Dans l’univers du e-commerce, la sécurité des paiements en ligne est une question primordiale pour les consommateurs. Avec la montée des cyberattaques et des fraudes, la protection des données bancaires est devenue un critère crucial dans la décision d'achat. En effet, 25**% des consommateurs** abandonnent leur panier à cause de craintes concernant la sécurité du paiement. Les clients veulent être certains que leurs informations personnelles et financières sont protégées.
Cet article explore pourquoi la sécurité des paiements en ligne est essentielle pour vos clients, comment vous pouvez renforcer la confiance en votre site, et quelles sont les meilleures pratiques pour offrir une expérience d'achat sécurisée.
L'importance de la sécurité dans le processus d'achat en ligne
Lorsqu’un client arrive à l’étape du paiement, il est déjà à la fin de son parcours d’achat. À ce stade, il a choisi un produit, validé son panier, et est prêt à passer à l’acte d'achat. Cependant, même dans les dernières étapes du processus, l’apparence de manque de sécurité peut tout remettre en question.
1. Confiance et fidélité client
La confiance est un élément clé dans la relation entre un consommateur et un site e-commerce. Un site perçu comme peu sécurisé aura non seulement des difficultés à convertir ses visiteurs en clients, mais il risque aussi de perdre leur confiance à long terme.
Lorsque les clients sentent que leurs informations sont protégées, ils sont plus susceptibles de revenir pour des achats futurs. Offrir une sécurité de paiement renforcée contribue à la fidélisation, car un client qui se sent en sécurité sera plus confiant et fidèle à votre marque.
2. Protéger la réputation de votre marque
Un autre enjeu majeur lié à la sécurité des paiements est la réputation de la marque. Une cyberattaque ou un vol de données peut gravement affecter l’image d’une entreprise. Même si la faille de sécurité ne touche qu'une petite partie des clients, l’impact médiatique et la perte de confiance générée peuvent être désastreux.
Exemple :
En 2013, la chaîne de magasins américaine Target a subi une cyberattaque majeure qui a compromis les informations bancaires de 70 millions de clients. L'entreprise a non seulement perdu la confiance des consommateurs, mais a également dû faire face à des poursuites judiciaires et à des amendes colossales.
Les principales menaces pour la sécurité des paiements en ligne
Avant de se pencher sur les solutions pour améliorer la sécurité des paiements, il est important de comprendre les principales menaces auxquelles sont confrontés les sites e-commerce.
1. Le phishing
Le phishing est une technique de fraude qui consiste à duper les utilisateurs pour leur soutirer des informations confidentielles comme des identifiants ou des numéros de carte bancaire. Les attaques de phishing se présentent souvent sous forme de courriels ou de pages web imitant des sites de confiance.
Solution :
Pour protéger vos clients, il est essentiel de les éduquer sur ces risques et de les encourager à ne jamais entrer leurs informations sur des pages suspectes. En tant qu’e-commerçant, vous devez vous assurer que vos communications officielles avec vos clients (emails, SMS, etc.) sont clairement authentifiées et protégées contre les usurpations.
2. La fraude à la carte de crédit
La fraude à la carte de crédit est l'une des menaces les plus répandues dans le domaine du e-commerce. Elle se produit lorsque des hackers volent les informations de carte bancaire des clients pour effectuer des achats frauduleux.
3. Les failles de sécurité dans les passerelles de paiement
Les passerelles de paiement jouent un rôle clé dans la sécurité des transactions. Si elles ne sont pas correctement protégées, elles peuvent être piratées et laisser les informations des clients vulnérables aux cyberattaques.
Comment garantir la sécurité des paiements en ligne sur votre site
Pour protéger vos clients et réduire les risques de fraude, voici les meilleures pratiques que vous pouvez mettre en place.
1. Utiliser des certificats SSL pour sécuriser les transactions
Le certificat SSL (Secure Socket Layer) est une technologie qui crypte les données échangées entre le client et le serveur. Il permet de protéger les informations sensibles, comme les numéros de carte bancaire, en les rendant inaccessibles aux pirates informatiques.
Pourquoi est-ce important ?
Un site sécurisé par SSL affiche un cadenas dans la barre d'adresse, ainsi que le préfixe « https ». Cela garantit que les données des utilisateurs sont protégées lors de la transmission. De plus, les moteurs de recherche comme Google favorisent les sites sécurisés par SSL dans les résultats de recherche.
Exemple concret :
PayPal exige que tous les sites e-commerce qui utilisent leur passerelle de paiement soient protégés par un certificat SSL. Cela garantit un niveau minimum de sécurité pour tous les marchands qui proposent cette option.
2. Conformité à la norme PCI DSS
La norme PCI DSS (Payment Card Industry Data Security Standard) est un ensemble de règles qui vise à protéger les informations des cartes bancaires pendant et après la transaction. Tous les e-commerçants qui traitent des paiements par carte doivent se conformer à cette norme pour garantir que leurs systèmes sont sécurisés.
Avantages :
- Protection des données : La conformité à PCI DSS garantit que les informations des cartes bancaires sont cryptées et protégées contre les accès non autorisés.
- Réduction des risques de fraude : En suivant les règles de PCI DSS, vous limitez les risques de cyberattaques et de fraude à la carte.
3. Mettre en place l’authentification forte des paiements
L'authentification forte des paiements est devenue une exigence légale dans l'Union Européenne avec la directive PSD2. Cette réglementation impose une double authentification lors des paiements en ligne, afin de renforcer la sécurité des transactions.
Comment cela fonctionne ?
