exemple, commencez par tester la couleur du bouton, puis une fois le test terminé, passez au texte ou à sa position.
3. Laisser le test courir suffisamment longtemps
Les tests doivent se dérouler sur une période suffisamment longue pour obtenir des résultats fiables. Un bon indicateur est de tester sur une durée d’au moins
deux semaines, voire plus, en fonction du volume de trafic de votre site. Plus votre audience est large, plus vous obtiendrez rapidement des résultats statistiquement significatifs. Un test de courte durée ou sur un faible échantillon peut fausser les conclusions et mener à des décisions erronées.
4. Analyser les résultats de manière rigoureuse
Une fois que le test est terminé, il est essentiel de bien analyser les résultats. Ne vous contentez pas de regarder uniquement le taux de clics, mais examinez aussi l’impact sur d'autres indicateurs clés tels que le taux de conversion global, la valeur moyenne des commandes ou encore le taux d'abandon de panier. Cela vous donnera une vue d'ensemble plus précise des effets réels du changement testé.
5. Continuer d'itérer
L’A/B testing ne s’arrête pas après un seul test. Une fois que vous avez trouvé une version gagnante, continuez à tester d’autres aspects de votre processus de paiement. Les comportements des utilisateurs peuvent évoluer, et il est important de s’adapter à ces changements pour maintenir un taux de conversion optimal. Par exemple, après avoir optimisé la couleur et la position du bouton, vous pourriez tester des changements dans le texte du bouton ou dans l’apparence de la page de confirmation.
L'impact des A/B tests réussis sur la performance e-commerce
Lorsqu'ils sont bien exécutés, les A/B tests sur le paiement en 1-clic peuvent avoir un impact significatif sur la performance globale de votre e-commerce. Voici quelques avantages mesurables :
1. Amélioration des taux de conversion
En optimisant chaque élément du bouton de paiement en 1-clic, vous pouvez augmenter considérablement le nombre d'utilisateurs qui finalisent leur achat. Selon une étude de HubSpot, les entreprises qui utilisent l'A/B testing pour leurs boutons de paiement voient une augmentation de 30 % en moyenne de leur taux de conversion.
2. Réduction des abandons de panier
Les frictions au moment du paiement sont l'une des principales causes d'abandon de panier. En testant différentes options pour simplifier le processus et rendre le bouton de paiement plus attrayant, vous pouvez réduire ces abandons.
3. Optimisation de l'expérience utilisateur
Les A/B tests permettent d’adapter le parcours de paiement aux préférences réelles des utilisateurs. Une expérience de paiement fluide, rapide et adaptée aux besoins des clients contribue à améliorer leur satisfaction globale. Des utilisateurs satisfaits sont plus susceptibles de revenir et de recommander votre marque.
Erreurs à éviter après les tests
Même après avoir réalisé un test et obtenu des résultats, certaines erreurs post-test peuvent fausser vos conclusions ou limiter l'impact des modifications. Voici les principales erreurs à éviter après avoir terminé vos tests :
1. Ne pas documenter vos résultats
Un test n’est utile que si ses résultats sont bien documentés. Il est essentiel de noter chaque modification effectuée, les résultats obtenus et l’impact sur les indicateurs clés. Cela permet de suivre l’évolution de vos optimisations et d’adapter votre stratégie sur le long terme.
2. Ne pas tester de manière continue
L'optimisation du processus de paiement est un travail permanent. Une fois qu'un A/B test est terminé, il est tentant de s'arrêter là, mais les comportements d'achat évoluent. Les A/B tests doivent être réalisés de manière continue pour s'assurer que votre interface de paiement est toujours adaptée aux préférences des utilisateurs.
3. Ignorer les retours qualitatifs
Enfin, il est important de ne pas se concentrer uniquement sur les résultats chiffrés. Les retours qualitatifs des utilisateurs peuvent également fournir des informations précieuses sur leur expérience. Des sondages ou des enquêtes post-achat peuvent vous aider à comprendre pourquoi certains utilisateurs préfèrent une version du bouton à une autre et à affiner vos optimisations.
