A/B testing pour le paiement en 1-clic : les erreurs à éviter

Le paiement en 1-clic s'est rapidement imposé comme l’une des innovations les plus efficaces pour simplifier le parcours d’achat et augmenter les taux de conversion. Popularisé par des géants comme Amazon, ce procédé permet aux clients de finaliser leur achat en un seul clic, sans avoir à ressaisir leurs informations de paiement ou de livraison. Cependant, pour les e-commerçants qui cherchent à adopter ou optimiser cette solution, il est essentiel de tester les différentes versions du paiement en 1-clic afin de maximiser son impact.

Les A/B tests sont une méthode incontournable pour comparer différentes approches et découvrir celle qui convertit le mieux. Cependant, si les A/B tests sont mal conçus ou mal exécutés, ils peuvent conduire à des conclusions erronées, voire nuire aux performances du site. Dans cet article, nous passerons en revue les bonnes pratiques pour tester et optimiser le paiement en 1-clic, tout en soulignant les erreurs fréquentes à éviter pour garantir des résultats fiables et exploitables.

Qu'est-ce qu'un A/B test pour le paiement en 1-clic ?

Un A/B test consiste à comparer deux versions d'un même élément afin de déterminer laquelle est la plus efficace pour un objectif précis, ici le taux de conversion. Lorsqu'il s'agit de tester le paiement en 1-clic, il est question de comparer différentes interfaces, formulations ou placements du bouton de paiement pour voir laquelle incite le plus de clients à finaliser leur achat.

Les e-commerçants peuvent tester différents aspects de leur système de paiement en 1-clic, tels que :

  • La position du bouton sur la page.
  • Le texte utilisé pour inciter à l’action (par exemple "Achetez maintenant" vs. "Finalisez votre achat en 1-clic").
  • La couleur et la taille du bouton.
  • Les animations ou éléments visuels autour du bouton.

Ces tests permettent d'optimiser les performances du paiement en 1-clic, mais il est crucial de les mener correctement pour éviter des conclusions biaisées.

L'importance du paiement en 1-clic pour l'e-commerce

Le paiement en 1-clic présente de nombreux avantages pour les e-commerçants. Il simplifie le parcours client, réduit les frictions lors du processus d'achat, et accélère la conversion.

Réduction des abandons de panier

Selon une étude menée par le Baymard Institute, environ 70 % des paniers sont abandonnés avant la finalisation de l'achat, et une part importante de ces abandons est due à un processus de paiement trop long ou trop complexe. En offrant une solution en 1-clic, vous réduisez les frictions à ce stade critique du parcours client, ce qui diminue les abandons de panier.

Augmentation des achats impulsifs

Le paiement en 1-clic encourage les achats impulsifs, car il supprime les obstacles mentaux et pratiques liés à l'achat. L’utilisateur n’a pas à réfléchir longuement avant de prendre sa décision puisqu’il sait que l’achat sera finalisé en un clic. Cette rapidité et cette simplicité peuvent avoir un impact considérable sur vos conversions, en particulier pour les achats à faible coût ou ceux qui sont motivés par des offres limitées dans le temps.

Pourquoi l'A/B testing est essentiel pour optimiser le paiement en 1-clic

Le paiement en 1-clic peut sembler simple dans son concept, mais son implémentation peut varier selon de nombreux facteurs. Ce qui fonctionne sur un site de mode ne sera pas forcément optimal pour un site de produits électroniques. Par ailleurs, les comportements des utilisateurs peuvent évoluer avec le temps, ce qui rend crucial l’ajustement continu des interfaces de paiement.

L’A/B testing permet d’identifier ce qui fonctionne le mieux en testant deux versions d’un élément à la fois. Par exemple, vous pouvez tester différentes formulations de boutons ou positions sur la page pour voir ce qui incite le plus à cliquer.

Mesurer l'efficacité du design

Le design du bouton de paiement en 1-clic est essentiel. Une simple modification de la couleur ou de la taille du bouton peut avoir un impact significatif sur le taux de clics. Grâce à un A/B test, vous pouvez découvrir quel design attire le plus l’attention des utilisateurs et les incite à cliquer pour finaliser leur achat.

Comprendre les comportements des utilisateurs

L’A/B testing vous aide également à comprendre les préférences de vos clients. Par exemple, certains utilisateurs peuvent préférer un bouton plus discret tandis que d’autres sont davantage attirés par un bouton plus visible avec des couleurs vives. Tester ces différentes approches permet de mieux comprendre les attentes des utilisateurs et de créer une interface de paiement adaptée à leurs comportements.

Les erreurs fréquentes à éviter lors de l'A/B testing du paiement en 1-clic

Si l’A/B testing est un outil puissant, il peut également conduire à des résultats biaisés ou inefficaces si certaines erreurs sont commises. Voici les erreurs les plus fréquentes à éviter lors des tests pour le paiement en 1-clic :

1. Tester plusieurs éléments à la fois

Une erreur courante lors des A/B tests est de tester plusieurs éléments à la fois, ce qui peut fausser les résultats. Par exemple, si vous changez à la fois la couleur du bouton, son texte, et sa position, il sera difficile de savoir quel changement a réellement eu un impact sur les résultats. Pour obtenir des données fiables, il est crucial de tester un seul élément à la fois.

2. Ne pas atteindre un volume de données suffisant

L’une des règles de base de l’A/B testing est de disposer d’un volume de données suffisant avant de tirer des conclusions. Si vous arrêtez un test trop tôt ou si vous ne laissez pas assez de temps pour recueillir un nombre significatif de données, les résultats risquent de ne pas être représentatifs. Un test statistiquement non significatif peut entraîner des décisions erronées.

3. Ignorer les segments d'utilisateurs

Tous les utilisateurs ne réagissent pas de la même manière. Un bouton de paiement en 1-clic qui fonctionne bien sur desktop peut ne pas être aussi efficace sur mobile, et inversement. Il est donc essentiel de segmenter votre audience lors de l’A/B testing. Par exemple, vous pouvez comparer les performances du bouton sur différents appareils ou pour différents segments démographiques. En négligeant ces différences, vous risquez de généraliser des résultats qui ne sont pas valides pour l'ensemble de votre audience.

4. Ne pas tenir compte de la saisonnalité

Les comportements d’achat des consommateurs varient en fonction de la période de l’année, comme lors des soldes, des périodes de fêtes ou encore des promotions saisonnières. Un test réalisé pendant une période de forte activité (comme le Black Friday) peut ne pas être représentatif de la performance habituelle de votre bouton de paiement en 1-clic. Il est donc important de prendre en compte la saisonnalité dans vos tests et d’ajuster vos résultats en conséquence.