L’authentification forte nécessite au moins deux des trois éléments suivants pour vérifier l’identité de l’utilisateur :
- Quelque chose que le client connaît (mot de passe, code PIN).
- Quelque chose que le client possède (téléphone mobile, carte bancaire).
- Quelque chose que le client est (empreinte digitale, reconnaissance faciale).
Exemple concret :
La plupart des banques et des prestataires de services de paiement comme Stripe ou Mollie proposent désormais des solutions d'authentification forte pour les transactions en ligne. Cela réduit le risque de fraude, car même si un pirate obtient les informations de carte, il ne pourra pas finaliser la transaction sans l’authentification.
4. Utiliser des systèmes de tokenisation
La tokenisation est une technologie qui remplace les informations sensibles d’un client (comme le numéro de carte de crédit) par un jeton unique sans valeur exploitable en cas de vol. Le jeton peut ensuite être utilisé pour traiter le paiement, mais il ne contient pas les informations réelles de la carte.
Avantages :
- Sécurité accrue : Même en cas de piratage, les informations volées ne peuvent pas être utilisées pour effectuer des transactions.
- Conformité aux normes : La tokenisation aide les entreprises à respecter les règles PCI DSS, car elle réduit la manipulation des données sensibles.
5. Afficher des badges de sécurité pour renforcer la confiance
Les badges de sécurité sont des symboles visuels (comme le logo SSL ou PCI DSS) que vous pouvez afficher sur votre site pour rassurer vos clients. Ces badges indiquent clairement que votre site suit les normes de sécurité en vigueur, ce qui contribue à renforcer la confiance des utilisateurs au moment du paiement.
L'avenir de la sécurité des paiements en ligne
Alors que la technologie continue d’évoluer, les menaces en ligne se complexifient, et les attentes des consommateurs en matière de sécurité augmentent. Les e-commerçants doivent rester à l’affût des nouvelles tendances et solutions pour protéger leurs clients et maintenir leur confiance.
1. L'authentification biométrique
L'authentification biométrique devient de plus en plus courante pour sécuriser les paiements en ligne. Cette technologie repose sur des caractéristiques physiques uniques comme les empreintes digitales, la reconnaissance faciale, ou même la reconnaissance vocale. La biométrie ajoute une couche de sécurité supplémentaire en rendant pratiquement impossible pour un fraudeur d’usurper l’identité d’un client.
Exemple concret :
Les smartphones actuels, notamment ceux d'Apple (avec Face ID et Touch ID) ou de Samsung, permettent aux utilisateurs de finaliser des transactions en ligne en utilisant simplement leur visage ou leur empreinte digitale. Cela non seulement accélère le processus de paiement, mais renforce également la sécurité.
Avantages :
- Expérience utilisateur simplifiée : Pas besoin de se souvenir de plusieurs mots de passe.
- Sécurité renforcée : L'utilisation de données biométriques rend plus difficile l'usurpation d'identité.
2. Intelligence artificielle et détection de fraude
L'intelligence artificielle (IA) joue un rôle croissant dans la détection et la prévention des fraudes en ligne. Grâce à des algorithmes avancés, l'IA peut analyser des millions de transactions en temps réel pour identifier des schémas suspects ou des comportements anormaux. Cela permet aux e-commerçants de réagir rapidement face à des tentatives de fraude.
Comment cela fonctionne ?
Les systèmes d'IA peuvent :
- Analyser les données en temps réel pour repérer des activités inhabituelles.
- Bloquer automatiquement les transactions suspectes ou exiger une vérification supplémentaire.
- Apprendre et s'améliorer au fil du temps pour devenir de plus en plus efficace.
Exemple concret :
Des entreprises comme Signifyd utilisent l'IA pour fournir des solutions de protection contre la fraude aux e-commerçants. Ces solutions permettent de réduire les fausses alertes et d'augmenter la sécurité sans impacter négativement l'expérience client.
3. Les paiements invisibles
Les paiements invisibles sont une autre innovation émergente qui pourrait transformer la manière dont les clients paient en ligne. Avec cette technologie, les transactions sont traitées en arrière-plan, sans que le client ait besoin d’intervenir activement. Cela est déjà utilisé par des entreprises comme Uber, où le client commande un service et le paiement est automatiquement prélevé à la fin de la course, sans action supplémentaire de sa part.
Avantages :
- Fluidité maximale dans l'expérience utilisateur, aucun besoin d'entrer des informations à chaque transaction.
- Sécurité renforcée grâce à des solutions de tokenisation et de cryptographie sophistiquées.
Exemple :
Amazon Go, le concept de magasin sans caisse d’Amazon, utilise cette technologie pour permettre aux clients de faire leurs courses et de quitter le magasin sans passer par un point de paiement. Le montant est directement débité du compte Amazon du client, offrant une expérience fluide et sans friction.
Les erreurs à éviter dans la gestion de la sécurité des paiements
Pour garantir une sécurité optimale des paiements en ligne, voici quelques erreurs courantes à éviter :
1. Négliger la mise à jour des systèmes de sécurité
Les cyberattaques évoluent constamment. Négliger les mises à jour régulières de vos systèmes de sécurité expose votre site à des vulnérabilités. Assurez-vous que tous vos logiciels, passerelles de paiement, et certificats SSL sont toujours à jour.
2. Ne pas informer les clients
La transparence est essentielle lorsqu’il s’agit de sécurité. Ne pas communiquer clairement sur les mesures que vous prenez pour protéger les informations des clients peut nuire à leur confiance. Assurez-vous que vos clients savent que leurs données sont protégées, notamment en affichant des badges de sécurité sur votre site.