Le paiement en 1-clic : un levier à fort potentiel, à tester en continu
Le paiement en 1-clic est un levier extrêmement puissant pour les e-commerçants qui cherchent à réduire les frictions et à augmenter leurs taux de conversion. Cependant, pour en tirer le meilleur parti, il est essentiel de mener des A/B tests rigoureux afin d'optimiser chaque aspect de l'interface de paiement.
En évitant les erreurs courantes, comme tester plusieurs éléments à la fois ou arrêter un test trop tôt, vous pouvez obtenir des résultats fiables qui amélioreront non seulement votre taux de conversion, mais aussi l'expérience utilisateur globale. Il est donc crucial de continuer à tester, d'analyser les résultats avec soin, et d'ajuster en permanence pour répondre aux attentes changeantes des clients.
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C'est quoi le social shopping ?
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. On vous en dit plus dans un instant !
Il y a dix ans, on nous aurait parlé de social shopping, on aurait pensé qu’il s’agissait simplement d’une rencontre fortuite avec un copain dans votre magasin préféré. Ou de votre super copine qui vante à la terre entière sa fameuse crème miracle !
Aujourd’hui, difficile de ne pas en avoir entendu parler… En un mot, il s’agit d’utiliser les réseaux sociaux pour vendre vos produits. Instagram et compagnie s’intègrent donc dans votre parcours client. Bref, on ne se contente plus de vendre GRÂCE aux réseaux sociaux mais on vend SUR les réseaux sociaux.
Mais qu’est-ce que vaut exactement le social shopping ? Quelle est sa valeur ajoutée ? Décryptage.
🤓 Un peu de contexte
Début 2022, c’est près de 4,62 milliards d’utilisateurs actifs qu’on comptait sur les différentes plateformes communautaires. Cela représente presque la moitié de la population mondiale ! Le contexte de la crise sanitaire du COVID-19 n’a fait qu’encourager l’usage des réseaux sociaux : les français y passeraient donc quotidiennement près d’1h46.
Les e-commerçants y voient donc là un moyen de multiplier leur chance de vendre. Ces derniers font, et ça depuis un moment, une promotion permanente de leurs produits auprès de leur communauté grâce à des contenus attrayants, un bon storytelling, un branding bien rôdé ou encore du paid et de l’influence. En plus de ça, Instagram, Facebook et TikTok proposent également depuis quelques années de taguer les publications avec des étiquettes redirigeant vers le site des marques. On vous en dit plus dans une minute !
👍 Les avantages du social shopping
À l’heure actuelle, le social shopping est un véritable must pour les e-commerçants. En effet, quoi de mieux que de vendre à un utilisateur sur une plateforme avec laquelle il se sent tout spécialement familier ? De plus, on considère qu’en organique, les e-commerçants s'adressent à une communauté déjà consommatrice de leurs produits ou au moins intéressée (la preuve : les utilisateurs suivent la page de la marque). Le social shopping facilite l’expérience client : pas besoin de parcourir le site en long et en large pour trouver son modèle préféré. C’est plutôt dans le sens inverse, c’est le modèle préféré du client qui vient à lui !
Une des autres spécificités du social shopping est qu’elle encourage les interactions entre les acheteurs : sonder une communauté sur la qualité d’un produit, pouvoir échanger, découvrir… Si l’e-commerce est pratique, facile, l’acheteur se trouve bien souvent seul, face à son écran, tandis que sur les réseaux sociaux, il a un sentiment d’appartenance.
Pour finir, mettre à la vente ses produits sur les réseaux sociaux, c’est multiplier ses canaux de vente donc ses commandes. Un excellent levier gratuit, ou presque, à exploiter pour les jeunes e-commerçants !
👎 Les éventuels points négatifs du social commerce
Avant de lancer votre e-commerce sur les réseaux sociaux, il est important de garder en tête certains aspects : primo, tous les CMS ne sont pas forcément supportés par Instagram et Facebook. Par exemple, PrestaShop ne “matche” pas avec la fonctionnalité shopping de Facebook. Vous pouvez d’ailleurs découvrir la liste des plateformes compatibles avec l’outil juste ici.
Un autre point qu’il est important de révéler est la méfiance de certains utilisateurs vis-à-vis du social shopping : un sondage mené par MalwareBytes révèle en effet que 95% des interrogés ne font pas confiance aux réseaux sociaux en ce qui concerne leurs données personnelles et bancaires.