5. Ne pas tester les éléments visuels

Lorsque vous réalisez un A/B test, il est facile de se concentrer uniquement sur le texte du bouton de paiement, mais il est tout aussi important de tester les éléments visuels autour du bouton. Par exemple, ajouter un élément de réassurance (comme un badge de sécurité ou une icône de livraison gratuite) à proximité du bouton de paiement peut avoir un impact positif sur le taux de conversion.

Bonnes pratiques pour réussir un A/B test du paiement en 1-clic

Pour garantir des résultats fiables et significatifs, voici quelques bonnes pratiques à suivre lors de l’A/B testing du paiement en 1-clic :

1. Formuler une hypothèse claire

Chaque A/B test doit commencer par une hypothèse claire. Par exemple, vous pouvez supposer que changer la couleur du bouton en rouge augmentera les clics car le rouge attire davantage l’attention. Formuler une hypothèse vous permet de garder un objectif précis en tête et de mesurer correctement les résultats.

2. Tester un élément à la fois

Comme mentionné précédemment, il est crucial de ne tester qu'un seul élément à la fois. Cela vous permet de savoir exactement quel changement a eu un impact sur le comportement des utilisateurs. Par exemple, commencez par tester la couleur du bouton, puis une fois le test terminé, passez au texte ou à sa position.

3. Laisser le test courir suffisamment longtemps

Les tests doivent se dérouler sur une période suffisamment longue pour obtenir des résultats fiables. Un bon indicateur est de tester sur une durée d’au moins

deux semaines, voire plus, en fonction du volume de trafic de votre site. Plus votre audience est large, plus vous obtiendrez rapidement des résultats statistiquement significatifs. Un test de courte durée ou sur un faible échantillon peut fausser les conclusions et mener à des décisions erronées.

4. Analyser les résultats de manière rigoureuse

Une fois que le test est terminé, il est essentiel de bien analyser les résultats. Ne vous contentez pas de regarder uniquement le taux de clics, mais examinez aussi l’impact sur d'autres indicateurs clés tels que le taux de conversion global, la valeur moyenne des commandes ou encore le taux d'abandon de panier. Cela vous donnera une vue d'ensemble plus précise des effets réels du changement testé.

5. Continuer d'itérer

L’A/B testing ne s’arrête pas après un seul test. Une fois que vous avez trouvé une version gagnante, continuez à tester d’autres aspects de votre processus de paiement. Les comportements des utilisateurs peuvent évoluer, et il est important de s’adapter à ces changements pour maintenir un taux de conversion optimal. Par exemple, après avoir optimisé la couleur et la position du bouton, vous pourriez tester des changements dans le texte du bouton ou dans l’apparence de la page de confirmation.

L'impact des A/B tests réussis sur la performance e-commerce

Lorsqu'ils sont bien exécutés, les A/B tests sur le paiement en 1-clic peuvent avoir un impact significatif sur la performance globale de votre e-commerce. Voici quelques avantages mesurables :

1. Amélioration des taux de conversion

En optimisant chaque élément du bouton de paiement en 1-clic, vous pouvez augmenter considérablement le nombre d'utilisateurs qui finalisent leur achat. Selon une étude de HubSpot, les entreprises qui utilisent l'A/B testing pour leurs boutons de paiement voient une augmentation de 30 % en moyenne de leur taux de conversion.

2. Réduction des abandons de panier

Les frictions au moment du paiement sont l'une des principales causes d'abandon de panier. En testant différentes options pour simplifier le processus et rendre le bouton de paiement plus attrayant, vous pouvez réduire ces abandons.

3. Optimisation de l'expérience utilisateur

Les A/B tests permettent d’adapter le parcours de paiement aux préférences réelles des utilisateurs. Une expérience de paiement fluide, rapide et adaptée aux besoins des clients contribue à améliorer leur satisfaction globale. Des utilisateurs satisfaits sont plus susceptibles de revenir et de recommander votre marque.

Erreurs à éviter après les tests

Même après avoir réalisé un test et obtenu des résultats, certaines erreurs post-test peuvent fausser vos conclusions ou limiter l'impact des modifications. Voici les principales erreurs à éviter après avoir terminé vos tests :

1. Ne pas documenter vos résultats

Un test n’est utile que si ses résultats sont bien documentés. Il est essentiel de noter chaque modification effectuée, les résultats obtenus et l’impact sur les indicateurs clés. Cela permet de suivre l’évolution de vos optimisations et d’adapter votre stratégie sur le long terme.

2. Ne pas tester de manière continue

L'optimisation du processus de paiement est un travail permanent. Une fois qu'un A/B test est terminé, il est tentant de s'arrêter là, mais les comportements d'achat évoluent. Les A/B tests doivent être réalisés de manière continue pour s'assurer que votre interface de paiement est toujours adaptée aux préférences des utilisateurs.

3. Ignorer les retours qualitatifs

Enfin, il est important de ne pas se concentrer uniquement sur les résultats chiffrés. Les retours qualitatifs des utilisateurs peuvent également fournir des informations précieuses sur leur expérience. Des sondages ou des enquêtes post-achat peuvent vous aider à comprendre pourquoi certains utilisateurs préfèrent une version du bouton à une autre et à affiner vos optimisations.

Le paiement en 1-clic : un levier à fort potentiel, à tester en continu

Le paiement en 1-clic est un levier extrêmement puissant pour les e-commerçants qui cherchent à réduire les frictions et à augmenter leurs taux de conversion. Cependant, pour en tirer le meilleur parti, il est essentiel de mener des A/B tests rigoureux afin d'optimiser chaque aspect de l'interface de paiement.

En évitant les erreurs courantes, comme tester plusieurs éléments à la fois ou arrêter un test trop tôt, vous pouvez obtenir des résultats fiables qui amélioreront non seulement votre taux de conversion, mais aussi l'expérience utilisateur globale. Il est donc crucial de continuer à tester, d'analyser les résultats avec soin, et d'ajuster en permanence pour répondre aux attentes changeantes des clients.

Oct 18
5
min

Plus d'articles

Jan 17

Créer une newsletter marketing : 5 tips de la team JUST

Pour certains, la Rolex avant 50 ans, c’est le vrai succès. Pour d’autres, comme nous, c’est plutôt la newsletter marketing pour les entreprises de moins d’un an qui est un must 😉 Blague à part : que vous soyez à la tête d’une petite ou moyenne structure, que vous bossiez au département communication/marketing d’une marque, que vous gériez un blog ou même que vous soyez investi dans une asso, la newsletter est un indispensable dans votre stratégie inbound. Mais par où commencer ? 