3. Utiliser des mots de passe faibles
La sécurité des mots de passe est un aspect souvent négligé. Un mot de passe faible peut rendre votre site vulnérable aux attaques par force brute. Encouragez vos clients à utiliser des mots de passe forts, et mettez en place des systèmes de vérification à deux facteurs (2FA) pour renforcer la protection.
Pourquoi vos clients ont besoin de la sécurité des paiements en ligne
La sécurité des paiements en ligne est bien plus qu'un simple aspect technique à gérer en arrière-plan. C’est un facteur essentiel pour rassurer vos clients, augmenter votre taux de conversion et protéger la réputation de votre marque. Offrir un environnement sécurisé pour les transactions renforce la confiance et la fidélité des clients, tout en réduisant les risques de fraude et de cyberattaques.
Que ce soit par l’utilisation de certificats SSL, la mise en place de l’authentification forte ou l'intégration de la tokenisation, chaque mesure de sécurité contribue à offrir à vos clients une expérience d’achat sûre et sans stress.
Les tendances futures, comme l'intelligence artificielle ou les paiements invisibles, ne feront qu'améliorer la sécurité tout en facilitant le processus de paiement. Cependant, il est essentiel que les e-commerçants continuent d’innover et de mettre à jour leurs systèmes de sécurité pour rester en avance sur les cybercriminels.
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C’est près de 17% des potentiels acheteurs qui se découragent en raison d’un check-out trop compliqué. Un chiffre absolument considérable. Mais une fois que l’on a conscience de la valeur de ces clients qui ont abandonné leur panier, que fait-on exactement ? Eh bien pas grand chose, pardi ! L’équipe JUST se charge de tout. On vous en dit plus sur la solution de paiement en 1-clic qui a su convaincre plus d’un e-commerçant 🚀
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JUST, ou comment booster son taux de conversion rapidement
Et réduire vos abandons de panier ! Notre solution de paiement en 1 clic risque bien d’être le coup de fouet que vous attendiez pour votre e-commerce : les chiffres parlent d’eux mêmes…
Sur l’ensemble des marques avec lesquelles nous travaillons, c’est un taux de conversion boosté à +19% que nous observons. Il en va de même pour le taux d’abandon de panier : nos marques expérimentent donc un -32%.
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Les Digital Native Brands (ou non), ça nous connaît. Depuis maintenant plus d’un an, nous échangeons avec elles quotidiennement. La team JUST est donc parfaitement capable de comprendre les enjeux et les objectifs d’une marque, qu’ils viennent de l’équipe e-commerce, marketing ou directement des fondateurs.
La preuve : aujourd’hui, c’est près de 150 marques qui nous font confiance. De Voilà Beauté, la marque de cosmétiques développée par l’influenceuse Noholita, en passant par Flotte, les vêtement de pluie 2.0 de Lily Wy et Mickael Pan (mais oui, vous ne rêvez pas : ils ont bien participé à l’émission “Qui veut être mon associé ?”) sans oublier Petty Well, les petits plats sains pour nos animaux, JUST a l’habitude de collaborer avec toutes sortes de clients.
Vous l’aurez compris : peu importe la taille ou l’âge de votre e-commerce, JUST est prêt à vous accompagner dans votre développement.
JUST, a.k.a un service client ultra réactif
Nous pouvons implémenter notre solution de paiement en ligne en quelques minutes seulement. Comme le raconte Mickael Pan, fondateur de Flotte : “Vous remarquerez l’impact sur vos ventes dès le premier jour”. Que demander de plus ?
Au-delà de ça, la team JUST sera toujours réactive et 100% disponible à l’égard de ses marques. Questions, mise en place, éventuels bugs (très rares, c’est promis !), on se charge de vous guider et de répondre à toutes vos questions, et ça dans la journée.
En plus de ça, il est possible pour n’importe quel département de votre entreprise (e-commerce, marketing…) de suivre en temps réel le nombre de commandes passées via JUST ainsi que le bénéfice réalisé grâce à notre implémentation sur votre CMS.
Une solution de paiement en ligne française
Nous sommes très fiers de faire partie de l’écosystème des start-ups françaises ! Pourquoi ? Car c’est un honneur pour nous d’évoluer aux côtés de compagnies telles que BigBlue, Silvr ou encore Alma. Et on en passe ! Que de jeunes entreprises à la success story inspirante...
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De plus, qui dit plusieurs pages, dit plusieurs chargements… Et plus de temps ! À proscrire, donc.
Le petit + = donnez la possibilité à vos clients de modifier leur panier jusqu’au dernier moment. S’ils veulent retirer un article ou justement le doubler, cela leur évitera de retourner en arrière.
Simplifier les formulaires
Pour finir, assurez-vous de demander seules les informations dont vous avez besoin pour la commande. Trop de questions ou d’informations peuvent en décourager plus d’un. Si vous souhaitez récolter de la data (exemple : date d’anniversaire), vous pouvez toujours demander ces informations, en précisant bien que leur renseignement n’est pas obligatoire.
Quant à l’adresse de facturation, demandez à vos clients s’il s’agit de la même (souvent le cas !) afin de leur éviter de rentrer exactement les mêmes informations.
5 façons de générer des prospects via un blog
Avoir un blog de marque ou d’entreprise, c’est chouette, mais vous êtes-vous déjà demandé à quoi ça servait exactement ?
À transformer vos visiteurs en prospects, entre autres ! Et faire de ces prospects des clients, mais ça, c’est une autre histoire… Au-delà de renforcer les liens avec votre communauté et de vous affirmer en tant que marque, votre blog s’avère être un excellent moyen de récupérer des informations sur vos visiteurs. Bref, on vous explique comment s’y prendre !