Une étude menée par Stackla montre également que l’authenticité des contenus postés par les marques est primordiale pour la majorité des utilisateurs (90%). Cependant, 51% des interrogés révèlent que moins de la moitié des contenus qu’ils aperçoivent sur les réseaux sociaux leur paraît “fausse”. Vous l’aurez compris : choisir de vendre sur ses réseaux sociaux, c’est aussi prendre le risque de se transformer en panneau publicitaire, et pas de la façon la plus finaude. Bref, l’important, c’est de savoir doser !
🛍️ Vendre sur Instagram
Concrètement, ça se passe comment ? Côté utilisateur, le parcours d’achat sur Instagram se déroule de cette façon : il voit sur une publication avec un ou des produits marqués d'une petite étiquette (appelée “tag”). Une fois qu’il clique sur un tag, il est alors redirigé vers la page descriptive du produit, toujours sur Instagram. Sur cette fameuse page figure un bouton “acheter”, qui redirige vers le site web de la marque.
S’il est déjà possible d’acheter et de payer directement sur Instagram aux États-Unis, ce n’est pas encore le cas en France. “À terme, nous prévoyons de l’étendre aux entreprises situées hors des États-Unis”, explique Meta.
Côté e-commerçant, pour vendre ses produits sur Instagram, la démarche est assez simple : il suffit d’accéder aux paramètres et de cliquer sur "Configurer Instagram Shopping”. La plateforme demandera ensuite d’associer la page Facebook du e-commerçant, ainsi qu’un catalogue de produits accessible via le CMS de ce dernier. Et c’est parti !
Une aubaine à ne pas louper pour les e-commerçants : ce sont près de 130 millions d’internautes qui appuient chaque mois sur des publications Instagram avec des tags de produits !
🤑 Vendre sur Facebook
Parfois un peu mis sur le carreau par les Gen Z car considéré comme “hasbeen”, Facebook est malgré tout un levier d’acquisition à ne pas négliger. Il demeure en effet le réseau social préféré des français : d’après le Digital Report France 2022, mené par We Are Social et Hootsuit, c’est près de 3 utilisateurs d’Internet sur 4 qui ont un compte sur la plateforme.
La création d’une boutique Facebook ressemble à celle d’Instagram : il faut importer son catalogue via son CMS. Pour chacun des articles montrés, il est possible d’ajouter directement sur le réseau des informations telles que le descriptif, la variante du produit, son prix… À nouveau, comme sur Instagram, l’utilisateur sera redirigé vers votre site web afin de passer commande. Aux Etats-Unis, il est déjà possible de passer commande et d’effectuer le paiement directement sur le réseau social. À quand cette option dans l’Hexagone ?
🤔 Vendre sur TikTok
TikTok est un réseau spécialement intéressant pour les e-commerçants. Les moins de 25 ans représentent près de 41% des utilisateurs de la plateforme. Quand on sait que 73% des Gen Z font du shopping en ligne, on se dit que le réseau chinois est une véritable mine d’or ! Etonnamment, TikTok ne propose toujours pas de fonctionnalités e-commerce. Ainsi, sur ce réseau, il faut donc pour l’instant se cantonner aux publicités et opérations d’influence. À voir ce que la suite nous réserve…
📱 Le live shopping, l’avenir du social commerce ?
Késako ? Il s’agit tout simplement du téléachat 2.0. Sur Instagram ou sur d’autres plateformes, il nous vient tout droit de la Chine, où il est très en vogue depuis 2016. Là-bas, ce sont déjà près de 90% des achats B2C qui se font sur mobile et les marques sont encore plus présentes sur les réseaux sociaux qu’en Occident.
Le live shopping consiste à faire une présentation de produits en live : essayages, crash test, démonstration… Les spectateurs peuvent commenter, poser leurs questions en direct et enfin acheter en ligne ce qui leur est montré. Sur les comptes de marque ou via des influenceurs, à quand l’achat directement sur la plateforme ?
Ce qui est certain, c’est que chez JUST, c’est que nous prenons très au sérieux le social shopping et qu’on vous prépare plein de belles surprises dans ce sens. Spoiler alert : on bosse sur une fonctionnalité permettant d’acheter en 1 clic via le live shopping. À dans quelques mois ? En attendant, n'hésitez pas à nous rencontrer !