Dans cet article, l’équipe JUST vous dévoile les nombreux avantages d’une newsletter marketing mais vous fournit aussi 5 conseils pour la lancer. Ou pour la retravailler, au choix ! 

Newsletter marketing : définition

Grosso modo, une newsletter est un mail envoyé à une liste d’abonnés, clients ou prospects. Il faut bien évidemment que ces derniers se soient inscrits volontairement à votre newsletter ou aient donné leur accord pour la recevoir.

Véritable indispensable à votre stratégie marketing, elle permet de maintenir le lien avec votre communauté et de vous positionner comme expert dans votre domaine.

Newsletter marketing : entretenir une relation avec vos clients

Les différents types de newsletter marketing 

Il existe différents types de newsletters marketing, chacun ayant ses propres objectifs. Communément, on appelle “newsletter” les contenus mail émanant des marques, des entreprises et qui informent le lecteur des actualités, donnent des conseils selon le sujet d’expertise, des bons plans… Cependant, le terme newsletter peut également faire référence à : 

- L’email de prospection/acquisition : le but est ici de faire convertir le prospect en utilisateur.

- L’email purement marketing : généralement adressé à un client déjà existant, il a pour but de le pousser à réitérer l’action d’achat. Programme de fidélisation, présentation produits avec CTA… 

- L’email de service : c’est celui qui notifie votre client suite à une action menée sur votre site. Commande, mot de passe oublié… 

- L’email de relance panier : c’est lorsque votre client, pourtant si bien parti, ne finalise pas son achat. Il s’agit alors de le relancer en lui rappelant les produits qu’il a ajoutés à son panier. On vous donne d’ailleurs dans cet article quelques conseils pour mettre toutes les chances de votre côté ! 

Pourquoi créer une newsletter marketing ? 

Minute papillon ! Avant de dégainer votre plus belle plume et de donner de vos nouvelles à votre base, êtes-vous sûr.e de savoir pourquoi vous passez à l’action ? 

La newsletter marketing serait le levier d’acquisition le plus performant ! En effet, le cabinet de conseil McKinsey a mené une étude prouvant que son efficacité est 40 fois supérieure à celles des communications Facebook et Twitter.

Besoin d’une autre raison pour vous lancer ? Pour chaque $1 investi dans vos newsletters, le ROI serait de $36. Pas mal, non ? 

En fait, une newsletter a surtout pour but de rediriger vos lecteurs sur votre site web. Ainsi, dans un premier temps, elle améliore le trafic de votre site puis dans un second, devient un véritable moyen de conversion. Grâce à de nombreux outils (nous y reviendrons plus tard, c’est promis !) La newsletter permet aussi de suivre de très près votre performance, et ça avec des KPIs bien précis : taux d’ouverture, nombre de clics, nombre de désinscriptions…

Au-delà de l’aspect chiffré, une newsletter est aussi l’occasion d’entretenir le contact avec vos clients/prospects et d’affirmer votre marque. 

5 conseils pour créer une newsletter marketing

1. Quels sont les objectifs de votre newsletter ? 

Que cherchez-vous exactement à faire avec votre newsletter marketing ? Avant d’établir votre stratégie éditoriale, il est important de définir vos objectifs. 

Vos contenus mail peuvent avoir le simple but d’informer et de fidéliser votre communauté. Késako ? La tenir au courant des updates de votre entreprise ou de votre produit, des actualités d’un secteur… 

Comme évoqué ci-dessus, une newsletter a bien souvent pour objectif de générer du trafic sur votre site web. Comment ça marche ? Il s’agit d’inciter le destinataire à visiter votre site web en plaçant des liens redirigeant vers votre site. 

Une newsletter marketing peut également être un bon moyen de récupérer de la data sur vos prospects. Vous pouvez tout à fait collecter les mails des  utilisateurs de votre site web en leur proposant de s’inscrire à votre newsletter. Une technique infaillible que la team JUST a pu observer chez ses marques partenaires est la suivante : proposer un discount (souvent -10%) sur la première commande en échange d’une inscription à la newsletter. Aussi simple que ça ! Sinon, un simple bandeau ou un pop-up sur votre site web incitant à une inscription peut tout à fait marcher. 

Que d’objectifs ! Pour finir, si vous voulez en savoir plus sur vos prospects et clients, la newsletter est également une option à considérer. En effet, cette dernière vous permettra d’A/B tester ce qui marche sur votre cible. Qu’est-ce qui fait cliquer cette dernière sur un lien ? Une image, un texte punchy ? Quels thèmes lui plaisent-ils ? Si vous choisissez de segmenter votre audience (par âge, par genre…), vous pourrez aussi constater qu’un contenu attirera un type de personne particulier tandis qu’un autre y restera insensible. Des informations à tirer qui peuvent se révéler intéressantes à décliner sur tous vos autres leviers : site web, réseaux sociaux… 

2. Parlons peu, parlons bien : audience et segmentation 

On ne parle pas de la même chose ni de la même façon à un client qui s’est déjà fait livrer 5 colis de chez vous et un prospect qui n’a encore jamais passé commande. De même pour une jeune cliente de 19 ans et un lecteur de 60 ans… 

Avant de lancer ou de retravailler votre newsletter marketing, il est important de segmenter votre audience. Pourquoi ? Pour mieux faire convertir, tout simplement ! 

Avant de passer aux choses sérieuses a.k.a la segmentation, définissez vos buyers personas. À quoi ressemble votre cible ? Quel âge ont vos clients ? À  quelles problématiques répondent vos produits ? 

Une fois que vous aurez dressé le portrait de vos acheteurs type, vous pourrez segmenter votre audience selon les critères de chacun afin d’optimiser vos campagnes CRM. 

Selon l’âge, le sexe, la statut du destinataire (client régulier ou prospect) vous pourrez adapter votre offre, vos thématiques, vos messages... Sans oublier de chouchouter vos clients fidèles. 

Template de buyer persona
Template de buyer persona

3. Et la stratégie de contenu dans tout ça ?

C’est bon : vos objectifs sont fixés, votre audience est parfaitement segmentée. Mais qu’est-ce qu’on raconte maintenant ? Et comment ?  Commençons par le commencement ! 

L'objet de mail de votre newsletter marketing

Tout d’abord, soignez l’objet de votre mail. Quelques règles d’or pour maximiser votre taux d’ouverture : 

- Pas plus de 10 mots ! Le moins, le mieux : autrement votre objet sera coupé, ce qui peut rendre le message moins clair et vous décrédibiliser. 