Les simples curieux qui se rendent sur votre site sont en général prêts à fournir quelques informations personnelles (adresse e-mail, numéro de téléphone…) en échange d’un petit service ou d’un partage de contenus qui puissent les intéresser. La collection de cette data vous permettra de les cibler dans vos ads sur les réseaux sociaux (Instagram, Facebook…) mais aussi de les contacter directement au cas échéant.
Un règle d’or ? Ce que vous proposez en échange du partage d’informations privées doit être facile d’accès, quasi instantané et cohérent avec votre public cible. On vous en dit un peu plus juste en dessous 👇
1. Offrir des guides ou des livres blancs pour générer des prospects via votre blog
Un grand classique du marketing ! Grosso modo, il s’agit de proposer un guide sur un sujet précis (d’une quinzaine à une centaine de pages) en échange d’un partage d’informations. L’utilisateur peut le télécharger après avoir complété un formulaire (les basiques : nom, prénom, adresse e-mail et numéro de téléphone).
Par exemple, Contentsquare, plateforme d’expérience digitale, propose à ses visiteurs un guide reliant big data et industrie automobile contre certaines informations (à noter que le renseignement du numéro de téléphone reste optionnel, afin d’éviter les frictions).
Le fameux guide est téléchargeable depuis l’onglet blog mais aussi depuis une landing page (on apprécie les subtilités des techniques SEO 😉).
Bref, si vous avez du temps devant vous (la qualité du guide doit être au rendez-vous), les livres blancs sont une excellente option pour générer des prospects via votre blog.
2. Proposer un accès exclusif sur votre blog
Si votre blog se positionne en mode conseils et infos en avant-première, rendez le exclusif !
Késako ? S’il fournit de précieux conseils dont (quasiment tous) vos visiteurs auront envie de bénéficier, rendez le accessible via une inscription gratuite. À vous les adresses e-mails, les numéros de téléphone et pourquoi pas même les dates d’anniversaire… Bref, vous trouverez de quoi faire !
En plus de tisser des liens uniques avec vos visiteurs et de renforcer l’aspect communautaire de votre marque, vous agrandirez également votre base CRM.
3. Proposer un accès gratuit à votre service/votre produit sur votre blog
Dans le cas des B2B, proposer un accès gratuit sur votre blog, pour une durée limitée (par exemple 15 jours), pour générer des prospects est un véritable must.
Primo : si les visiteurs de votre blog sont prêts à tester votre service, c’est qu’ils sont déjà un minimum intéressés. Et deuzio : c’est l’occasion rêvée pour rafler de la data. Certains disent “pas de bras, pas de chocolat”, chez JUST, on préfère “pas de coordonnées renseignées, pas d’accès” !
HubSpot, SemRush… Nombreux sont les services usant de cette tactique !
B2C et séduit par la tactique ? À l’image de Nestlé Canada, on propose de recevoir des échantillons gratuits pendant une durée contre des infos ! Pratique, n’est-ce pas ?
4. Proposer de recevoir des catalogues physiques ou numériques
Vous avez des centaines de produits et un catalogue de vos collections ? Comme Ikea, proposez de l’envoyer aux intéressés contre leurs informations. Physique (à envoyer par courrier) ou numérique (par mail), il vous permettra de récupérer des données et de mieux cibler vos communications. Alors, y aviez-vous pensé ?
5. Créer des sondages et des quizz pour rassembler
Une autre façon originale de transformer vos visiteurs en prospects est de proposer des sondages et des quizz sur votre blog. Engageants, interactifs et peut-être plus personnalisés que des simples articles, ils vous permettront d’user de la mécanique assez simple “renseignez votre email pour recevoir le résultat”. Simple et efficace !
Conclusion
Une fois que vous aurez trouvé vos tactiques pour générer des prospects via votre blog, vous pourrez donc relayer ce dernier ou votre landing page via différents médiums type emailing, réseaux sociaux… Et si l’envie vous prend de transformer vos prospects en clients en un clin d’œil, n’hésitez pas à nous faire signe juste ici.
#JUST #GetJUST #Blog #Prospects
Créer une newsletter marketing : 5 tips de la team JUST
Pour certains, la Rolex avant 50 ans, c’est le vrai succès. Pour d’autres, comme nous, c’est plutôt la newsletter marketing pour les entreprises de moins d’un an qui est un must 😉 Blague à part : que vous soyez à la tête d’une petite ou moyenne structure, que vous bossiez au département communication/marketing d’une marque, que vous gériez un blog ou même que vous soyez investi dans une asso, la newsletter est un indispensable dans votre stratégie inbound. Mais par où commencer ?
Dans cet article, l’équipe JUST vous dévoile les nombreux avantages d’une newsletter marketing mais vous fournit aussi 5 conseils pour la lancer. Ou pour la retravailler, au choix !
Newsletter marketing : définition
Grosso modo, une newsletter est un mail envoyé à une liste d’abonnés, clients ou prospects. Il faut bien évidemment que ces derniers se soient inscrits volontairement à votre newsletter ou aient donné leur accord pour la recevoir.
Véritable indispensable à votre stratégie marketing, elle permet de maintenir le lien avec votre communauté et de vous positionner comme expert dans votre domaine.
Les différents types de newsletter marketing
Il existe différents types de newsletters marketing, chacun ayant ses propres objectifs. Communément, on appelle “newsletter” les contenus mail émanant des marques, des entreprises et qui informent le lecteur des actualités, donnent des conseils selon le sujet d’expertise, des bons plans… Cependant, le terme newsletter peut également faire référence à :
- L’email de prospection/acquisition : le but est ici de faire convertir le prospect en utilisateur.
- L’email purement marketing : généralement adressé à un client déjà existant, il a pour but de le pousser à réitérer l’action d’achat. Programme de fidélisation, présentation produits avec CTA…
- L’email de service : c’est celui qui notifie votre client suite à une action menée sur votre site. Commande, mot de passe oublié…
- L’email de relance panier : c’est lorsque votre client, pourtant si bien parti, ne finalise pas son achat. Il s’agit alors de le relancer en lui rappelant les produits qu’il a ajoutés à son panier. On vous donne d’ailleurs dans cet article quelques conseils pour mettre toutes les chances de votre côté !
Pourquoi créer une newsletter marketing ?
Minute papillon ! Avant de dégainer votre plus belle plume et de donner de vos nouvelles à votre base, êtes-vous sûr.e de savoir pourquoi vous passez à l’action ?
La newsletter marketing serait le levier d’acquisition le plus performant ! En effet, le cabinet de conseil McKinsey a mené une étude prouvant que son efficacité est 40 fois supérieure à celles des communications Facebook et Twitter.
Besoin d’une autre raison pour vous lancer ? Pour chaque $1 investi dans vos newsletters, le ROI serait de $36. Pas mal, non ?
En fait, une newsletter a surtout pour but de rediriger vos lecteurs sur votre site web. Ainsi, dans un premier temps, elle améliore le trafic de votre site puis dans un second, devient un véritable moyen de conversion. Grâce à de nombreux outils (nous y reviendrons plus tard, c’est promis !) La newsletter permet aussi de suivre de très près votre performance, et ça avec des KPIs bien précis : taux d’ouverture, nombre de clics, nombre de désinscriptions…
Au-delà de l’aspect chiffré, une newsletter est aussi l’occasion d’entretenir le contact avec vos clients/prospects et d’affirmer votre marque.
5 conseils pour créer une newsletter marketing
1. Quels sont les objectifs de votre newsletter ?
Que cherchez-vous exactement à faire avec votre newsletter marketing ? Avant d’établir votre stratégie éditoriale, il est important de définir vos objectifs.
Vos contenus mail peuvent avoir le simple but d’informer et de fidéliser votre communauté. Késako ? La tenir au courant des updates de votre entreprise ou de votre produit, des actualités d’un secteur…
Comme évoqué ci-dessus, une newsletter a bien souvent pour objectif de générer du trafic sur votre site web. Comment ça marche ? Il s’agit d’inciter le destinataire à visiter votre site web en plaçant des liens redirigeant vers votre site.
Une newsletter marketing peut également être un bon moyen de récupérer de la data sur vos prospects. Vous pouvez tout à fait collecter les mails des utilisateurs de votre site web en leur proposant de s’inscrire à votre newsletter. Une technique infaillible que la team JUST a pu observer chez ses marques partenaires est la suivante : proposer un discount (souvent -10%) sur la première commande en échange d’une inscription à la newsletter. Aussi simple que ça ! Sinon, un simple bandeau ou un pop-up sur votre site web incitant à une inscription peut tout à fait marcher.
Que d’objectifs ! Pour finir, si vous voulez en savoir plus sur vos prospects et clients, la newsletter est également une option à considérer. En effet, cette dernière vous permettra d’A/B tester ce qui marche sur votre cible. Qu’est-ce qui fait cliquer cette dernière sur un lien ? Une image, un texte punchy ? Quels thèmes lui plaisent-ils ? Si vous choisissez de segmenter votre audience (par âge, par genre…), vous pourrez aussi constater qu’un contenu attirera un type de personne particulier tandis qu’un autre y restera insensible. Des informations à tirer qui peuvent se révéler intéressantes à décliner sur tous vos autres leviers : site web, réseaux sociaux…
2. Parlons peu, parlons bien : audience et segmentation
On ne parle pas de la même chose ni de la même façon à un client qui s’est déjà fait livrer 5 colis de chez vous et un prospect qui n’a encore jamais passé commande. De même pour une jeune cliente de 19 ans et un lecteur de 60 ans…
Avant de lancer ou de retravailler votre newsletter marketing, il est important de segmenter votre audience. Pourquoi ? Pour mieux faire convertir, tout simplement !
Avant de passer aux choses sérieuses a.k.a la segmentation, définissez vos buyers personas. À quoi ressemble votre cible ? Quel âge ont vos clients ? À quelles problématiques répondent vos produits ?
Une fois que vous aurez dressé le portrait de vos acheteurs type, vous pourrez segmenter votre audience selon les critères de chacun afin d’optimiser vos campagnes CRM.
Selon l’âge, le sexe, la statut du destinataire (client régulier ou prospect) vous pourrez adapter votre offre, vos thématiques, vos messages... Sans oublier de chouchouter vos clients fidèles.
3. Et la stratégie de contenu dans tout ça ?
C’est bon : vos objectifs sont fixés, votre audience est parfaitement segmentée. Mais qu’est-ce qu’on raconte maintenant ? Et comment ? Commençons par le commencement !
L'objet de mail de votre newsletter marketing
Tout d’abord, soignez l’objet de votre mail. Quelques règles d’or pour maximiser votre taux d’ouverture :
- Pas plus de 10 mots ! Le moins, le mieux : autrement votre objet sera coupé, ce qui peut rendre le message moins clair et vous décrédibiliser.