- Le choix des mots : restez simple et évitez l’effet clickbait pour éviter de brouiller le message ou de décevoir vos destinataires. Un objet drôle, énigmatique va certes augmenter votre taux d’ouverture mais à la longue, il va accroître vos désabonnements. Déception quand tu nous tiens…

- La personnalisation : ajoutez le prénom, le nom de votre destinataire pour un effet personnalisé. Et n’hésitez pas à signer votre newsletter d’un prénom : celui du fondateur de votre marque, le vôtre, ou même un fictif. Il est primordial que le lecteur comprenne qu’on s’adresse à LUI et de qui provient le message.

Exemple d'objet d'un email marketing Ikea

Sans oublier le contenu, bien sûr !

Place maintenant au texte d’aperçu : c’est une sorte de teasing de ce qui se trouve dans votre mail. Un peu comme pour un tweet, vous êtes limité dans le nombre de caractères. Il faut donc rester simple, très simple, en révélez un peu plus à vos lecteurs tout en leur donnant envie de lire. Vous connaissez la méthode KISS (Keep It Simple Stupid) ? Votre nouveau credo pour votre texte d’aperçu, et pour vos newsletter en général ! 

Concernant le corps de texte, on reste clair, concis et cohérent. Posez-vous la question : “Quelle action veux-je que mon lecteur fasse ?” et gardez toujours la réponse en tête. 

Illustrez vos propos avec des images, plus digestes que des simples blocs de texte. Quant aux liens cliquables, insérez-les plutôt sur vos images ou sur des boutons avec des CTA (“la suite”, “voir la sélection” etc). 

Dernier conseil : restez fidèle à votre ton, à votre image de marque, peu importe le segment que vous visez. Toujours dans la démarche d’être le plus clair possible et que vos destinataires vous identifient, vous reconnaissent le plus rapidement possible. 

4. Quelques outils pour vous aider dans la création de votre newsletter marketing 

Soyons honnêtes : impossible d’envoyer une newsletter via Gmail. Pourquoi ? Tout simplement car la plateforme ne permet pas d’envoyer plus de 500 mails par jour. Compliqué, donc, d’utiliser le logiciel si votre de base de données est importante. De plus, lors d’envois à un nombre important de destinataires, vous vous retrouverez facilement dans les spams. Et on ne parle même pas du suivi de la performance de vos envois : il n’est carrément pas faisable via le service de messagerie Google. Cependant, il existe un grand nombre d’outils d’automatisation qui risquent bien de vous aider dans la gestion et la création de votre newsletter !

JUST a sondé ses marques pour savoir quel était leur préféré.  Retour sur les quatre qui sont le plus revenues !

HubSpot : L’outil CRM propose une option newsletter. Intéressant pour centraliser toutes vos informations… De plus, HubSpot propose les fonctionnalités classiques des autres logiciels de newsletter, à savoir l’analyse de vos retours clients sur les campagnes. Vous pouvez aussi voir à quel moment de la journée vos lecteurs ont ouvert votre mail (pas mal pour s’améliorer !) et sur quel support il est consulté. Sur le côté design, tout fonctionne en drag and drop. Facile et intuitif, donc, mais difficilement personnalisable à 100%  ! 

Interface HubSpot
Interface HubSpot

MailChimp : Un grand classique dont on a tous déjà entendu parler ! La plateforme comprend un outil CRM, cependant apparemment relativement restreint dans sa version gratuite. Toujours dans sa version freemium, l’envoi des mails via MailChimp est limité à 2000 destinataires. On apprécie cependant l’ergonomie de l’outil et ses templates prêts à l’emploi. 

Interface MailChimp
Interface MailChimp

SendinBlue : Frenchy (tout comme nous !), la plateforme est spécialement intéressante dans la mesure où elle offre dans sa version gratuite la possibilité d’A/B tester ! De plus, toujours gratuitement, la plateforme permet d’envoyer près de 300 mails par jour. Un bon début pour se lancer… Mention spéciale à l’outil de segmentation de contacts apparemment très sophistiqué. 

https://fr.sendinblue.com/
Interface SendinBlue

Kiliba : Français eux aussi, Kiliba se connecte à votre CMS et automatise vos campagnes marketing. On retrouve dans l’outil plusieurs fonctionnalités : le design automatique (on retrouve plusieurs templates à partir de votre charte graphique importée), des scénarios marketing, des algorithmes de recommandation pour séduire vos clients et enfin une fonctionnalité segmentation client. Tout un programme !  

5. Quand envoyer sa newsletter marketing ? 

Pour lancer votre newsletter, vous voilà normalement paré.e. Cependant, dernier élément à ne pas négliger : le timing de votre newsletter marketing. 

Une étude menée par SendinBlue révèle que côté e-commerce, le moment le plus opportun pour l’envoi de newsletter serait le mercredi à 10h.  Précis, n’est-ce pas ? 

En effet, le mercredi enregistrait un bien meilleur niveau de score en termes d’ouverture de clics (35% vs 10% le lundi, toujours d’après l’étude menée par SendinBlue). Pour découvrir secteur par secteur le meilleur moment pour envoyer sa newsletter marketing, découvrez l’article HubSpot à ce sujet

La team JUST espère de tout cœur vous avoir aidé et se réjouit à l’idée de vous lire ! Envie de savoir à quoi ressemble notre newsletter ? Inscrivez-vous juste ici.

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Jan 17

5 erreurs d'UX à éviter

À l’heure où plus de 2 milliards de personnes ont déjà commandé en ligne, la concurrence entre e-commerçants semble plus rude que jamais. Parcours d’achat, brand love, engagements, UX, UI… Que de sujets sur lesquels potentialiser pour booster ses ventes en 2023 !  Dans cet article, la team JUST se concentrera sur l’UX. Définition, conseils et erreurs à éviter : suivez le guide. 

Qu’est-ce que l’UX ? 

Derrière cet acronyme (un peu énigmatique, on vous l’accorde), se cachent les termes “User Experience”. Plait-il ? C’est ce qui englobe la qualité de l’expérience vécue par l’utilisateur de votre site web. L’UX inclut aussi bien l’aspect usabilité/accessibilité que l’impact émotionnel que peut ressentir votre client en naviguant sur votre e-commerce. 

Mais comment justement rendre l’expérience sur votre site agréable ? En commençant par éviter le désagréable, pardi ! On vous donne 5 don’t faciles afin de diminuer les frictions ressenties par vos clients. Car qui dit bonne expérience dit hausse du taux de conversion…

Débutants ou experts UX designer, découvrez 5 astuces simples pour éviter les frictions lors de la navigation sur votre site. 