- Le choix des mots : restez simple et évitez l’effet clickbait pour éviter de brouiller le message ou de décevoir vos destinataires. Un objet drôle, énigmatique va certes augmenter votre taux d’ouverture mais à la longue, il va accroître vos désabonnements. Déception quand tu nous tiens…
- La personnalisation : ajoutez le prénom, le nom de votre destinataire pour un effet personnalisé. Et n’hésitez pas à signer votre newsletter d’un prénom : celui du fondateur de votre marque, le vôtre, ou même un fictif. Il est primordial que le lecteur comprenne qu’on s’adresse à LUI et de qui provient le message.
Sans oublier le contenu, bien sûr !
Place maintenant au texte d’aperçu : c’est une sorte de teasing de ce qui se trouve dans votre mail. Un peu comme pour un tweet, vous êtes limité dans le nombre de caractères. Il faut donc rester simple, très simple, en révélez un peu plus à vos lecteurs tout en leur donnant envie de lire. Vous connaissez la méthode KISS (Keep It Simple Stupid) ? Votre nouveau credo pour votre texte d’aperçu, et pour vos newsletter en général !
Concernant le corps de texte, on reste clair, concis et cohérent. Posez-vous la question : “Quelle action veux-je que mon lecteur fasse ?” et gardez toujours la réponse en tête.
Illustrez vos propos avec des images, plus digestes que des simples blocs de texte. Quant aux liens cliquables, insérez-les plutôt sur vos images ou sur des boutons avec des CTA (“la suite”, “voir la sélection” etc).
Dernier conseil : restez fidèle à votre ton, à votre image de marque, peu importe le segment que vous visez. Toujours dans la démarche d’être le plus clair possible et que vos destinataires vous identifient, vous reconnaissent le plus rapidement possible.
4. Quelques outils pour vous aider dans la création de votre newsletter marketing
Soyons honnêtes : impossible d’envoyer une newsletter via Gmail. Pourquoi ? Tout simplement car la plateforme ne permet pas d’envoyer plus de 500 mails par jour. Compliqué, donc, d’utiliser le logiciel si votre de base de données est importante. De plus, lors d’envois à un nombre important de destinataires, vous vous retrouverez facilement dans les spams. Et on ne parle même pas du suivi de la performance de vos envois : il n’est carrément pas faisable via le service de messagerie Google. Cependant, il existe un grand nombre d’outils d’automatisation qui risquent bien de vous aider dans la gestion et la création de votre newsletter !
JUST a sondé ses marques pour savoir quel était leur préféré. Retour sur les quatre qui sont le plus revenues !
HubSpot : L’outil CRM propose une option newsletter. Intéressant pour centraliser toutes vos informations… De plus, HubSpot propose les fonctionnalités classiques des autres logiciels de newsletter, à savoir l’analyse de vos retours clients sur les campagnes. Vous pouvez aussi voir à quel moment de la journée vos lecteurs ont ouvert votre mail (pas mal pour s’améliorer !) et sur quel support il est consulté. Sur le côté design, tout fonctionne en drag and drop. Facile et intuitif, donc, mais difficilement personnalisable à 100% !
MailChimp : Un grand classique dont on a tous déjà entendu parler ! La plateforme comprend un outil CRM, cependant apparemment relativement restreint dans sa version gratuite. Toujours dans sa version freemium, l’envoi des mails via MailChimp est limité à 2000 destinataires. On apprécie cependant l’ergonomie de l’outil et ses templates prêts à l’emploi.
SendinBlue : Frenchy (tout comme nous !), la plateforme est spécialement intéressante dans la mesure où elle offre dans sa version gratuite la possibilité d’A/B tester ! De plus, toujours gratuitement, la plateforme permet d’envoyer près de 300 mails par jour. Un bon début pour se lancer… Mention spéciale à l’outil de segmentation de contacts apparemment très sophistiqué.
Kiliba : Français eux aussi, Kiliba se connecte à votre CMS et automatise vos campagnes marketing. On retrouve dans l’outil plusieurs fonctionnalités : le design automatique (on retrouve plusieurs templates à partir de votre charte graphique importée), des scénarios marketing, des algorithmes de recommandation pour séduire vos clients et enfin une fonctionnalité segmentation client. Tout un programme !
5. Quand envoyer sa newsletter marketing ?
Pour lancer votre newsletter, vous voilà normalement paré.e. Cependant, dernier élément à ne pas négliger : le timing de votre newsletter marketing.
Une étude menée par SendinBlue révèle que côté e-commerce, le moment le plus opportun pour l’envoi de newsletter serait le mercredi à 10h. Précis, n’est-ce pas ?
En effet, le mercredi enregistrait un bien meilleur niveau de score en termes d’ouverture de clics (35% vs 10% le lundi, toujours d’après l’étude menée par SendinBlue). Pour découvrir secteur par secteur le meilleur moment pour envoyer sa newsletter marketing, découvrez l’article HubSpot à ce sujet.
La team JUST espère de tout cœur vous avoir aidé et se réjouit à l’idée de vous lire ! Envie de savoir à quoi ressemble notre newsletter ? Inscrivez-vous juste ici.
5 erreurs d'UX à éviter
À l’heure où plus de 2 milliards de personnes ont déjà commandé en ligne, la concurrence entre e-commerçants semble plus rude que jamais. Parcours d’achat, brand love, engagements, UX, UI… Que de sujets sur lesquels potentialiser pour booster ses ventes en 2023 ! Dans cet article, la team JUST se concentrera sur l’UX. Définition, conseils et erreurs à éviter : suivez le guide.
Qu’est-ce que l’UX ?
Derrière cet acronyme (un peu énigmatique, on vous l’accorde), se cachent les termes “User Experience”. Plait-il ? C’est ce qui englobe la qualité de l’expérience vécue par l’utilisateur de votre site web. L’UX inclut aussi bien l’aspect usabilité/accessibilité que l’impact émotionnel que peut ressentir votre client en naviguant sur votre e-commerce.
Mais comment justement rendre l’expérience sur votre site agréable ? En commençant par éviter le désagréable, pardi ! On vous donne 5 don’t faciles afin de diminuer les frictions ressenties par vos clients. Car qui dit bonne expérience dit hausse du taux de conversion…
Débutants ou experts UX designer, découvrez 5 astuces simples pour éviter les frictions lors de la navigation sur votre site.
5 erreurs d'UX à éviter
1. Faire passer un second plan l’UX mobile
Quand on sait que 60.28% du trafic se fait sur mobile, on se dit qu’on a plutôt intérêt à rendre son UX la plus agréable possible sur ce medium. Et certains l’ont déjà bien compris : nombreuses sont les marques qui développent des applications, plus performantes et rapides qu’une page web (Zalando, Asos, Pimkie…).
Une application de marque relève pourtant les mêmes challenges qu’un site : dans les deux cas, son utilisation doit être simple et claire. Elle permet à l’utilisateur de minimiser ses actions. On oublie donc les manipulations et clics inutiles pour aller droit à l’essentiel.
Au-delà d’offrir la meilleure des expériences à vos visiteurs, un site web mobile friendly a bien d’autres avantages. En effet, il contribue aux bonnes pratiques SEO : Google utiliserait principalement la version mobile d’un site pour l’indexation et le classement.
Besoin d’une dernière bonne raison pour rendre son site mobile first ? Si votre marque est présente sur les réseaux sociaux (mauvais point si non !), vous devez savoir qu’une part de votre trafic leur est dûe. Et admettons-le : rares sont les gens qui scrollent Instagram ou TikTok depuis leur ordinateur… Bref, de votre profil sur les réseaux sociaux au site de votre marque, il n’y a qu’un pas. D’où l’importance de faire passer au premier plan votre UX sur mobile.
2. Rendre la navigation difficile
En moyenne, on estime que la durée de consultation d’une page web est de 52 secondes. Ça fait court, très court… Dès les premières secondes, on essaie donc de retenir l’attention de l’utilisateur. On rend l’info concise et précise et la navigation simple. Pour permettre à vos utilisateurs de naviguer librement, on adopte un sticky menu. Késako ? Il s’agit d’un menu qui sera toujours visible et utilisable par l’user, peu importe où il se trouve sur votre site e-commerce.
Côté ressenti/sentiment de l’utilisateur, on s’assure que le site soit agréable à l’œil : il faut que vos pages, visuellement parlant, soient cohérentes les unes avec les autres. Bref, on évite d’utiliser un design différent à chaque page.
3. Des pages trop longues… ou trop courtes !
Vous l’aurez compris : lisibilité et rapidité sont les maîtres-mots quand on en vient à l’UX.
Les pages trop chargées (en texte et images) sont donc à proscrire : au-delà de rendre l’information confuse, elles augmentent drastiquement le temps de chargement. Sachez donc hiérarchiser les données que vous souhaitez transmettre à l’utilisateur. Trop d’infos tuent l’info !
À contrario, 2 lignes ne pourront répondre aux potentielles questions de vos visiteurs. Pour le référencement et pour tenter d’être le plus précis possible, essayez de densifier vos descriptions et contenus. Vos utilisateurs peuvent décider d’abandonner leur panier car ils ne trouvent pas la réponse à leurs questions. Exemple : ils veulent vérifier la matière d’un pull. Impossible de trouver l’information dans la page produit. Tant pis : ils chercheront leur petite laine chez un autre e-commerçant !
4. Des parasites gênants 🦗
Des pop-ups dans tous les sens, de la musique sans avoir la possibilité (ou difficilement) de l’enlever, une inscription forcée à une newsletter ou à un abonnement, des publicités intempestives… Nous avons tous déjà vécu au moins une fois ce genre d’intrusion et nous savons à quel point elles peuvent être agaçantes. Pourquoi donc en faire cadeau à vos utilisateurs ?
Oubliez donc ce genre de fausse bonne idée et pensez à votre site comme si vous en étiez vous-même un utilisateur. Y resteriez vous plus de 10 secondes ?
5. Un processus de checkout trop long
Toujours dans le chapitre des Grands Énervants, on vous présente les formulaires à rallonge ou les créations de compte client au moment de passer au clic fatidique.
Simplifier l’étape du paiement est un des incontournables d’une bonne UX. Car c’est dommage de perdre des clients si près de but ! La solution ? On optimise pour un checkout simple, rapide et sans friction. Et on oblige surtout pas le client à se créer un compte.
Bonne nouvelle : on en sait quelque chose ! Et on installe notre bouton magique d’achat en 1 clic en quelques minutes seulement. Pour en discuter, rendez-vous juste ici.
Comment transformer un lead en client ?
Vous parvenez à générer des leads ? Toutes nos félicitations ! Mais une fois qu’on a une bonne base de prospects, comment donc les transformer en clients ?
Il s’agit d’un véritable challenge… Le visiteur de votre e-commerce est plus informé (et parfois même sur la réserve) que jamais. L’équipe JUST arrive donc à la rescousse et vous révèle dans cet article 5 astuces pour le faire succomber au clic fatal : celui de l’achat.