Le trio gagnant de l'UX : Objectifs, informations et besoins utilisateur
Le trio gagnant de l'UX : Objectifs, informations et besoins utilisateur

5 erreurs d'UX à éviter

1. Faire passer un second plan l’UX mobile

Quand on sait que 60.28% du trafic se fait sur mobile, on se dit qu’on a plutôt intérêt à rendre son UX la plus agréable possible sur ce medium. Et certains l’ont déjà bien compris : nombreuses sont les marques qui développent des applications, plus performantes et rapides qu’une page web (Zalando, Asos, Pimkie…). 

Une application de marque relève pourtant les mêmes challenges qu’un site : dans les deux cas, son utilisation doit être simple et claire. Elle permet à l’utilisateur de minimiser ses actions. On oublie donc les manipulations et clics inutiles pour aller droit à l’essentiel.

Au-delà d’offrir la meilleure des expériences à vos visiteurs, un site web mobile friendly a bien d’autres avantages. En effet, il contribue aux bonnes pratiques SEO : Google utiliserait principalement la version mobile d’un site pour l’indexation et le classement.

Besoin d’une dernière bonne raison pour rendre son site mobile first ? Si votre marque est présente sur les réseaux sociaux (mauvais point si non !), vous devez savoir qu’une part de votre trafic leur est dûe. Et admettons-le : rares sont les gens qui scrollent Instagram ou TikTok depuis leur ordinateur… Bref, de votre profil sur les réseaux sociaux au site de votre marque, il n’y a qu’un pas. D’où l’importance de faire passer au premier plan votre UX sur mobile.

2. Rendre la navigation difficile

En moyenne, on estime que la durée de consultation d’une page web est de 52 secondes. Ça fait court, très court… Dès les premières secondes, on essaie donc de retenir l’attention de l’utilisateur. On rend l’info concise et précise et la navigation simple. Pour permettre à vos utilisateurs de naviguer librement, on adopte un sticky menu. Késako ? Il s’agit d’un menu qui sera toujours visible et utilisable par l’user, peu importe où il se trouve sur votre site e-commerce. 

Côté ressenti/sentiment de l’utilisateur, on s’assure que le site soit agréable à l’œil : il faut que vos pages, visuellement parlant, soient cohérentes les unes avec les autres. Bref, on évite d’utiliser un design différent à chaque page. 

3. Des pages trop longues… ou trop courtes !  

Vous l’aurez compris : lisibilité et rapidité sont les maîtres-mots quand on en vient à l’UX. 

Les pages trop chargées (en texte et images) sont donc à proscrire : au-delà de rendre l’information confuse, elles augmentent drastiquement le temps de chargement. Sachez donc hiérarchiser les données que vous souhaitez transmettre à l’utilisateur. Trop d’infos tuent l’info ! 

À contrario, 2 lignes ne pourront répondre aux potentielles questions de vos visiteurs. Pour le référencement et pour tenter d’être le plus précis possible, essayez de densifier vos descriptions et contenus. Vos utilisateurs peuvent décider d’abandonner leur panier car ils ne trouvent pas la réponse à leurs questions. Exemple : ils veulent vérifier la matière d’un pull. Impossible de trouver l’information dans la page produit. Tant pis : ils chercheront leur petite laine chez un autre e-commerçant !

4. Des parasites gênants 🦗

Des pop-ups dans tous les sens, de la musique sans avoir la possibilité (ou difficilement) de l’enlever, une inscription forcée à une newsletter ou à un abonnement, des publicités intempestives… Nous avons tous déjà vécu au moins une fois ce genre d’intrusion et nous savons à quel point elles peuvent être agaçantes. Pourquoi donc en faire cadeau à vos utilisateurs ? 

Oubliez donc ce genre de fausse bonne idée et pensez à votre site comme si vous en étiez vous-même un utilisateur. Y resteriez vous plus de 10 secondes ? 

5. Un processus de checkout trop long

Toujours dans le chapitre des Grands Énervants, on vous présente les formulaires à rallonge ou les créations de compte client au moment de passer au clic fatidique.

Simplifier l’étape du paiement est un des incontournables d’une bonne UX. Car c’est dommage de perdre des clients si près de but ! La solution ? On optimise pour un checkout simple, rapide et sans friction. Et on oblige surtout pas le client à se créer un compte. 

Bonne nouvelle : on en sait quelque chose ! Et on installe notre bouton magique d’achat en 1 clic en quelques minutes seulement. Pour en discuter, rendez-vous juste ici

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Jan 17

Comment transformer un lead en client ?

Vous parvenez à générer des leads ? Toutes nos félicitations ! Mais une fois qu’on a une bonne base de prospects, comment donc les transformer en clients ? 

Il s’agit d’un véritable challenge… Le visiteur de votre e-commerce est plus informé (et parfois même sur la réserve) que jamais. L’équipe JUST arrive donc à la rescousse et vous révèle dans cet article 5 astuces pour le faire succomber au clic fatal : celui de l’achat. 

Suivez le guide pour transformer vos leads en clients !

Apprenez à connaître votre base de lead

Un conseil qui peut paraître lambda mais que certains mettent parfois de côté ! Peu importe le nombre de fois où vous enverrez des mails à votre base, si vous vous adressez au mauvais prospect ou que vous ne partagez pas les bonnes informations, vos campagnes risquent bien de tomber à l’eau… 

Et c’est là que la qualification de lead intervient ! Késako ? Il s'agit d'essayer d’en apprendre un maximum sur vos prospects. Nom, prénom, genre, âge, localisation… Ce type d’information est très facile à récupérer, notamment en les faisant par exemple s’inscrire à votre newsletter (vous connaissez le fameux “10% offerts en consentant à recevoir de nos nouvelles”). Cela vous permettra de savoir lesquels prioriser et comment vous adresser à eux. 

Pour catégoriser vos leads, posez-vous ces questions : 

- Que recherchent vos leads lorsqu’ils se rendent sur votre site ou sur vos réseaux sociaux ? À quel genre de problématique cherchent-ils à répondre ? 

- Qu’est-ce qu’il les a attiré en premier lieu sur votre site ? Quelle publicité, quelle page ?

- Qu’est-ce qui peut éventuellement les gêner dans votre service ou offre (vous pouvez tout à fait leur demander dans un mail de relance panier) 

- Qu’est-ce qui peut les motiver à franchir le cap ?

 

La team JUST vous conseille aussi de bien définir votre buyer persona, si ce n’est pas déjà fait. Derrière cette expression se cache en fait le portrait de votre acheteur idéal. Genre, sexe, situation professionnelle et sociale, réseaux sociaux de prédilection… Cela vous permettra d’avoir une cible bien précise et de pouvoir la partager à vos équipes sales et marketing. Pas de malentendus !

https://www.getjust.eu/
Exemple de buyer persona

Offrez un discount ou un petit bonus 

Recevoir un “truc” gratuitement, ça fait toujours plaisir - qu’il y ait des conditions ou non.  Offrir une réduction ou un petit “plus” (exemple : une pochette offerte dès 20 euros d’achat) permettra à votre cible de suffisamment vous intéresser à vous et de passer à l’achat.

Comme l’explique Dan Ariely, spécialiste de l’économie comportementale, l’aspect gratuit marche car “cela provoque du désir chez le consommateur. Si je vous donnais un tout petit morceau de chocolat, ça vous rappellerait le goût de ce dernier. Vous en auriez instantanément envie de plus”.

Bref, titillez les clients avec une offre ! Et n’hésitez pas à jouer la carte de l’exclusivité/du privilège lors de vos communications : usage du prénom, code promo personnalisé…

Optimisez votre site web

À quoi sert un site e-commerce ? À vendre, certes, mais aussi à donner à vos consommateurs toutes les informations dont ils ont besoin. C’est donc un des éléments de votre stratégie de vente à ne surtout pas négliger ! En effet, d’après Forrester, un consommateur interagit en moyenne avec 11,4 éléments de contenus de votre site avant de passer à l’achat. C’est peu : il faut donc se montrer convaincant !

L’étape achat demande souvent une décision basée sur l’info : vos contenus doivent donc être les plus concis, précis possibles afin “d’éduquer” votre consommateur et lui donner une sensation de contrôle. 

Cela coule de source mais ajouter des images relève également de l’information : sous tous les angles et avec la possibilité de zoomer, afin que votre prospect n’ait aucune méfiance vis-à-vis de l’article concerné. De plus, les e-shops contenant des photos génèrent en moyenne 94% de vues supplémentaires… Que vous faut-il de plus ?

En plus des classiques photos, vous pouvez illustrer vos articles par tous les moyens possibles : vidéos, graphiques présentant les avantages de vos produits (matériaux, origines…). Plus il y a d’infos, mieux c’est ! Quand on sait que 65% de la population a une mémoire visuelle, ça donne envie d’essayer…

Dans vos visuels, vos textes, positionnez vous en véritable expert : à nouveau avec des graphiques, des vidéos, des avis de professionnels (type “développé notre équipe de dermatologue” pour une marque de crème). À l’ère d’Internet, où les prospects peuvent chercher tous les avis et infos imaginables possible, il est important de savoir les devancer et de répondre à toutes leurs potentielles interrogations afin qu’ils RESTENT sur votre site.

En effet, d’après une recherche menée par Nelson, le contenu type expert est 38% plus efficace dans les conversions que les contenus simplement joliment brandés. What else ?

Donnez de vos nouvelles 

Et le plus vite possible ! Par mail, par texto, sur les réseaux sociaux : contactez vos prospects sur tous ces canaux pour multiplier vos chances de les faire convertir. Tips de pro : avec l’automatisation, vous pouvez personnaliser vos messages (avec les prénoms, par exemple) et vos contenus (vous savez normalement ce que veulent vos prospects).

La clé pour relancer ? Le fameux mail de relance panier bien sûr. Du CTA jusqu’à quoi raconter, on vous dévoile nos trucs et astuces juste ici.

Mail de relance panier de la marque Asphalte
Mail de relance panier de la marque Asphalte

Éliminez les frictions

Pour choper de la data, oubliez clairement le moment “achat”. Pour transformer un lead en client, rendez l’expérience la plus simple possible. Et pour récolter des données, préférez plutôt des landing pages, des inscriptions à une newsletter, des concours… 

Cependant, quand vos prospects sont à deux doigts de passer commande, ne leur posez pas trop de questions, ne les faites pas trop réfléchir... Minimisez plutôt les champs d’informations et optez pour les connexions en 1 clic. Et surtout, choisissez JUST, l’expérience de checkout en 1 clic qui augmente vos taux de conversion de près de 19% !

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Nov 9

E-commerce : comment fidéliser un client ?

Les clients fidèles ou ceux à qui les e-commerçants peuvent dire merci ! En effet, lorsqu’un client a déjà passé commande sur votre site, il a de forte chance de revenir : il a déjà montré un certain intérêt pour vos produits, une volonté de payer pour ces derniers et sait identifier votre marque. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : d’après une étude menée par RJMetrics, c’est près de 43% du chiffre d’affaires d’un e-commerce qui seraient générés par les clients réguliers. 

Vous aurez compris : les acheteurs réguliers sont une véritable aubaine. Mais une fois que l’on a pris conscience de leur valeur, comment fidéliser un client ?

La team JUST vous dévoile quelques techniques pour que vos clients reviennent et encore mieux : qu’ils deviennent de véritables ambassadeurs de votre marque !

✅ Offrir une expérience utilisateur impeccable 

La base ! Des choses qui peuvent peut-être paraître évidentes mais qui sont toujours bonnes de rappeler. 

Ici, l’objectif est que le client se souvienne de son achat chez vous comme une expérience exceptionnelle. Par où commencer ? 

📱 Une UX et UI optimisées 

Saviez vous que près de 60% du trafic web se fait via mobile ? Il est donc primordial d’optimiser votre parcours client à la fois sur la version desktop de votre site mais aussi mobile. La team JUST aurait même tendance à conseiller de prioriser la version mobile ! 

S’il y avait un adjectif à choisir pour qualifier une bonne UX,  ce seraiy “fluide”. En effet, nos consommateurs nous indiquent que selon eux, un parcours checkout devrait durer moins de 2 minutes. Ça fait court, très court… 

Oubliez les fioritures, les infos superflues et privilégiez plutôt les designs simples ainsi que les messages clairs. 

Ou optez pour JUST, la solution de check-out en 1 clic 😉 On vous explique tout juste ici

Revenons à nos moutons : afin d’être certain que votre site est optimisé, n’hésitez pas à sonder vos clients volontaires ou votre entourage pour une séance d’A/B testing. Késako ? L’A/B testing est une méthode scientifique qui consiste à montrer deux pages web à des interrogés et de les sonder afin de voir laquelle convertit le mieux. Efficacité garantie !