Suivez le guide pour transformer vos leads en clients !
Apprenez à connaître votre base de lead
Un conseil qui peut paraître lambda mais que certains mettent parfois de côté ! Peu importe le nombre de fois où vous enverrez des mails à votre base, si vous vous adressez au mauvais prospect ou que vous ne partagez pas les bonnes informations, vos campagnes risquent bien de tomber à l’eau…
Et c’est là que la qualification de lead intervient ! Késako ? Il s'agit d'essayer d’en apprendre un maximum sur vos prospects. Nom, prénom, genre, âge, localisation… Ce type d’information est très facile à récupérer, notamment en les faisant par exemple s’inscrire à votre newsletter (vous connaissez le fameux “10% offerts en consentant à recevoir de nos nouvelles”). Cela vous permettra de savoir lesquels prioriser et comment vous adresser à eux.
Pour catégoriser vos leads, posez-vous ces questions :
- Que recherchent vos leads lorsqu’ils se rendent sur votre site ou sur vos réseaux sociaux ? À quel genre de problématique cherchent-ils à répondre ?
- Qu’est-ce qu’il les a attiré en premier lieu sur votre site ? Quelle publicité, quelle page ?
- Qu’est-ce qui peut éventuellement les gêner dans votre service ou offre (vous pouvez tout à fait leur demander dans un mail de relance panier)
- Qu’est-ce qui peut les motiver à franchir le cap ?
La team JUST vous conseille aussi de bien définir votre buyer persona, si ce n’est pas déjà fait. Derrière cette expression se cache en fait le portrait de votre acheteur idéal. Genre, sexe, situation professionnelle et sociale, réseaux sociaux de prédilection… Cela vous permettra d’avoir une cible bien précise et de pouvoir la partager à vos équipes sales et marketing. Pas de malentendus !
Offrez un discount ou un petit bonus
Recevoir un “truc” gratuitement, ça fait toujours plaisir - qu’il y ait des conditions ou non. Offrir une réduction ou un petit “plus” (exemple : une pochette offerte dès 20 euros d’achat) permettra à votre cible de suffisamment vous intéresser à vous et de passer à l’achat.
Comme l’explique Dan Ariely, spécialiste de l’économie comportementale, l’aspect gratuit marche car “cela provoque du désir chez le consommateur. Si je vous donnais un tout petit morceau de chocolat, ça vous rappellerait le goût de ce dernier. Vous en auriez instantanément envie de plus”.
Bref, titillez les clients avec une offre ! Et n’hésitez pas à jouer la carte de l’exclusivité/du privilège lors de vos communications : usage du prénom, code promo personnalisé…
Optimisez votre site web
À quoi sert un site e-commerce ? À vendre, certes, mais aussi à donner à vos consommateurs toutes les informations dont ils ont besoin. C’est donc un des éléments de votre stratégie de vente à ne surtout pas négliger ! En effet, d’après Forrester, un consommateur interagit en moyenne avec 11,4 éléments de contenus de votre site avant de passer à l’achat. C’est peu : il faut donc se montrer convaincant !
L’étape achat demande souvent une décision basée sur l’info : vos contenus doivent donc être les plus concis, précis possibles afin “d’éduquer” votre consommateur et lui donner une sensation de contrôle.
Cela coule de source mais ajouter des images relève également de l’information : sous tous les angles et avec la possibilité de zoomer, afin que votre prospect n’ait aucune méfiance vis-à-vis de l’article concerné. De plus, les e-shops contenant des photos génèrent en moyenne 94% de vues supplémentaires… Que vous faut-il de plus ?
En plus des classiques photos, vous pouvez illustrer vos articles par tous les moyens possibles : vidéos, graphiques présentant les avantages de vos produits (matériaux, origines…). Plus il y a d’infos, mieux c’est ! Quand on sait que 65% de la population a une mémoire visuelle, ça donne envie d’essayer…
Dans vos visuels, vos textes, positionnez vous en véritable expert : à nouveau avec des graphiques, des vidéos, des avis de professionnels (type “développé notre équipe de dermatologue” pour une marque de crème). À l’ère d’Internet, où les prospects peuvent chercher tous les avis et infos imaginables possible, il est important de savoir les devancer et de répondre à toutes leurs potentielles interrogations afin qu’ils RESTENT sur votre site.
En effet, d’après une recherche menée par Nelson, le contenu type expert est 38% plus efficace dans les conversions que les contenus simplement joliment brandés. What else ?
Donnez de vos nouvelles
Et le plus vite possible ! Par mail, par texto, sur les réseaux sociaux : contactez vos prospects sur tous ces canaux pour multiplier vos chances de les faire convertir. Tips de pro : avec l’automatisation, vous pouvez personnaliser vos messages (avec les prénoms, par exemple) et vos contenus (vous savez normalement ce que veulent vos prospects).
La clé pour relancer ? Le fameux mail de relance panier bien sûr. Du CTA jusqu’à quoi raconter, on vous dévoile nos trucs et astuces juste ici.
Éliminez les frictions
Pour choper de la data, oubliez clairement le moment “achat”. Pour transformer un lead en client, rendez l’expérience la plus simple possible. Et pour récolter des données, préférez plutôt des landing pages, des inscriptions à une newsletter, des concours…
Cependant, quand vos prospects sont à deux doigts de passer commande, ne leur posez pas trop de questions, ne les faites pas trop réfléchir... Minimisez plutôt les champs d’informations et optez pour les connexions en 1 clic. Et surtout, choisissez JUST, l’expérience de checkout en 1 clic qui augmente vos taux de conversion de près de 19% !