Pour clore le sujet de l’UX/UI, gardez en tête que vos clients sont pressés et que vos interactions doivent être les plus fluides et concises possible. 

🎁 La livraison offerte 

Offrir la livraison à vos clients à partir d’un certain montant peut les motiver à passer à l’action, notamment lorsqu’ils ont déjà passé commande. En effet, une étude menée par University of Florida montre que des frais de livraison offerts peuvent davantage pousser le client à l’achat qu’une simple réduction sur un produit.

 

Le fait d’afficher l’ETA (la date d’arrivée potentielle du colis de votre client) peut également séduire et faire franchir le cap ! 

Exemple d'ETA lors d'une commande afin d'améliorer son taux de rétention
Exemple d'ETA provenant de la solution BigBlue

  

💁 Un service client au top 

Les erreurs, ça arrive à tout le monde : une commande qui ne respecte pas les délais de livraison, un article manquant… L’important est de savoir rattraper le coup ! Être le plus réactif possible quant aux réclamations client est primordial si vous espérez un jour les voir à nouveau convertir sur votre site web. 

Bref, montrez-vous (ou votre équipe Customer Care) joignable : par téléphone, via un chat (très efficace), une adresse mail, des profils de réseaux sociaux... Une réponse dans la journée ou encore mieux, une solution, saura faire la différence. Lors d’une friction avec un client insatisfait, vous pouvez tout à fait retourner la situation à votre avantage en proposant un code promotionnel applicable lors de la prochaine commande. Le client saura ainsi se montrer conciliant en se sentant privilégié et écouté. 

De plus, se montrer disponible vous permettra d’activer des prospects s’ils ont des questions concernant vos produits et modes de livraison. 

🤝 Créer un lien

💌 Des communications marketing par mail 

Voyez la première commande d’un client comme la première opportunité pour tisser un lien. Un mail de bienvenue personnalisé (avec un prénom par exemple) posera de bonnes bases. 

Une newsletter régulière présentant vos actualités de marque ainsi que des discounts “exclusifs” encourageront votre client à passer commande chez vous, à nouveau. Cependant, soyez consciencieux quant à vos offres promotionnelles : il faut qu’elles soient limitées dans le temps. Cela vous permettra de mieux traquer la performance de votre campagne (au bout de combien de temps votre client a-t-il utilisé le code ?) mais aussi de pousser à la vente. Eh oui, lorsque l’on sait que c’est limité, on a plus envie d’en profiter… 

Une autre technique que nous affectionnons est celle des relances panier : un mail présentant les produits “abandonnés” qui ne demandent qu’à être achetés… De l’humour, un message personnalisé : cette tactique en fait succomber plus d’un.  

📣 Et les réseaux sociaux, dans tout ça ?

La communication avec votre base clients ne se cantonne pas qu’aux e-mails. Vous pouvez ainsi intégrer des boutons redirigeant vers vos réseaux sociaux dans vos newsletters, afin d’agrandir votre communauté. 

Sur les réseaux qu’y s’y prêtent (Snapchat, Instagram, TikTok…), n’hésitez pas à directement impliquer vos abonnés dans votre développement. Création d’un nouveau produit, collaboration avec une autre marque : jouez avec les outils de vote et de sondage, osez abuser de CTA pour impliquer et engager votre communauté dans votre développement. 

Exemple de sollicitation de la communauté par la marque Mina Storm
Post Instagram de la marque Mina Storm

Quand on se sent concerné, on a tout de suite plus envie d’acheter ! 

💰 Lancer un programme de fidélité 

Donnez envie à vous clients de rejoindre votre programme de fidélité en jouant sur la carte de l’exclusivité. L’avantage pour vous ? Collecter certaines données démographiques et grappiller des infos sur leur comportement shopping. Vous pourrez ainsi mieux les cibler, leur proposer leurs produits préférés et leur offrir des discounts afin de les encourager dans leurs prochaines commandes.

La team JUST espère de tout cœur que cet article vous aidera à faire revenir vos clients. Envie de simplifier l’expérience de vos clients afin qu’ils deviennent réguliers ? N’hésitez pas à nous faire signe, on se fait toujours une joie d’aider les e-commerçants. 

 

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min
Jan 17

Blog de marque : nos 5 préférés

Il y a quelques semaines, la team JUST écrivait sur l’importance de tenir un blog en tant que marque. Améliorer son référencement, construire une relation de proximité avec ses clients et enfin se donner une certaine crédibilité : on ne cite pas toutes les bonnes raisons de dégainer sa plume ! 

Avant de se lancer ou de justement continuer dans sa lancée, on vous révèle nos blogs de marque préférés. Experts dans leur domaine, admirablement bien écrits, ils font partie de ceux qui marchent et qui donnent envie de lire toute la sainte journée !

C’est parti ? 

Oh My Cream, le blog des skincare addicts 

Votre e-commerce vend des soins et de la cosméto ? Il se pourrait que le blog d’Oh My Cream soit un vivier d’inspirations ! Tout se passe dans la partie “conseils”. Présentation de marques partenaires, routines beauté, zoom sur des personnalités pointues et leurs habitudes make-up… On apprécie la richesse et la diversité des contenus du blog de la digital native brand. Mention spéciale à la série “Dans la salle de bain de…” dont on raffole chez JUST ! 

👉 Découvrir le blog d’Oh My Cream

Screenshot du blog Oh My Cream
Screenshot du blog Oh My Cream

Le blog de Puissante a.k.a les conseils sexo comme ceux d’une copine 

Guide, bien-être, libido, sexualité positive : chez Puissante, on aborde tout, et sans complexe. On aime tout spécialement le ton employé, bienveillant, franc mais jamais infantilisant. Alimenté toutes les semaines ou presque, ce blog de marque est une véritable inspiration pour les e-commerçants branchés self love. Et une vraie mine d’infos pour toutes celles.ceux qui se posent des questions ou qui veulent en apprendre plus sur leur sexualité !

👉 Découvrir le blog  de Puissante

Screenshot du blog de Puissante
Screenshot du blog de Puissante

Flotte, le blog des “pluiviophiles” 

C’est ainsi que la marque de cirés 2.0 appelle ses fans ! Le blog de Flotte couvre un tas de sujets, souvent reliés à sa marque mais aussi à l’outdoor, au pratique et à la mode. On y trouve aussi de beaux papiers sur le voyage, comme celui de Charlotte, qui a pu expérimenter un vrai sentiment de coupure en Mongolie. 

On apprécie beaucoup aussi le côté “backstage” de la marque, qui nous raconte ses secrets de fabrication et nous file des conseils d’entretien. 

Une thématique très niche en soit, mais qui a l’avantage de cibler un lectorat bien précis.

👉 Découvrir le blog de Flotte

https://minastorm.com/blogs/news
Screenshot du blog de Flotte

Glossier : quand le blog devient marque 

Quand on lance sa marque suite à un blog, c’est que ce dernier fait clairement de l’effet ! Glossier, c’est d’abord l’histoire d’Emily Weiss, ex-CEO de la marque. La jeune femme, travaillant la journée chez Vogue US, lance le blog Into The Gloss en 2010. Elle l'alimente la nuit, entre 4 heures et 8 heures du matin (elle en a, n’est-ce pas ?). 

Le blog est surtout apprécié pour ses interviews et leur section “Top Shelf” (haut d’armoire), où les interrogées révèlent ce qui se trouve dans leur placard de salle de bain. 2 ans plus tard, c’est près de 200 000 utilisateurs mensuels qui lisent Emily ! 

En 2014, la blogueuse finit par lancer sa propre marque de cosmétique autour de son blog : Glossier. C’est un véritable succès : aujourd’hui, près d’une femme sur deux connaît Glossier aux États-Unis. Bref, chapeau bas à Emily et à son blog, qui continue d’être animé et qui met aujourd’hui en avant (entre autres) les produits Glossier. 

👉 Découvrir le blog de Glossier

Screenshot du blog Into the Gloss de la marque Glossier
Screenshot du blog Into the Gloss

Mina Storm, le blog qui parle dessous et body positivism 

C’est que le bien-être fait couler l’encre ! Minute papillon : comment une marque de lingerie peut-elle vraiment aborder des sujets de self care ? En se positionnant comme LA marque confortable et body positive, pardi ! 

Sur le blog de marque de Mina Storm, on trouve un tas de conseils pour choisir la bonne taille de soutien-gorge et pour se sentir bien dans sa peau au quotidien. Bref, ça parle no bra, neo bra et injonctions sociétales faites aux femmes. De beaux sujets, écrits de la patte si propre à Mina Storm et des mots-clés “niche” qui savent attirer un public ciblé ! 

👉 Découvrir le blog de Mina Storm

Screenshot du blog Mina Storm
Screenshot du blog Mina Storm

Et vous, c’est quoi votre blog préféré ? Rencontrons-nous pour en discuter ! 

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Jan 17

4 exemples de call to action pour vos mails marketing

Définition du call to action

Un call to action (littéralement “appel à passer à l’action” en français, moins sexy, on vous l’accorde) est un incontournable de l’inbound marketing (allez on vous aide : l’inbound décrit toutes les tactiques visant à faire venir le client vers vous, contrairement à l’outbound, qui vise à chercher le client).

Grosso modo, un call to action est un outil marketing qui invite un prospect, un consommateur (c’est ça qui nous intéresse !) à agir de façon immédiate. Les calls to action prennent souvent la forme d’une injonction (“découvrir plus”, “achetez maintenant”).

Les calls to actions peuvent se trouver sur site web, une landing page, sur des ads ou publications de réseaux sociaux. Dans cet article, la team JUST vous parle des CTA dans les mails marketing. Emplacement, formulation, design : on vous révèle les meilleurs conseils pour faire de bons CTA ! 

1. Où positionner un call to action  ? 🤔

Certainement pas en bas de page, près des petites lignes que personne ne lit ! La position de votre call to action est primordiale : plus il sera visible, plus vos lecteurs seront susceptibles de cliquer dessus. 

Il faut donc qu’il soit placé plutôt en début de mail (la structure phrase d’intro, CTA puis produits affichés est efficace), centré et enfin contextualisé. Images, informations dans le texte : il faut que les réceptionnaires de votre mail sachent où ils vont atterrir en cliquant dessus. 

Et si on choisit d’intégrer plusieurs call to action à son e-mail ? On hiérarchise, pardi ! On valorise celui à la meilleure offre en le plaçant au début du message, et on y va decrescendo. 

Exemple de CTA en début de mail : "Voir toutes les ventes"
CTA en début de mail chez Very Chic : "Voir toutes les ventes"

2. Comment formuler un call to action ? ✍️

N’hésitez pas à user de la première personne lorsqu’il s’agit d’écrire un CTA. Proximité et taux de conversion font en général bon ménage…  On choisit donc plutôt une formulation type “Je commande” au lieu de “commander”. 

Les verbes d’action rendent le bénéfice plus clair pour le consommateur. Ça, combiné à de l’impératif : c’est dans la poche pour la rédaction !

CTA dans un mail Uber Eats
CTA dans un mail Uber Eats

3. Quel design choisir pour un call to action ? 🎨

On vous en parlait dans notre article dédié aux newsletters marketing mais on vous révèle un peu plus sur l’allure du CTA idéal. 

Primo, il vaut mieux l’insérer dans un bouton et non pas en tant que simple lien hypertexte. Pourquoi ? Pour le rendre plus visible, tout simplement !

Deuzio : plus c’est gros, plus ça passe. On fait en sorte de choisir la police la plus lisible de sa charte graphique et on choisit une taille suffisamment grosse. 

Pour finir, parlons peu, parlons couleurs : il faut que votre bouton CTA contraste au maximum avec le reste de votre mail. Dans l’imaginaire collectif, il y a aussi des couleurs qui évoquent plus certaines choses que d’autres : le rouge, un sentiment d’urgence (idéal pour des promotions limitées dans le temps), le noir est souvent associé au luxe (tout dépend de votre positionnement) et le bleu inspire la confiance (une couleur idéale pour le B2B ou pour les services type banques, assurances…).  

CTA placé dans un bouton rouge = impression d'urgence
CTA placé dans un bouton rouge = impression d'urgence

4. Comment rendre un call to action efficace ? 🚀

Suivre nos trois premiers conseils à la lettre, c’est déjà un beau pas vers la maximisation de votre taux de conversion. Au-delà d’une bonne position, d’une formulation adéquate et d’une mise en forme percutante, avez-vous revu votre stratégie d’offres ? 

Pour inciter vos lecteurs à visiter votre site web, faites donc ami ami avec les offres alléchantes : produit offert “J’obtiens mon tote bag dès 40€”, “Je profite de la livraison offerte” promotions etc… 

Rassurez, surtout pour les achats qui demandent un certain engagement. Par exemple, dans le cas des abonnements, vous pouvez proposer un mois gratuit sans engagement.

CTA avec mois offert chez Netflix
CTA avec mois offert chez Netflix

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